Les premières amours sont des choses sérieuses : les filles s'y transforment en femmes, les garçons en hommes. Loin de la fraîcheur et de la liberté que leur prêtent parfois les souvenirs adultes, ces métamorphoses sont difficiles, pleines d'enjeux et d'embûches. Pour faire leurs preuves, les jeunes doivent s'efforcer de répondre à des attentes sans que celles-ci ne soient jamais nettement formulées, tant l'attirance et le sexe sont réputés affaires naturelles et spontanées.
À partir de trois terrains d'observation qui l'ont menée des cités d'habitat social aux beaux quartiers parisiens en passant par le monde rural, Isabelle Clair propose une lecture sensible et incarnée de la façon dont les jeunesses françaises traversent cet âge des amours débutantes, du collège à l'entrée dans l'âge adulte. Elle montre qu'on attend toujours de la réserve de la part des filles, de la puissance de la part des garçons et que les conduites quotidiennes sont loin d'être bouleversées par le mariage pour tous et le mouvement #MeToo. Son travail d'enquête au plus près des expériences révèle ainsi comment les jeunes viennent à la sexualité.
Traduit de l'anglo-américain, le concept de genre s'est progressivement imposé en France au cours des quinze dernières années. Il recouvre désormais un corpus incluant d'autres concepts qui l'ont précédé, tels que « rapports sociaux de sexe » ou « domination masculine ». L'objectif de ce manuel est de mieux cerner la polysémie du genre et d'introduire aux recherches prolifiques qui sont rassemblées sous sa bannière.
Tous les travaux de la sociologie du genre ont en commun une problématique : la construction sociale de la différence hiérarchisée des sexes et/ou des sexualités ; une histoire, commencée dans les années 1970, ancrée dans une critique féministe de la sociologie de l'époque qui voyait dans la classe sociale le seul clivage pertinent pour analyser les relations sociales ; une ambition : faire la preuve, enquête après enquête, de la transversalité des rapports de sexe et de sexualité dans le monde social, et convaincre de la nécessité de leur prise en compte dans l'élaboration de n'importe quel objet sociologique.
Dans le cadre d'une enquête dans quatre " cités " de la banlieue parisienne, une soixantaine de filles et de garçons, âgés de 15 à 20 ans, racontent leur entrée dans la vie amoureuse, ses déboires et ses félicités. L'étude de leurs relations amoureuses permet de restituer sous les faux-semblants une réalité complexe, faite aussi de femmes et de filles, et du même coup de sortir ces dernières de leur rôle nécessairement secondaire (victimes des garçons/hommes, violées, voilées, recluses). Ce livre qui restitue largement la parole des jeunes eux-mêmes interroge une domination masculine aussi certaine qu'ambiguë. Le grand mérite de l'auteure est de s'inscrire en faux contre l'habitude prise de ne décliner les " jeunes des cités " qu'au masculin, en capuches, baskets et machisme assorti. Elle apporte un démenti à toute une série d'approches, politiques, médiatiques et le cas échéant sociologiques qui tirent parti de cette domination masculine affichée pour stigmatiser deux fois les banlieues, et spécialement les milieux issus de l'immigration : en caricaturant les garçons, en niant les filles.
Traduit de l'anglo-américain, le concept de genre s'est progressivement imposé en France au cours des quinze dernières années. II recouvre désormais un corpus incluant d'autres concepts qui l'ont précédé, tels que " rapports sociaux de sexe " ou " domination masculine ". L'objectif de ce manuel est de mieux cerner la polysémie du genre et d'introduire aux recherches prolifiques qui sont rassemblées sous sa bannière.
Tous les travaux de la sociologie du genre ont en commun une problématique : la construction sociale de la différence hiérarchisée des sexes et/ou des sexualités ; une histoire, commencée dans les années 1970, ancrée dans une critique féministe de la sociologie de l'époque qui voyait dans la classe sociale le seul clivage pertinent pour analyser les relations sociales ; une ambition : faire la preuve, enquête après enquête, de la transversalité des rapports de sexe et de sexualité dans le monde social, et convaincre de la nécessité de leur prise en compte dans l'élaboration de n'importe quel objet sociologique.
Un ouvrage de 112 pages, qui renferme 212 questions : Pourquoi les chevaliers se battaient-ils ? Pourquoi les 3 mousquetaires étaient-ils 4 ? Pourquoi les fleurs sentent-elles bon ? Pourquoi y a-t-il des arcs-en-ciel ? Pourquoi a-t-on des fourmis dans le corps ? Pourquoi les cheveux deviennent-ils blancs ? Pourquoi doit-on être polis ? Pourquoi les Anglais roulent-ils à gauche ? Pourquoi ne voit-on les étoiles que la nuit ?
Maurice Denis (1870-1943) est un artiste aux talents multiples, peintre et décorateur, théoricien, fondateur du groupe des Nabis et rénovateur de l'art sacré. Il a toujours vécu à Saint-Germain-en-Laye, dans l'ouest parisien, et aimé la Bretagne où il acquit une maison de vacances à Perros-Guirec, en Côtes d'Armor. Le thème de la Nature permet d'embrasser l'essentiel des sujets qui ont fait sa notoriété, des figures au jardin aux récits mythologiques, en passant par les forêts et paysages d'Italie et d'ailleurs. Le peintre n'a eu de cesse de recueillir des émotions de nature, qui participent de son bonheur de vivre. Les arbres constituent un motif récurrent dans sa peinture, qui suscite le dialogue permanent entre art et nature, matériel et spirituel. Ardent défenseur de l'environnement sur ses territoires d'élection, il nous invite à goûter les « chemins de la Nature », titre de ce bel ouvrage truffé d'inédits, à paraître à l'occasion de l'exposition présentée au Domaine départemental de La Roche Jagu et au musée départemental Maurice Denis.
Catalogue de l'exposition qui aura lieu au domaine de la Roche-Jagu (22) du 6 mai au 1er octobre 2023 et au Musée départemental Maurice Denis de St-Germain-en-Laye à l'automne 2023.
La critique de la famille est au coeur de la pensée féministe. Pourtant, dans les études de genre, comme dans bien d'autres domaines de recherche, la métaphore familiale est souvent mobilisée pour exprimer l'entremêlement du biographique et du bibliographique, du personnel et du politique, des idées et des affects. Composé d'articles, d'entretiens, de récits et de cartes mentales, cet ouvrage déplie la métaphore pour saisir ce que l'on considère d'ordinaire comme étranger à la sphère professionnelle et intellectuelle. Des AG enfumées du MLF aux bancs de l'université et aux mobilisations actuelles, comment comprendre de manière réflexive les héritages, les liens, les ruptures, les griefs ou les passages de relais entre les générations ? En retraçant l'histoire d'un engagement collectif qui a transformé la pratique des sciences humaines et sociales, ce livre révèle aussi la matière même des vies intellectuelles.
Avec les contributions de Maira Abreu, Zahra Ali, Laure Bereni, Michel Bozon, Judith Butler, Maxime Cervulle, Isabelle Clair, Sonia Dayan-Herzbrun, Baptiste Coulmont, Leyla Dakhli, Virginie Descoutures, Xavier Dunezat, Elsa Dorlin, Agnès Fine, Fanny Gallot, Nacira Guénif-Souilamas, Astrid Henry, Helena Hirata, Alban Jacquemart, Rose-Marie Lagrave, Jacqueline Laufer, Margaret Maruani, Camille Masclet, Frédérique Matonti, Mélusine, Pascale Molinier, Nelly Quemener, Florence Rochefort.
Philosophe et polyglotte, Eleni Varikas explore la dimension politique de la domination - la sujétion des femmes et des esclaves, leur exclusion de la démocratie, la naturalisation des inégalités et des oppressions. Faisant du genre un « concept voyageur », elle travaille sur la modernité avec Locke et Adorno, Virginia Woolf et Hannah Arendt, Donna Haraway et Angela Davis. Ce recueil invite à repenser le concept d'universalisme à la lumière de l'infériorisation des femmes, et celui de la liberté moderne à la lumière de l'esclavage et de la colonialité. Les textes sont tour à tour présentés par Michelle Perrot, Toni Negri, Catherine Achin, Elsa Dorlin, Martine Leibovici, Michaël Löwy, Keith McLelland et Sonya Dayan-Herzbrun.
Terre d'accueil historique, la France a scolarisé de nombreux enfants étrangers tout au long du XXe siècle en privilégiant une approche centralisée et universaliste. Depuis les années 1970, la prise en charge des enfants migrants a évolué dans une perspective inclusive. L'arrivée de familles migrantes et en demande d'asile, et l'accroissement du nombre de mineurs non accompagnés induisent un défi de taille pour le milieu scolair e Les 9 chapitres abordés par des chercheurs de différentes disciplines (sociologie, histoire sociale, droit, didactique des langues, sciences de l'éducation) proposent une vision pluridisciplinaire des politiques éducatives qui conditionnent les vécus de l'enfance et de la jeunesse migrantes. Ce recueil éclaire les problématiques socio-éducatives et didactiques au prisme de la question migratoire et au regard des biographies langagières et scolaires.
Les approches historique et quantitative permettent d'appréhender l'évolution des migrations enfantines et juvéniles, tandis que le droit à l'éducation de ces jeunes dans le contexte français est mis en regard des référentiels institutionnels européens.
L'analyse ethnographique des expériences sociales et des relations pédagogiques des enfants et jeunes migrants offre des clés de compréhension relatives tant à leurs trajectoires et projets migratoires qu'à leurs parcours en France. Mais elle interroge aussi l'école et la place des élèves migrants en son sein. Plus concrètement, au sein des classes, les choix d'enseignement linguistique pour un public identifié comme « allophone » sont questionnés à l'aune des évolutions institutionnelles et didactiques.
Les objets de dévotion (images, chapelets, statuettes, chemins de croix portatifs...) font partie de la vie quotidienne des chrétiens depuis des siècles. La bibliothèque dominicaine du Saulchoir (Paris) est reconnue comme un point de passage obligé pour leur étude. Sa collection d'images de dévotion, qui compte plus de 200 000 pièces classées, constitue un corpus majeur dans ce domaine encore peu étudié.
Depuis la recherche pionnière d'Adolf Spamer en 1930 et, beaucoup plus tard, l'exposition sur Un siècle d' images de piété, 1814-1914 organisée au Musée-galerie de la SEITA en 1984, ce corpus et d'autres collections ont commencé à être défrichés. Mais il manquait une confrontation des diverses approches de ces images et un bilan ouvrant des pistes de recherches, à l'exemple des catalogues d'exposition réalisés à Piombino. Pour combler cette lacune, un colloque international, « Précieux souvenirs : histoire de l'imagerie de dévotion en Europe », organisé par la bibliothèque du Saulchoir en collaboration avec l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, s'est tenu à Paris les 21 et 22 novembre 2019.
Ce volume rassemble les contributions des intervenants à ce colloque, qui a accordé une large place aux collectionneurs et tracé de riches perspectives. Après un rappel de l'intérêt manifesté par l'ordre des Prêcheurs pour les images de dévotion, il offre un aperçu des recherches portant sur la création, l'édition et la diffusion en France de ces images, mais aussi sur leur iconographie et les courants artistiques qui les ont illustrées, sur la place qu'y tient l'histoire et sur leurs usages, y compris dans le monde protestant. Si la France occupe une place privilégiée dans ces études, plusieurs spécialistes élargissent notre regard en se penchant sur la production des images de dévotion en d'autres pays européens : l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne.
Un volume essentiel pour mieux mesurer la diversité inattendue de ces images et leur fonction dans la société, et ainsi mieux cerner certains aspects du christianisme vécu en Europe du XVIe siècle à nos jours.
Contre toute attente, Candice passe ses vacances chez son père au Canada où il est resté après sa séparation alors que Candice et sa mère regagnaient Paris. Bien que furieuse du bouleversement de ses plans, Candice se réjouit de retrouver ses deux meilleures amies avec qui elle va travailler au parc Mont Royal de Montréal.
Les trois jeunes filles et leur nouveau compagnon vont apprendre à écouter et à regarder la Nature si étonnante du domaine.
Cependant, au fil de rencontres insolites, Candice s'interroge sur le fil qui la lie elle, Candice, à ce territoire.
A travers 84 oeuvres commentées issues des très riches collections de dessins du musée d'Orsay, l'exposition et son catalogue retracent une histoire du portrait et de l'autoportrait d'artistes à l'époque du culte des grands hommes.
Peintres, sculpteurs, graveurs ou écrivains de la seconde moitié du XIX e siècle se dévoilent et se mettent en scène dans des techniques très variées qui laissent visible le processus de création. Les chefs d'oeuvre de la collection y côtoient des feuilles jamais présentées auparavant. Les grands noms y rencontrent des artistes moins connus mais à l'indéniable talent de dessinateur qui méritent d'être découverts ou redécouverts.
Introduisant le lecteur au coeur de l'intimité des auteurs de ces oeuvres fragiles et émouvantes, l'ouvrage invite à pousser la porte des ateliers pour les entrevoir en plein travail ou surprendre les relations d'amitié, les camaraderies d'atelier, les affinités esthétiques et stylistiques.
Adapter l'organisation du travail aux nouvelles données économiques, politiques, sociales ou environnementales c'est 1/2uvrer pour la pérennité de l'entreprise.
Encore faut-il savoir le faire avec persuasion, persévérance et surtout beaucoup d'écoute. Oublier, dans cet exercice le facteur humain serait une grave erreur.
Les cinq membres de la mission 2020 ont réfléchi à cette problématique, sans oublier qu'elles-mêmes, embarquées dans ce travail en pleine pandémie ont du s'appliquer ce principe: s'adapter pour durer...
Voici une réflexion collective et pluridisciplinaire sur les modalités de production des catégorisations et assignations identitaires. Tandis que l'actualité politique et médiatique va dans le sens d'un renforcement des représentations stéréotypées et simplifiées de la réalité sociale, il s'agit ici de déconstruire les images stigmatisantes et fixistes imposées par les discours dominants. Les pratiques sociales restent encore trop souvent analysées au prisme de l'« immigration » et de l'« intégration », y compris dans la production scientifique, alors même que de plus en plus de faits et d'acteurs sociaux ne se rapportent plus que de façon lointaine à une expérience de migration.Cet ouvrage part du terrain et des acteurs sociaux. Basé sur des récits restitués par des sociologues, des anthropologues et des historiens, chaque chapitre déroule le fil de parcours de vie, individuels ou familiaux. Les auteurs s'arrêtent ainsi au côté de femmes et d'hommes, de leurs expériences diverses et complexes, des contradictions institutionnelles qui interagissent dans leur vie, des discriminations qu'ils subissent et intègrent, des multiples manières dont ils improvisent ou composent, au fur et à mesure, à différents moments biographiques et dans divers espaces géographiques, des modalités selon lesquelles ils se racontent, se désignent, s'identifient.Contribution originale à la sociologie générale, ce livre qui témoigne, comme le souligne Maryse Tripier dans sa préface, de la pleine légitimité acquise par les recherches sur les relations interethniques, contribue à défaire des préjugés trop installés et ouvre des perspectives pour les travaux à venir. Riche d'enseignements pour tous ceux qui entendent progresser dans cette voie, il intéressera les étudiants, les professionnels, les acteurs de terrain et tous ceux qui entendent réfléchir en citoyens informés sur l'évolution de la société civile.Claire Cossée, Emmanuelle Lada et Isabelle Rigoni, sociologues rattachées au laboratoire Genre et Rapports Sociaux (GERS-CNRS), ont conçu et coordonné cet ouvrage.
Mise en conformité et franchissements des catégories. Faire face à la violence des assignations. Préambule. Un prisme en noir et blanc. L'invisibilité des familles multiraciales dans le recensement américain au début du XXe siècle. Familles antillaises de milieu populaire. Un rapport spécifique à l'école de la métropole. L'arrangement des origines. D'un espace à l'autre. Circulation et frontières. Préambule. Traversée de frontières. L'identité combinée d'une jeune fille de France et de Turquie au fil du temps. Drogue, VIH et individuation des femmes gitanes.
Un essai éclairé sur l'histoire de la littérature de jeunesse qui apporte des repères clairs et essentiels pour en comprendre les problématiques et les enjeux. Comment expliquer que, dès ses origines, la littérature jeunesse ait fait la part belle à l'humour ? Pourquoi a-t-il fallu attendre le début du 20e siècle pour voir apparaître des animaux personnages dans les livres pour enfants ? De Babar à la Grenouille à grande bouche, quelles fonctions assigne-t-on à ces animaux humanisés ? Quel est ce vent de liberté que font souffler à partir de 1936, dans les livres, comptines et formulettes ? A-t-on toujours pensé que «les contes, c'est pour les enfants » ? Pourquoi y a-t-il tant de héros orphelins dans la littérature jeunesse ? Dans cet essai, qui apparaît comme la somme de ses cours, Isabelle Nières-Chevrel répond à toutes ces questions avec une concision et une précision rares.
A une heure incertaine, une petite prénommée Alice tombe au fond d'une théière parce qu'elle y a vu un lapin, un chat, un lézard, un tricheur. Sous cette théière, un peu ébréchée, petit théâtre qui rappelle notre monde, vit la grande Alice qui convie les spectateurs à boire un thé. La grande dit se nommée Alice elle aussi.La pièce entre théâtre d'ombre et théâtre d'acteurs nous emmènent dans les rêves fous de la petite qui va croiser sur sa route de nombreux personnages : Bazar, un lapin toujours pressé, Beau sourire, un chat aux dents pointues. Avant d'avoir rendez vous pour boire un thé de l'autre côté du jardin des merveilles.
Mais ne serait ce pas ses rêves fous et étranges qui vont aider la petite Alice à grandir ?
Dans une optique rétrospective, ce numéro porte sur les principaux objets et concepts-clés des études féministes françaises au cours des quarante dernières années. C'est notamment l'occasion d'interroger les disciplines, les définitions et les usages qui se sont emparés du concept de 'genre', lequel s'est progressivement imposé sous des acceptions variables, et de se pencher sur les structures académiques et éditoriales qui l'ont diffusé.
Claire et Isabelle, les fées de l'écoLOnomie, ont sélectionné pour vous les 14 recettes indispensables pour l'entretien complet de votre maison. Des recettes de produits prêts à l'emploi, simples, efficaces, pratiques à utiliser, nécessitant des ingrédients simples. Chacune de ces recettes a été testée, éprouvée et éventuellement ajustée dans le but d'obtenir les alternatives les plus efficaces et tout aussi pratiques que les produits du commerce. Ce livre joliment illustré décrit tout d'abord les ingrédients : leurs propriétés, leurs usages, leur coût moyen et les précautions d'usage. Puis les 14 fiches recette vous décrivent comment fabriquer et employer le produit. Pour plus de simplicité, chaque recette est accompagnée d'un tableau de dosage qui vous permettra d'adapter votre recette à la taille votre contenant. Ces recettes DIY ont été sélectionnées et adaptées dans un seul but: nettoyer facilement sa maison en prenant soin de sa santé et de celle des autres en y consacrant le minimum de temps et d'énergie!
Cet ouvrage détachable traite l'ensemble du nouveau référentiel du Bac Pro ASSP : il couvre les 3 niveaux (2de/1re/Tle) et les 4 blocs de compétences.
Il est proposé au choix en livre papier + licence numérique i-Manuel ou en 100% numérique i-Manuel.
En version imprimée, cet ouvrage propose en complément une licence numérique i-Manuel 2.0, la solution pour mettre les élèves en activité sur ordinateur ou sur tablette.
Les infos pratiques sur le i-Manuel 2.0 à découvrir ci-dessous.
Cet ouvrage traite les Techniques professionnelles STMS relatives à l'accompagnement, aux soins d'hygiène et de confort, au raisonnement clinique et à l'éducation à la santé.
Simulation en santé : plus de deux heures de vidéos exclusives Nathan sont proposées pour analyser les bonnes pratiques et construire les compétences de toutes les techniques de soins du bloc 2. D'autres vidéos sont consacrées à l'aide à la mobilité.
Structure d'un chapitre :
- Une page d'ouverture pour entrer dans la notion, en saisir les enjeux et tisser des liens avec les compétences du référentiel.
- Des pages " Activités " avec des documents variés pour travailler les différents aspects de chaque notion, et des jeux de rôle.
- Des mises en pratique professionnelles pour s'exercer aux différentes techniques de soins. Une grille d'observation est disponible sur le site compagnon.
- Une page de synthèse avec l'essentiel à retenir sous forme de texte et de carte mentale.
- Des podcasts de professionnels (infirmier, aide-soignant, éducateur...) accessibles par QR Codes.
L'image est un média, peut-être le premier, le plus ancien. Depuis Lascaux, les individus, les groupes, les pouvoirs politiques et religieux en ont fait un allié ou un péril. Tout au long du XXe siècle, les images se sont immiscées partout. Acheminées par le cinéma, la télévision ou la presse écrite, véhiculées par Internet, elles s'installent au coeur du public comme du privé. Avec l'émergence des médias de masse, l'image et la politique ont renforcé leurs liens, forgeant une relation où les deux champs s'interpellent et se nourrissent intensément.
L'étude du champ politique doit donc se saisir de ce corpus toujours plus foisonnant. Elle doit s'y atteler sans se fixer de limites a priori sur une définition des images politiques et sans se contenter d'étudier leur contenu (politique).
Réunissant une trentaine de contributions dans une perspective internationale et interdisciplinaire, cet ouvrage croise les supports, les espaces socioculturels et les temporalités afin de mettre au jour les invariants et les ruptures, qu'il s'agisse du choix des thèmes ou des modes de mise en scène de la politique à chaque époque ou selon chaque régime. Couvrant les xxe et xxie siècles, l'ouvrage permet de relier différentes « époques médiatiques » et de voir les continuités, les filiations, les apports, les recompositions et les complémentarités entre des médias dits traditionnels (cinéma, télévision, photographie, presse écrite) et les nouveaux médias à l'âge du numérique (Internet, téléphones portables, jeux vidéo) dans leur façon de s'emparer ou d'être saisis par la politique.
Le livre du professeur de Techniques professionnelles - 2de/1re/Tle Bac Pro ASSP - propose tous les corrigés.
Un livre de jeux. mais pour quoi faire ?
Les jeux que nous proposons dans cet ouvrage sont connus et doivent figurer dans la boîte à outils de l'animateur. Mais l'originalité de ce recueil est de vous servir de guide et de modèle pour créer vous-même vos propres supports, bénéficier de conseils et de pistes pour les adapter à votre public.
Vous trouverez en début de chaque partie des idées complémentaires et des pistes permettant d'aller plus loin dans votre démarche. En effet, l'activité que vous proposez doit toujours répondre aux attentes exprimées par les personnes et nécessairement s'inscrire dans un projet global.
Nous avons insisté chaque fois sur les possibilités d'échanges et de dialogue que ces jeux doivent faire naître entre les participants. Le premier objectif est le plaisir, le deuxième d'encourager l'autonomie, le troisième de faciliter la créativité, le tout étant de valoriser chacun.
Toutes les ressources culturelles sont à exploiter (traditions, activités du quotidien, art.), car c'est ce qui permet à la personne âgée de rester en prise sur son époque, en connexion avec les références de ses proches, en lien avec la réalité.
Enfin, les ressources constituent à elles seules mille idées d'activités en vous donnant de nombreuses références bibliographiques, musicales, artistiques ou de réflexion.
Très pratique, cet ouvrage s'adresse aux animateurs, AMP et toute personne intervenant dans la vie sociale des Ehpad, USLD, accueils de jour, foyers logements, etc.