La Trilogie des jumeaux.
Le Grand Cahier : Dans un pays ravagé par la guerre, de jeunes jumeaux abandonnés à eux-mêmes font seuls l'apprentissage de la vie, de l'écriture et de la cruauté. Premier roman d'une émigrée hongroise installée en Suisse, Le Grand Cahier est également le premier volet de la trilogie.
La Preuve : Au-delà de la fable, on se livre ici à l'exploration impitoyable d'une mémoire si longtemps divisée, à l'image de l'Europe. À travers le destin séparé de Lucas et de Claus, les jumeaux du Grand Cahier, Agota Kristof nous révèle que, dans l'univers totalitaire, générosité et solidarité sont parfois plus meurtrières que le crime...
Le troisième mensonge : De l'autre côté de la frontière, la guerre est finie, la dictature est tombée. Pour vivre, pour survivre, il a fallu mentir pendant toutes ces années, Klaus et Claus T. découvrent à leurs dépens que la liberté retrouvée n'est pas synonyme de vérité. Et si leur existence était en elle-même un mensonge ?
Dans un pays ravagé par la guerre, deux enfants (des jumeaux) abandonnés à eux-mêmes font seuls l'apprentissage de la vie, de l'écriture et de la cruauté. Premier roman d'une émigrée hongroise installée en Suisse, Le Grand Cahier est également le premier volet d'une trilogie qui comprend La Preuve et Le Troisième Mensonge. L'oeuvre d'Agota Kristof est aujourd'hui traduite dans une quinzaine de pays.
De l'autre côté de la frontière, la guerre est finie, la dictature est tombée. Pour vivre, pour survivre, il a fallu mentir pendant toutes ces années. Klaus et Claus T. découvrent à leurs dépens que la liberté retrouvée n'est pas synonyme de vérité. Et si leur existence était en elle-même un mensonge ?
Ainsi s'achève la trilogie inaugurée avec Le Grand Cahier, et traduite aujourd'hui dans une vingtaine de pays.
Au-delà de la fable, on se livre ici à l'exploration impitoyable d'une mémoire si longtemps divisée, à l'image de l'Europe. A travers le destin séparé de Lucas et de Claus, les jumeaux du Grand Cahier, Agota Kristof nous révèle que, dans l'univers totalitaire, générosité et solidarité sont parfois plus meurtrières que le crime.
Aujourd'hui recommence la course imbécile. Se lever à cinq heures, prendre le bus, pointer... Pour que demain soit différent, il faudrait qu'apparaisse enfin Line, la femme idéale dont rêve Sandor Lester depuis qu'il a quitté son pays natal. Alors, il y aurait un avenir possible dans lequel Sandor deviendrait écrivain sous le nom de Tobias Horvath. Mais ce jour-là, ce n'est pas l'avenir qui monte dans le bus. C'est Line, la vraie Line, surgie du passé...
Avec la simplicité et la précision qu'on lui connaît, Agota Kristof raconte «l'histoire d'un grand amour impossible» et se livre à une réflexion aiguë sur le passage du temps et les injustices du monde contemporain.
C'est égal rassemble les premiers textes d'Agota Kristof en langue française,
écrits avant Le Grand Cahier, qui l'a rendue célèbre.Vingt-cinq nouvelles très brèves, baignant dans une atmosphère étrange et émouvante : un homme sculpte la statue de son chien et se pétrifie lui-même en l'embrassant ; une femme s'étonne que son mari se soit fendu le crâne en tombant de son lit sur une hache...
Née en Hongrie en 1935, Agota Kristof se réfugie en Suisse à partir de 1956.
Elle écrit depuis en français, sa langue d'exil.Tout l'univers si particulier de l'auteur est déjà dans les textes qui composent C'est égal : désespoir et humour, réalisme cruel, onirisme inattendu.
Où es-tu Mathias ? et Line, le temps convoquent les obsessions d'Agota Kristof : l'enfance et sa terrifiante clairvoyance, le désespoir intégral de la vie, la tromperie des mots, la dilution du temps, mais aussi l'humour et le rêve.
Sandor, le héros de Où es-tu Mathias ? nous entraine dans le dédale d'incertitudes que connaissent bien les lecteurs d'Agota Kristof. Plus légère, plus cocasse, Line, l'héroïne d'un court texte pour la scène, est une jeune fille amoureuse comme plus jamais elle ne le sera adulte.
"J'essaie de raconter mon histoire, mais je ne peux pas, je n'en ai pas le courage, elle me fait trop mal. Alors j'embellis tout. "