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Nicolas Grimaldi
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Qu'y-a-t-il de commun entre un masque du Bénin et un quatuor de Schubert ? Entre la Pietà d'Avignon et un
ready made de Marcel Duchamp ? Qu'est-ce qui constitue la dignité esthétique d'un objet ? Si ce n'est une propriété intrinsèque de l'objet, par quelle visée originaire la conscience se dispose-t-elle à la constituer en objet d'art ?
Analysant les doctrines et les oeuvres, c'est à ces questions que tente de répondre cet essai. Prenant appui sur les témoignages de romanciers, de philosophes et de peintres, Nicolas Grimaldi montre que l'art n'a jamais rien figuré de naturel, et qu'à l'inverse de la vie, le propre de l'art est de nous faire percevoir, en ses objets, de tout autres mondes. C'est justement parce que cette représentation est un jeu que l'expérience de l'art est celle d'une
re-naissance.
INÉDIT -
Nous a-t-elle assez fait rêver, la philosophie ! Pourtant, combien d'exemples nous rappellent que la raison est impuissante par elle seule à répondre aux attentes de la philosophie. Aussi n'y a-t-il rien de plus surprenant que de remarquer avec quelle étrange facilité elle s'en remet à l'imaginaire de répondre aux questions qu'elle se pose. Après tant d'efforts de la raison pour ordonner et parcourir la série de toutes les médiations, comment n'éprouverait-elle pas la tentation de nous faire accéder à l'absolu et de nous en faire pressentir l'immédiation ? C'est en quoi consistent précisément ces songes de la raison. En décrivant et en analysant quelques-uns d'entre eux, c'est la face obscure de la raison que Nicolas Grimaldi s'efforce d'élucider.
Également chez Pocket :
Bref traité de désenchantement,
L'Art ou la feinte passion et
A la lisière du réel. -
Proust, les horreurs de l'amour
Nicolas Grimaldi
- PUF
- Perspectives critiques
- 11 Juillet 2014
- 9782130640653
"La Recherche est le roman des déceptions [...] Tout se passe chez Proust comme s'il suffisait d'obtenir ce qu'on avait le plus désiré pour s'étonner presque aussitôt de le trouver si peu désirable." D'où vient une déception aussi généralisée ? Pour répondre à cette question, l'auteur analyse à partir de l'oeuvre de Proust la séparation de la conscience et du monde, le deuil du réel, les illusions de l'imaginaire, les contradictions du désir et les horreurs de l'amour. A travers Proust, Nicolas Grimaldi poursuit ainsi sa propre analyse de l'imaginaire, du désir et du temps, déjà esquissée dans ses précédents ouvrages : Traité de la banalité et Préjugés et paradoxes.
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Essai sur la jalousie ; l'enfer proustien
Nicolas Grimaldi
- PUF
- Perspectives critiques
- 1 Juillet 2014
- 9782130641100
« - Êtes-vous jaloux ? Quand on l'est un peu, cela n'est pas tout à fait désagréable. Cela permet à des gens qui ne sont pas curieux de s'intéresser à la vie des autres personnes, ou au moins d'une autre. Et puis, cela fait assez bien sentir la douceur de posséder. Mais cela, ce n'est que dans les tout premiers débuts du mal ou quand la guérison est presque complète. Dans l'intervalle, c'est le plus affreux des supplices. »Comme l'étude des maladies permet de mieux comprendre le fonctionnement normal de la physiologie, c'est la vie de l'imaginaire que j'ai tenté de décrire en étudiant la jalousie comme l'une de ses formes les plus ordinairement délirantes.
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Sortilèges de l'imaginaire ; la vie et ses égarements
Nicolas Grimaldi
- PUF
- Hors collection
- 6 Mars 2019
- 9782130816485
Toute croyance consiste à prendre une fiction pour une réalité, et par conséquent à nous persuader que pourrait être objet de notre perception ce qui n'est pourtant objet que de notre imagination. Une telle confusion ou une telle équivoque seraient-elles possibles si l'imaginaire ne constituait l'étoffe de notre perception, au point que percevoir n'est le plus souvent qu'une occasion d'imaginer ? Voilà pourquoi on ne saurait comprendre ni engagement, ni foi, ni piété, ni militantisme, ni terrorisme, sans avoir élucidé quelle part revient à notre imagination dans le sens que nous donnons à la réalité.
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"La réflexion sur la solitude me paraît liée à ce qu'il y a de plus profond dans le questionnement philosophique. C'est là que se nouent le problème du moi, de la personnalité, de la société, de la communion et de la connaissance. A ses confins, le thème de la solitude s'unit à celui de la mort." (Nicolas Berdiaeff, "Cinq méditations sur l'existence"). La solitude peut être vécue comme la condition d'une intégrité personnelle, la recherche de sa propre identité, la solitude est alors assimilée à la liberté. A l'inverse la solitude fait éprouver la vacuité et l'inanité de l'existence, on ne vit pas pour soi, on n'est pas à soi-même sa propre raison d'être. Etre seul c'est être exclu de la communauté. Une étude philosophique de la solitude nourrie de nombreuses références littéraires.
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Le Travail
Nicolas Grimaldi
- Presses universitaires de France (réédition numérique FeniXX)
- Questions
- 9 Novembre 2018
- 9782130681212
Avertie par les ouvrages de Marcuse, la génération de 68 savait que nous n'avions plus à travailler pour vivre. Or, on ne s'était pas plutôt préparé à l'idée d'en finir avec le travail et d'en liquider les poncifs qu'une épidémie de chômage vint en faire une obsession... Une analyse qui ne fait que prolonger les travaux de l'auteur sur le désir et sur le temps. « Copyright Electre »
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Le baiser du soir ; sur la psychologie de Proust
Nicolas Grimaldi
- PUF
- Hors collection
- 9 Septembre 2015
- 9782130731986
Loin d'être une énième étude sur Proust, cet ouvrage le fait redécouvrir à ceux qui en sont déjà familiers, et donne envie de s'y plonger à ceux qui ne le seraient pas encore.Son originalité tient à sa simplicité : le narrateur de La Recherche est enfermé dans le monde idéal de son imagination, où il lui suffit d'imaginer quelque lieu ou personne inconnus pour en pressentir la bouleversante singularité avec une intensité dont aucune réalité n'a jamais approché. Le voici alors confronté à l'alternative d'une double déception : n'être ému que par ce qui est imaginé, et demeurera toujours absent, ou bien se confronter à une réalité qui jamais ne comblera ses attentes. C'est seulement à la fin de l'oeuvre que cette alternative est levée. Voici que quelque chose de réel lui est soudain donné dans une sensation, et cette réalité est aussi intense, poétique et bouleversante que si elle était une création de son imagination. Telle est cette révélation que le narrateur reçoit d'un « souvenir involontaire », et La Recherche tout entière se dévoile enfin comme le récit de la quête du narrateur pour reconstruire de toute pièce, par le truchement de l'art, une présence magnifique de soi à soi.
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En analysant le phénomène de la croyance, cet essai tente d'élucider l'origine des religions et des idéologies. Alors que la vie est à elle-même son propre sens, pourquoi cherche-t-on à lui assigner un but pour lui reconnaître un sens ? Un tel but ne peut jamais être qu'un mythe, une fiction ou un fantasme. Aussi tous les fanatismes consistent-ils à assujettir ou sacrifier toute réalité à ce fantasme. En examinant le processus de la croyance, cet essai se présente comme une enquête sur le sens de la vie.
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L'auteur poursuit, dans cet essai, sa réflexion et son analyse de l'imaginaire, de l'envoûtement et de la croyance, commencée dans Le Désir et le Temps puis dans le Traité de la banalité. A partir de l'exemple de Judas, condamné sans avoir été jugé, cet essai s'efforce d'élucider comment on peut en venir à sacrifier un individu non encore jugé coupable, par fidélité à une cause absolue. D'où vient la méchanceté dans l'homme ? Pourquoi, s'interroge l'auteur, existe-t-il cette sorte d'invincible attirance qui porte certains au mal avec une certaine dilection ? Pourquoi Judas a-t-il livré Jésus aux bourreaux ? Comment ensuite cette trahison fut-elle récupérée et Judas, malgré son repentir, est-il devenu complice d'un crime ? Peut-être cette fable peut-elle aider à comprendre certains engagements extrêmistes actuels. Tout fidèle d'une Eglise, tout militant d'un parti, tout membre d'une secte est exposé à vivre le même déchirement que Judas entre sa fidélité à un idéal et sa fidélité au chef. "D'où vient qu'un simple idéal de l'imagination puisse devenir si envoûtant qu'on soit prêt à sacrifier pour lui toute réalité ?" Mais qu'en est-il de cette fidélité si la cause n'est qu'un idéal de l'imagination, une chimère ou un fantasme ? conclut l'auteur. Une réflexion sur le conflit entre morale et efficacité.
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Qu'y a-t-il de plus semblable à un homme qu'un autre homme ? Mais qu'y a-t-il de plus irréductible à l'humain que l'inhumain ? Or, il n'y a qu'un homme pour être inhumain.L'un des plus singuliers paradoxes de l'inhumain est qu'il n'est pas en dehors de l'humain. Pour être inhumain, il n'est pas besoin d'avoir perdu tout sens de l'humain. Tout au contraire, l'inhumain est une des manières fort communes qu'ont les hommes d'assumer leur humanité. Quoique notre conscience morale s'en révolte et quoique notre logique s'en scandalise, il nous faut donc en reconnaître le fait : l'inhumain est une catégorie de l'humain. Rien ne paraît plus monstrueux. Rien n'est pourtant plus banal. Il suffit à chaque fois de ne pas reconnaître son semblable dans l'autre.
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"Cette personne que nous aimons sans la connaître, et qui ne nous est si présente que parce que nous la recréons sans cesse en l'imaginant, un tout simple hasard en fait l'objet de nos rêveries. Nous l'avons fortuitement inventée plutôt que nous ne l'avons choisie. Mais son image nous est désormais si intime, si obsédante, que nous ne pouvons plus nous en détacher. Parce qu'il nous semble que nous ne pourrions pas vivre sans elle, il nous semble aussi que nous aurions manqué notre vie si nous ne l'avions rencontrée..."N. G.
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"Ce récit est un document.
Par petites touches accumulant les choses vues, les petits faits vrais, mêlant l'analyse à l'autobiographie, il relate avec l'objectivité d'un témoin ce que furent "les événements de 68".
Etait-ce une farce ? Peut-être. En tout cas, cette farce aura duré quinze ans. Mais, bien qu'on l'ait eue longtemps sous les yeux, on y avait si peu cru qu'on ne l'avait pas vue.
Sans doute ce récit fait-il comprendre comment a pu se produire en quelques mois l'éffondrement de l'Université.
Mais il montre bien davantage combien cette agitation n'était que le symptôme tardif d'une crise bien plus ample et profonde dont on avait entendu les premières craquements dès 1924.
Une civilisation finissait, alors qu'une autre avait déjà commencé. On ne se rappelle déjà presque plus la première. Nous vivons dans la seconde.
Il en est de la civilisation comme de la géologie. Il y a des plaques tectoniques. D'où venait le vacarme de 68, on ne le comprenait pas. C'était le bruit que faisait une plaque au moment où elle allait en recouvrir une autre."N. G. -
« Le sentiment que j'ai de moi-même a-t-il rien de commun avec la perception que les autres ont de moi ? Et ce corps, qui me précède toujours, que dit-il à autrui de ma vraie nature, de mes goûts, de mon être secret ? Ainsi, aussi inséparable que je sois de mon apparence, celle-ci signale immanquablement celui que je ne suis pas tout à fait. En d'autres termes : mon corps est-il l'expression de mon moi ou mon moi est-il le prisonnier clandestin de mon corps ? Entre moi et ce qui est mien, la relation est donc bien moins d'ordre ontologique que linguistique ou stylistique. C'est ce qui fait du snobisme ou du dandysme deux figures de cet effort que chacun entreprend pour tenter de paraître ce qu'il voudrait être, et pour tenter d'affacer ce qui volontairement sien. »N. G.
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La démocratie moderne serait-elle devenue une réalité trop fragile, et trop éloignée de ses propres principes, pour être confiée aux manipulateurs qui prétendent l'incarner ?
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Ontologie du temps
Nicolas Grimaldi
- Presses universitaires de France (réédition numérique FeniXX)
- Questions
- 9 Novembre 2018
- 9782130669135
En montrant que la conscience pure est pure attente, cet essai décrit comment l'attente structure transcendentalement toute représentation que nous puissions avoir du temps. « Copyright Electre »
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Bref traité du désenchantement
Nicolas Grimaldi
- Presses universitaires de France (réédition numérique FeniXX)
- Perspectives critiques
- 25 Septembre 2015
- 9782130682417
Si constant, si général, si banal qu'on ne s'en étonne même plus, un fait est pourtant remarquable. Quelque avenir que nous ayons imaginé, il ne se réalise jamais sans que nous en soyons secrètement déçus. Quelle est l'origine d'une aussi infinitésimale mais aussi universelle déception ? Pour l'élucider sont ici analysés le passage de l'imagination à la perception, du possible au réel, l'attente, le désir et le temps.
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Aliénation et liberté
Nicolas Grimaldi
- FeniXX réédition numérique (Masson et Cie)
- Philosophie
- 22 Décembre 2017
- 9782402237437
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Le propos de N. Grimaldi est de montrer qu'il existe une imagination philosophique comme il existe une imagination romanesque. Pour lui la philosophie de Descartes est le meilleur exemple pour examiner la part que l'imagination prend sur la raison. Ce livre montre comment Descartes a construit sa doctrine en "imaginant" les effets que cette doctrine rendrait possibles. Selon N. Grimaldi la logique de Descartes ne fait qu'établir les conditions de possibilité pour que ce qu'il avait rêvé puisse devenir la réalité. Un essai original, une vision nouvelle sur un Descartes inconnu : la reconstitution de la création d'une doctrine philosophique.
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« Y a-t-il rien de plus insensé que le zèle et l'application méthodique de certains terroristes lorsqu'ils décident d'exterminer des gens dont ils ne savent rien ?
Et de plus déraisonnable que de massacrer des innocents en croyant servir le Bien et la Justice ?
Se trouve ainsi posé le problème de savoir comment pense un fanatique.
Pour tenter de répondre à cette question deux traits m'ont paru constitutifs d'un délire aussi criminel :
Le premier consiste à prendre une fiction pour une réalité - ce qui est la définition du rêve.
Le second lui fait exclure de l'humanité quiconque ne partage pas cette croyance.
Cela ne fait-il pas de tout fanatique un somnambule ? » N.G -
Ciné-Bulles. Vol. 34 No. 4, Automne 2016
Eric Perron, Zoe Protat, Marie-Paule Grimaldi, Nicolas Gendron, Jean-Philippe Gravel, Frédéric Bouchard, Mich Coulombe
- Association des cinémas parallèles du Québec
- Ciné-Bulles
- 12 Octobre 2016
- 9782924370094
C'est la splendide Isabelle Huppert, le visage meurtri, mais le regard plein de force, qui orne la couverture de ce Ciné-Bulles d'automne. L'actrice française est l'héroïne farouche de Elle de Paul Verhoeven. La sortie sur nos écrans de ce film-choc est l'occasion pour Zoé Protat de brosser le portrait de son créateur, de ses premiers films hollandais aux grands succès hollywoodiens, jusqu'à ses récentes réussites. La revue propose également des entrevues avec les réalisateurs Vincent Biron, auteur de l'une des farces cinématographiques les plus applaudies de l'année, Prank; Kim Nguyen, qui nous raconte la genèse tout à fait particulière de sa romance nordique Un ours et deux amants; et finalement Steve Patry à propos de Waseskun, portrait d'un centre de détention autochtone hors normes. Le documentaire est d'ailleurs à l'honneur avec les dernières oeuvres de Gianfranco Rosi, Alanis Obomsawin et Saël Lacroix. Un hommage au cinéaste iranien Abbas Kiarostami, récemment décédé, ainsi qu'une réflexion sur l'érotisme au cinéma signée Jean-Philippe Gravel complètent le tout.
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Ciné-Bulles. Vol. 34 No. 2, Printemps 2016
Nicolas Gendron, Marie-Paule Grimaldi, Zoe Protat, Jean-Philippe Gravel, Eric Perron, Michel Coulombe, Marie Claude Mira
- Association des cinémas parallèles du Québec
- Ciné-Bulles
- 7 Avril 2016
- 9782924370070
En couverture de ce numéro, Avant les rues, premier long métrage de Chloé Leriche, qui jette un regard sur la culture méconnue des Atikamekws. Ciné-Bulles propose un entretien en primeur avec la réalisatrice. La sortie de la biographie de Claude Jutra par Yves Lever a créé tout un émoi au Québec. Une entrevue avec l'auteur, la plus exhaustive publiée jusqu'à présent, permet d'en apprendre davantage sur les intentions de Lever ainsi que son immense travail de recherche. Aussi au sommaire de ce numéro, des hommages aux réalisateurs Ettore Scola et Jacques Rivette ainsi qu'à David Bowie, tous trois disparus en janvier dernier, un entretien avec Louis Bélanger pour son nouveau film Les Mauvaises Herbes et la chronique Histoires de cinéma sur le grand classique du comique de Jacques Tati, Playtime.
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Ciné-Bulles. Vol. 32 No. 3, Été 2014
Nicolas Gendron, Zoe Protat, Eric Perron, Michel Coulombe, Marie-Paule Grimaldi, Christian Nadeau, Jean-Francois Hamel
- Association des cinémas parallèles du Québec
- Ciné-Bulles
- 14 Août 2014
- 9782924370001
Dans ce numéro : une longue entrevue de Nicolas Gendron avec Xavier Dolan sur Mommy (6 pages), sans doute LE film québécois de l'année 2014; un dossier exclusif de 18 pages sur le rayonnement international du cinéma québécois (un article sur les rôles de la SODEC et de Téléfilm Canada; un entretien de 6 pages de Michel Coulombe avec Anick Poirier de Séville International sur la vente des films québécois à l'étranger; un texte de 9 pages de Nicolas Gendron sur les expériences de cinéastes dans les festivals internationaux avec la participation de Denis Côté, Bernard Émond, Stéphane Lafleur, Anaïs Barbeau-Lavalette, Philippe Falardeau et Anne Émond; le point de vue des programmateurs de Sundance et de Tribeca sur le cinéma québécois récent). Dans la chronique Histoires de cinéma, Jean-François Hamel redit l'importance du film L'Avventura de Michelangelo Antonioni (6 pages). Et Christian Nadeau signe le texte « L'universel et le singulier » en abordant les 3 Histoires d'Indiens sous l'angle du Cinéma et philosophie. Également, un texte sur l'exposition Image x Image - Le cinéma d'animation à l'ONF et des critiques des films Le Mystère MacPherson, My Sweet Pepper Land, Bidonville..., Yves Saint-Laurent et plusieurs autres.