L'attente pour le Jour J est interminable. La soif de passer en fin à l'action est insatiable. Certains veulent en finir enfin! D'autres n'attendent que l'heure de la vengeance. Et puis, il y a cet ennemi qui s'accroche au moindre mètre de terrain, dont la résistance acharnée perturbe tous les plannings....
Ont collaboré à ce numéro : Hugues Wenkin, Jean-Paul Marthoz, Benoît Rondeau, Christophe Lafaye, Daniel Ruelens, Patrick Hilgers, Philippe Carrozza, Pierre Müller, Clément Tahir, Christian Dujardin, Laurent Lecoq, Olivier Wieviorka.
Lors de l'offensive des Ardennes, la Kampfgruppe Peiper est littéralement la pointe acérée du fer de lance de la 6. Panzer Armee. Elle doit foncer droit devant elle jusqu'à la Meuse sans le moindre égard pour la sécurité de ses flancs. L'aventure se solde par un fiasco complet au point qu'il est permis d'affirmer que cette affaire est avec l'encerclement de Bastogne, l'une des principales défaites tactiques à l'origine de l'échec de l'opération Wacht am Rhein. Une fois de plus, le combattant individuel n'a eut aucune prise sur les tendances lourdes qui se dressent sur son chemin. Ce numéros analyse en profondeur les faits qui ont conduit les SS de Peiper droit dans le mur en dépit de leur indéniable volonté de vaincre.
Le 10 mai 1940, le fort belge d'Ében-Émael est la clé de voûte de la ligne défensive du canal Albert. Considéré par le commandement germanique comme le fort le plus puissant d'Europe, il n'est attaqué que par une unité de moins de 100 sapeur-parachutistes. À?l'issue d'un siège de seulement 36 heures, la garnison forte de 600 artilleurs se rend, sans même prendre la peine de négocier des conditions de reddition honorables. Mais que s'est-il donc passé dans le fort pour en arriver à un tel désastre?? Cet épisode célébrissime de la Seconde Guerre mondiale fut expliqué sous l'angle de l'attaque-surprise imparable. Pour la première fois dans l'histoire, les Allemands y avaient en effet utilisé des planeurs et des charges creuses. Déjà en 1947, une commission d'enquête avait fait toute la lumière sur cette affaire. Les documents présentaient une version très différente de ce que l'histoire a retenu. Ses conclusions accablantes sont demeurées secrètes et ne sont accessibles au public que depuis peu. Après avoir patiemment recoupé les données avec les témoignages des assaillants, l'auteur brosse le tableau à huis clos des 36 heures d'angoisse des défenseurs en se basant sur les 2000 pages du rapport de la commission. Les fautes révélées sont multiples et ce, à tous les niveaux de la hiérarchie belge de l'époque.
Le Mook 1944 n° 6 adopte cette fois une formule spéciale adaptée aux besoins des lecteurs dans le cadre de la période de pandémie. L'opus propose l'analyse inédite de quatre engagements dans les Ardennes accompagnés de trois randonnées commentées. Le but est de miser sur le tourisme local en invitant à la promenade dans les bois pour profiter de la liberté retrouvée (ou de l'unique qui nous reste). Quatre sujets à l'honneur donc : une balade sur la frontière allemande, une promenade dans la région de Bastogne sur les traces des Chasseurs Ardennais et enfin une randonnée dans la région de Manhay attirant aussi nombre de touristes d'un jour. L'article concernant la pointe blindée de Peiper à Tragnon sera d'un attrait particulier pour les lecteurs férus de combats blindés.
Envoyée à la rescousse pour tenir Bastogne, la 101st Airborne Division s'y retrouve encerclée avec les débris d'autres unités. Tandis qu'une contre-attaque venant du sud s'organise sous l'égide de Patton, le seul mot d'ordre donné aux « Screaming Eagles » est : tenir ! Pendant le terrible hiver 1944, ils vont remplir leur mission et écrire l'une des pages les plus glorieuses de l'histoire militaire américaine. Parmi eux se trouve une compagnie dont l'aventure héroïque va devenir mythique : la Easy Company. Ce guide vous emmène sur ses traces et celles de leurs frères d'armes autour de Bastogne. Du bois Jacques au Fortin Boggess où l'étau allemand a été brisé, en passant par la bataille de Foy, Hugues Wenkin vous guidera dans l'enfer de la bataille comme si vous y étiez.
Le 18 décembre 1944, Bastogne est pratiquement sans défense alors que deux Panzer Division s'apprêtent à déferler sur elle. Les parachutistes de la 101st Airborne Division et le CCB de la 10th Armored Division ont juste le temps de prendre position à Noville, Longvilly et Wardin pour retarder la marée blindée allemande. Celle-ci se divise comme le ferait l'eau d'un torrent rencontrant une pierre?: les Panzer passent au nord et au sud de Bastogne, encerclant du même coup la cité et ses défenseurs. Leur mission est d'atteindre la Meuse pour la franchir, et rien, pas même laisser un fort élément ennemi sur leurs arrières, ne doit les arrêter. Dans ce cas de figure, la ville doit être capturée par une division d'infanterie qui suit les sillage des Blindés. Bastogne va résister, rendant du même coup l'exploitation de la percée impossible.
La lecture des ouvrages consacrés à la bataille des Ardennes donne souvent l'impression que le 26 décembre, tout est joué. Patton est arrivé à Bastogne, le reste n'est plus qu'épilogue. Paradoxalement, ce n'est qu'après cette percée que Bastogne devient le centre de gravité de l'offensive des Ardennes. Le principal choc de la bataille se déroule à partir du 30 décembre. Le général Patton y commande la plus grande force de sa carrière et ne parvient pas à obtenir un succès significatif. Après un début foudroyant, son offensive piétine. Il doit prendre Houffalize pour fermer la porte aux Panzer-Division qui évacuent le saillant formé lors des premiers jours. Il n'y parvient qu'après deux semaines de coûteux affrontements, quand il n'y a pratiquement plus rien à enfermer dans une nasse. La manoeuvre est devenue aussi vaine qu'inutile. Comme à Falaise en août, comme à Mons en septembre, les généraux d'Eisenhower ne parviennent pas à récolter le fruit du sang versé par leurs hommes ! C'est pendant cette première quinzaine de janvier que la bataille des Ardennes se transforme en match nul qui ne connaît ni vainqueur ni vaincu.
Ont collaboré à ce numéro : Hugues Wenkin, Jean-Paul Marthoz, Christophe Lafaye, Jacques Wiacek, Philippe Carrozza, Pierre Müller, Laurent Lecoq.
Huis clos dans un Bunker, Hitler face à son destin : Hugues Wenkin.
Hitler, de mystère à fantôme?! : Hugues Wenkin.
La 2e Division blindée sur le nid d'aigle d'Hitler : Christophe Lafaye.
S'il n'y avait pas eu Churchill... : François Delpla.
La filière des rats vers l'Argentine : Jean-Paul Marthoz.
Comme en 1914, c'est par les pâtures et les champs de la province du Luxembourg que l'envahisseur viole la frontière belge. Rien d'étonnant donc qu'en mai 1940, les Chasseurs ardennais s'accrochent bec et ongles à la frontière et qu'ils cognent dur contre l'Allemand foulant de ses chenilles le sol de leurs villages natals. Pourtant, tous les Chasseurs ardennais savaient que dès le premier jour de combat, ils devraient abandonner leurs maisons, leurs familles et se replier pour défendre la Meuse, ligne de front désignée. Ensuite, pendant les dix-huit jours que dura la campagne de mai 1940, ils furent à la pointe des combats, au point que les Allemands finirent par s'étonner de les voir encore et toujours devant eux. L'incroyable journée du 10 mai constitue le baptême du feu qui termine de forger l'outil de combat exceptionnel qu'était la première division de Chasseurs Ardennais. Ce guide permettra au lecteur de mieux comprendre par la découverte des lieux, ce fait majeur de la campagne.
C'était il y a 75 ans, c'était hier ! Fin août 1944, le front allemand en Normandie s'effondre. Les armées alliées, fortes d'une mobilité surclassant de loin celle de leur adversaire, se répandent en France et arrivent en Belgique en moins de trois jours d'une course poursuite haletante. Eisenhower et ses généraux ne s'attendaient pas à avoir si facile après les immenses difficultés rencontrées dans le bocage normand. Ils sont tout aussi surpris que Berlin, au point que leurs armées tombent littéralement en panne sèche à cinq cents kilomètres de leurs bases de départ. Paris, Amiens, Reims, Anvers, Marseille, Dijon, Bruxelles, Mons, Namur, Liège et Luxembourg sont libérées à l'issue de cette cavalcade effrénée. Les Allemands ne parviennent à rétablir leur front qu'à la hauteur des frontières du Reich, sur la ligne Siegfried. Cette guerre éclair lave l'affront essuyé quatre années plus tôt de la manière la plus éclatante qui soit.
Le Mook 1944 vous invite à revivre cette campagne militaire sans précédent.
Après le succès des Moutons noirs de Piron, Hugues Wenkin nous revient avec une analyse plus dense des opérations de la fameuse brigade belge pendant la campagne de Normandie. Cet opus analyse les rouages tactiques de l'unité et son adaptation à la guerre moderne pendant la dernière phase de la bataille dans le bocage normand. Les embuscades d'une armée allemande toujours plus rusée, combattant dos à la Seine pour survivre, vont endeuiller la magnifique victoire des Belges. Toujours en pointe, ils vont libérer toute la côte Fleurie : Villers-sur-Mer, Cabourg, Trouville, Deauville, Honfleur, Foulbec... C'est leurs traces indélébiles que nous vous convions à suivre au travers des pages de ce volume.
Lorsqu'il est obligé de rompre le combat à la fin de la campagne de Normandie, le I.SS Panzer-Korps doit transformer sa retraite en déroute ou en victoire. Presque encerclés dans la poche de Falaise, ses hommes n'ont que très peu d'espoir de s'échapper. Ils vont devoir franchir à pied six cents kilomètres de territoire hostile en étant talonnés par deux groupes d'armée mécanisés. Mission impossible?? Qu'ils soient aujourd'hui connus comme les pires soldats fanatisés de l'Histoire militaire, il n'empêche que les combattants de la Waffen SS ont démontré qu'ils demeurent à tout instant des guerriers redoutables. Nous allons suivre leur parcours. Battu certes, mais pas vaincu par ce baroud d'honneur lui permettant de sauver une part de ses effectifs, le I.SS-Panzer-Korps va être à même de revenir en décembre 1944. Sa haine des partisans se fera durement sentir?! Ils n'auront rien oublié?!
Dans la soirée du 20 juillet 1969, Neil Amstrong foule du pied le sol lunaire. Cet exploit scientifique n'a été rendu possible que par la captation par les Américains d'un savoir-faire technologique du III. Reich?: les armes secrètes V. Malgré trente ans d'écart, les points communs sont multiples?: la volonté de frapper l'imagination de l'homme de la rue à des fins idéologiques, un coût exorbitant, une réussite scientifique obtenue à la suite de nombreux déboires... Surtout, un homme est au coeur de ces deux programmes?: un certain Wehrner von Braun. Hugues Wenkin retrace cette incroyable histoire dans ses multiples facettes?: de l'ascension d'un jeune savant à la mise en place de la campagne de représailles massives, des luttes intestines entre les Alliés pour récupérer les acquis scientifiques nazis aux premiers pas de la conquête spatiale. Exploitant d'abondantes archives inédites à Londres, à Washington et en France, l'auteur dresse un tableau complet et fascinant d'un programme scientifique à la trajectoire singulière?: de la terreur à la lune.
Évoquer la résistance de Liège ne pourrait se faire sans parler du fort de Loncin, haut lieu de mémoire de la combativité belge. Au final, la place forte de Liège est tombée et sa résistance n'a pas perturbé d'un pouce le plan de concentration allemand. Elle a été écrasée sous les obus d'un calibre qui n'existait pas au moment de sa mise en service. Mais l'esprit qui anime alors les défenseurs des forts est empreint d'un patriotisme puissamment ancré, de la conscience du bon droit et d'une abnégation au sens premier du terme. Aujourd'hui, le fort est devenu une nécropole nationale où reposent nos soldats sacrifiés.
Si au début du xxe siècle les milieux militaires rejettent en bloc l'idée d'un véhicule blindé armé, la Première Guerre mondiale permettra toutefois aux visionnaires de s'imposer. En août 1914, l'armée belge est la première à déployer avec succès des auto-blindées, mais c'est aux Britanniques que revient le droit de revendiquer la paternité du tank. Personne ne peut effectivement contester que les engins chenillés, qui s'élancent pour la première fois au combat en septembre 1916, sont le fruit de l'ingénierie anglaise. Les Français les imitent quelques mois plus tard, après avoir perdu trop de temps dans des projets abracadabrants. L'Allemagne, misant plus sur les améliorations des tactiques d'infanterie, mettra trop longtemps à se rendre compte que le char est devenu, avec l'avion et le sous-marin, l'une des trois composantes de la guerre moderne. Pour raconter l'histoire des premiers tanks, chars et autres Sturmpanzer, l'auteur a choisi d'explorer trois points de vue: l'aspect militaro-industriel, l'aventure humaine et le contexte d'emploi opérationnel. Les essais et erreurs des belligérants y sont explorés dans une étude soutenue par une iconographie inédite et exceptionnelle.
Peu de conflits ont aussi radicalement changé les méthodes de combat que la Première Guerre mondiale. Les techniques de combat n'ont pas évolué aussi vite que les armements. Rares sont les visionnaires qui entrevoient le massacre que ce différentiel va engendrer. Il faudra trois années de tâtonnements pour sortir de l'impasse. Cette longue transition prend tellement de temps qu'en attendant qu'une solution soit trouvée, les soldats n'ont d'autre choix que celui de s'enterrer. Partant du simple trou de fusilier, un réseau de tranchées va s'étendre pour traverser la France et la Belgique, de la Suisse à la mer du Nord. Les hommes vont s'acclimater dans ce nouvel environnement et apprendre à y survivre. L'ingéniosité guerrière transforme cette large plaie béante de boue, de fer et de mort en un réseau de plus en plus complexe et de plus en plus meurtrier.
Le premier conflit mondial voit l'apparition de l'automobile sur le champ de bataille. Ce sont les Belges qui, les premiers, mettent sur pied une unité spécialisée d'autos blindées. L'enlisement dans les tranchées diminue de beaucoup le potentiel de cette nouvelle arme, mais à l'est, la longueur du front s'accommode mal avec la guerre de position. Elles permettent aux autos blindées d'y gagner leurs lettres de noblesse. Une unité belge s'y distingue sur le front de Galicie. Mélange de Jules Verne, de Hugo Pratt, de Joseph Kessel et d'Alexandre Dumas, l'histoire du corps des Autos Canons Mitrailleuses est passionnante. Cette unité d'une modernité sans pareille pour l'époque réalise un tour du monde dans une ambiance digne des meilleurs romans d'aventures.
La bataille de Normandie est l'une des opérations militaires les plus compliquées. Il ne suffit pas de s'arrêter au combat du Jour J pour s'en persuader. Il faut bien se rendre compte qu'elle se prépare depuis 1942?! Les premières études démarrent dès les lendemains de l'entrée en guerre des États-Unis d'Amérique. L'opération Overlord mobilise énormément de ressources économiques avant même que le premier coup de feu ne soit tiré. Son coût astronomique n'a pas encore été calculé. Le sera-t-il un jour?? Qui osera mettre un chiffre devant l'immonde gaspillage que représente une guerre mondiale pour l'espèce humaine?? Probablement personne?! On peut néanmoins se représenter l'ampleur de l'aventure en parcourant les différentes étapes qui ont conduit à son déroulement, et ce dans les deux camps. Ces pages vont donc vous emmener du 10 Downing Street dans le bureau embué de fumée de havane de Churchill à la Chancellerie du III. Reich au coeur de Berlin. C'est en effet d'abord au niveau politique que les décisions menant à cet affrontement majeur vont se prendre. Elles passent ensuite par Casablanca, où la décision d'attaquer est prise avant même que l'Axe ne soit chassé d'Afrique. Sur les côtes normandes, les Alliés vont retrouver une vieille connaissance qui leur a mené la vie dure dans les sables du désert libyen. Un certain Erwin Rommel a en effet été désigné par Hitler en personne pour faire face à l'inévitable attaque alliée sur les rivages continentaux. Le soldat que l'on dit pourtant proche des séditieux va se dépenser sans compter pour rendre le fameux mur de l'Atlantique infranchissable.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, l?Allemagne nazie connaît des succès fulgurants grâce à une tactique révolutionnaire : le Blitzkrieg !
L?invention de cette « guerre éclair » désarçonne tous les états-majors et permet à la Wehrmacht d?écraser les armées alliées.
Pourtant, cette tactique est née vingt ans plutôt : elle a été imaginée par des penseurs visionnaires dès la Première Guerre mondiale. Elle va être améliorée durant l?entre-deux-guerres et mise en pratique, à partir de 1939, par d?excellents tacticiens qui vont, grâce à elle, conquérir une grande partie de la planète.
C?est la fascinante genèse de cette guerre mécanisée, et sa redoutable application, qu?analyse Hugues Wenkin dansB litzkrieg ! S?appuyant sur de nombreux documents inédits, il révèle tous les secrets de cette puissante tactique et renouvelle le regard que nous portons sur la « guerre éclair ».
La bataille de Normandie est l'une des opérations militaires les plus compliquées. Il ne suffit pas de s'arrêter au combat du Jour J pour s'en persuader. Il faut bien se rendre compte qu'elle se prépare depuis 1942?! Les premières études démarrent dès les lendemains de l'entrée en guerre des États-Unis d'Amérique. L'opération Overlord mobilise énormément de ressources économiques avant même que le premier coup de feu ne soit tiré. Son coût astronomique n'a pas encore été calculé. Le sera-t-il un jour?? Qui osera mettre un chiffre devant l'immonde gaspillage que représente une guerre mondiale pour l'espèce humaine?? Probablement personne?! On peut néanmoins se représenter l'ampleur de l'aventure en parcourant les différentes étapes qui ont conduit à son déroulement, et ce dans les deux camps. Ces pages vont donc vous emmener du 10 Downing Street dans le bureau embué de fumée de havane de Churchill à la Chancellerie du III. Reich au coeur de Berlin. C'est en effet d'abord au niveau politique que les décisions menant à cet affrontement majeur vont se prendre. Elles passent ensuite par Casablanca, où la décision d'attaquer est prise avant même que l'Axe ne soit chassé d'Afrique. Sur les côtes normandes, les Alliés vont retrouver une vieille connaissance qui leur a mené la vie dure dans les sables du désert libyen. Un certain Erwin Rommel a en effet été désigné par Hitler en personne pour faire face à l'inévitable attaque alliée sur les rivages continentaux. Le soldat que l'on dit pourtant proche des séditieux va se dépenser sans compter pour rendre le fameux mur de l'Atlantique infranchissable.
La bataille de Normandie est l'une des opérations militaires les plus compliquées. Il ne suffit pas de s'arrêter au combat du Jour J pour s'en persuader. Il faut bien se rendre compte qu'elle se prépare depuis 1942?! Les premières études démarrent dès les lendemains de l'entrée en guerre des États-Unis d'Amérique. L'opération Overlord mobilise énormément de ressources économiques avant même que le premier coup de feu ne soit tiré. Son coût astronomique n'a pas encore été calculé. Le sera-t-il un jour?? Qui osera mettre un chiffre devant l'immonde gaspillage que représente une guerre mondiale pour l'espèce humaine?? Probablement personne?! On peut néanmoins se représenter l'ampleur de l'aventure en parcourant les différentes étapes qui ont conduit à son déroulement, et ce dans les deux camps. Ces pages vont donc vous emmener du 10 Downing Street dans le bureau embué de fumée de havane de Churchill à la Chancellerie du III. Reich au coeur de Berlin. C'est en effet d'abord au niveau politique que les décisions menant à cet affrontement majeur vont se prendre. Elles passent ensuite par Casablanca, où la décision d'attaquer est prise avant même que l'Axe ne soit chassé d'Afrique. Sur les côtes normandes, les Alliés vont retrouver une vieille connaissance qui leur a mené la vie dure dans les sables du désert libyen. Un certain Erwin Rommel a en effet été désigné par Hitler en personne pour faire face à l'inévitable attaque alliée sur les rivages continentaux. Le soldat que l'on dit pourtant proche des séditieux va se dépenser sans compter pour rendre le fameux mur de l'Atlantique infranchissable.
L'Ardenne terre d'Histoire, de nature, de gastronomie où nous avons passé des vacances, un week-end, des instants ayant attisé notre curiosité parce que cette région-là possède quelque chose d'envoûtant. C'est en partant de cette certitude que les éditions Weyrich ont conçu une collection « poche » de quatre volumes. Une passionnante collection, avec les textes de Jean-Luc Duvivier de Fortemps et les superbes photographies de Benjamin Stassen et Benjamin Lesage.
Ce lot contient : Lieux sacrés et saints de l'Ardenne - Châteaux forts d'Ardenne - L'Ardenne antique - L'Ardenne fantastique.
Comme tous les belligérants du premier conflit mondial, l'armée belge est forcée de se retrancher. Accrochée au dernier morceau de territoire belge qu'elle peut défendre, elle s'installe derrière l'Yser. L'eau est omniprésente et augmente les difficultés du soldat déjà confronté à bien des vicissitudes : un armement incomplet et suranné, des tenues mal adaptées et usées jusqu'à la corde, un adversaire très bien équipé pour la guerre de position, etc. Mais quelle que soit leur nationalité, les difficultés et les privations des soldats vont être les mêmes. Si, dans certains secteurs calmes, une routine s'organise avec les moyens du bord, dans d'autres, les cadavres s'amoncellent, obligeant les combattants à vivre dans une terrible promiscuité avec la mort.
Plongeons dans l'univers des Jass, Poilus, Landsers et autres Tommies pour découvrir quelle était leur vie quotidienne et comment ils se battaient.