Des premiers émois de l'enfance aux plus grands rôles de Molière et Shakespeare dans des salles combles, Jacques Weber se souvient, par flashs, d'une vie monumentale. Se côtoient dans une joyeuse effervescence les muses Marguerite Duras et Grace de Monaco, les comparses de scène Francis Huster, Jacques Villeret ou Isabelle Adjani, l'admiration émue pour Catherine Deneuve, Gérard Depardieu... les souvenirs familiaux, également, ne sont jamais loin, comme celui de sa mère pleurant la disparition de Gérard Philippe ou celui de son frère adoré, Bernard.
L'exercice autobiographique devient vite le prétexte au tableau d'une époque, d'une génération ; celle de jeunes brûleurs de planches promis à un avenir radieux - du moins, pour ceux qui ne se consumeront pas en cours de route. C'est à eux, également, que Weber rend hommage avec une douce mélancolie.
Vieille civilisation plusieurs fois millénaire, l'Inde, qui sera l'une des grandes puissances du XXIe siècle, demeure méconnue en France. L'histoire de l'Inde ancienne est généralement ignorée aujourd'hui, alors qu'elle faisait l'admiration du siècle des Lumières et du premier XIXe siècle.
" Entre sa correspondance éprise d'une liberté exubérante et contradictoire, et ses romans et contes ciselant ses regrets d'autres siècles, l'ennui et la sottise de l'esprit bourgeois, Flaubert, ermite et mondain, apparaît comme l'un des colosses de son temps. Il n'aime pas le port mais la haute mer. Ses hautes vagues, ses creux et ses houles. L'acteur-auteur y nage et s'y noie, par les champs et par les grèves bretonnes, dans les boues et les gouffres des chantiers d'Haussmann, dans les bordels du Caire et les jupons des courtisanes de la rue Saint-Honoré, dans les silences orageux partagés avec sa mère, son jardinier ou son chien, dans le secret de ses amours londoniens avec miss Herbert, ou celui, très officiel et ô combien tempétueux, avec Louise Collet...
Mystique et queutard, gourmand et ascétique, il cerne le sujet invisible, le rien, cet autre univers qui, comme la terre, se tient en l'air sans être soutenu, le silence de la littérature . J'enquête, mes mots ricochent sur les siens, l'onde s'écarte en cercles de plus en plus grands, puis disparaît à l'horizon, lui qui recule à mesure que l'on s'avance. "
Jacques Weber triomphe dans Cyrano, à Mogador. Soudain, il perd sa voix. Perdre sa voix, n'est-ce que « dans la tête », comme lui répètent les médecins ?
Il se voit alors proposer deux mois de tournage au Liban, en pleine guerre. Il faudrait quitter Christine et leur petit garçon... Ne serait-ce pas fou, inconscient, improbable ?
Christine l'accompagne finalement, à Beyrouth, où la mort est un bruit persistant. Le café blanc, la danse des mouchoirs, le parfum du jasmin, n'ont très vite plus rien de pittoresque ; il faut s'habituer aux grondements de la montagne, aux tirs en rafales, aux joutes avec des kalachnikovs.
La survie s'installe dans les chairs du couple. Le « rat dans la gorge » est bien petit face à l'urgence de vivre.
«?La littérature a commencé pour moi dans les pages d'une bondieuserie bon marché. Plus tard, la lumière a jailli à la manière des ciels bretons, alternant les fausses teintes, les petits bouts de bleu et les rayons crevant les nuages en longues trompes tibétaines. C'est de là que me vient ce goût d'un sentiment mystique qui rôde autour de la lecture.
C'est toujours dans les histoires d'enfants, naïves ou, comme on dit, « bêtes comme chou?», que se dit quelque chose qui ne vous quitte plus.
C'est par la porte des enfants que j'entrai en littérature ».
Les livres l'ont conduit au théâtre et au cinéma, à moins que ce ne soit l'inverse... Jacques Weber nous plonge dans les oeuvres qui ont marqué sa vie et sa carrière. Une promenade littéraire et passionnée.
L'ambition de cet ouvrage st double : d'une part explorer l'apport de la littérature coloniale à travers les regards et les expériences des écrivains qui ont utilisé le " monde exotique " et le monde colonial comme sujets d'écriture.
D'autre part, croiser les regards et les expériences en étudiant et en comparant les grandes régions colonialisées, et leurs colonisateurs : Indochine, Océanie, Afrique et Maghreb " français ", mais également "Inde " anglaise ". Cette approche est de plue enrichie par l'étude de deux peintres français installés an Algérie et au Laos, qu'il est intéressant de rapprocher de leurs contemporains écrivains.
Autour de Jacques Weber, auteur d'une étude approfondie sur " La littérature, une source d'histoire coloniales (1889-1940) ", Henri Copin, Alain Quella-Villéger, Frédéric Angleviel, Alain Ruscio, Nguyên Thê Anh, Yvan Daniel, Alain Tirefort, Alain Rouaud, Claudine Le Blanc et Emmanuel Affidi ont apporté leurs riches contributions à ce grand voyage.
Cet ouvrage est le troisième de quatre volumes, dont les deux premiers sont parus en 2019 et 2020. Le premier, intitulé « l'Inde entrevue », est consacré aux deux Compagnies, celle de Colbert et celle de Law, aux comptoirs et à leur commerce, à la politique de Dupleix et à la rivalité franco-britannique, qui se termine par la mainmise de l'East India Company et à l'éviction complète des intérêts français dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Au XIXe siècle, des officiers napoléoniens qui administrent le royaume sikh du Punjab et des missionnaires catholiques entretiennent une présence française dans un pays où la France ne joue plus aucun rôle. Elle végète dans ses misérables comptoirs jusqu'au Second Empire quand, grâce aux progrès du libre-échange au Royaume-Uni, grâce à l'essor de l'émigration indienne aux colonies à sucre, grâce à son industrie textile, Pondichéry connaît un spectaculaire renouveau. Le second volume traite de la politique d'assimilation de la Troisième République dans ses comptoirs, dont tous les habitants sont dès 1871 proclamés citoyens et électeurs sans distinction de couleur, de religion ni de caste. Imposée sans concertation préalable par le pouvoir central, cette politique qui se veut décentralisatrice produit des effets désastreux, conférant le pouvoir à un parti indien réactionnaire et anti-français, puis, à partir de 1906, à de véritables maffias politiques. Les effets de l'assimilation se font sentir jusqu'au dernier moment : héritière de sa devancière, la IVe République ne peut céder ses établissements à l'Inde de Nehru sans consulter leurs habitants qui sont des citoyens français. Or, le parti du Congrès ne veut pas d'un référendum. Le troisième et le quatrième volumes sont consacrés aux regards et aux influences croisés. Les représentations de l'Inde en France, l'image et l'influence de la France en Inde, les perceptions du nationalisme indien en France et les relations bilatérales après l'indépendance de l'Union indienne jusqu'à nos jours. Le quatrième volume « Les relations bilatérales » est la suite du troisième et reprend la bibliographie et un index général.
Jacques Weber, professeur émérite d'Histoire contemporaine à l'université de Nantes, membre de l'Académie des Sciences d'outre-mer, grand spécialiste de l'Inde à laquelle il a consacré de nombreux ouvrages, et de l'histoire coloniale. Il a publié aux Indes savantes: Les Relations entre la France et l'Inde de 1673 à nos jours; Littérature et Histoire coloniale (ouvrage collectif ); Le Siècle d'Albion. L'empire britannique au XIXe siècle (1815-1914); Les Elections législatives et sénatoriales outre-mer (1848-1981) avec L. Jalabert et B. Joly.
"À travers les grands textes qui l'ont traversé, les personnages qu'il a interprété, les oeuvres qui l'ont ému, Jacques Weber dresse un portrait intime de la vie d'un comédien en prenant à son compte les mots des autres. De Molière à Edmond Rostand en passant par Jean de La Fontaine et Vladimir Maïakovski, c'est tout le panthéon d'un formidable interprète qui est réuni ici pour former des « éclats de vie »."
Aucune puissance, ni l'Espagne de la Renaissance, ni les Etats-Unis du XXe siècle, n'a plus que la Grande- Bretagne contribué à la naissance du monde contemporain, à la diffusion des progrès scientifiques et technologiques et des valeurs religieuses, morales et politiques du vieux continent.C'est à l'Angleterre que l'on doit l'ouverture du monde, le décloisonnement des civilisations et des sociétés. Différents facteurs expliquent l'avance et la puissance d'Albion au XIXe siècle et l'empreinte qu'elle a laissée sur le monde : la conquête des libertés et le consensus autour des institutions, la puissance économique et la domination des océans, l'efficacité du Foreign Office dans les affaires européennes, l'esprit d'entreprise de ses fils, tels Thomas Stamford Raffles à Singapour, James Brooke, le rajah blanc de Bornéo, et Livingstone, qui incarne les valeurs morales de sa nation.Le lecteur trouvera dans cet ouvrage d'importants développements sur la situation politique et sociale et sur les mentalités de l'Angleterre victorienne, sur son essor industriel et commercial et sur les difficultés du tournant du siècle, quand émergent de niveaux géants, sur sa politique d'équilibre sur le continent et de maîtrise de la Méditerranée et de la route des Indes. L'hétérogénéité de l'empire est analysée en détail : Des colonies de peuplement qui accèdent au self-government et des colonies d'exploitation, où les droits politiques des indigènes sont inexistants ; des possessions tantôt administrées directement, tantôt régies par l'indirect rule.L'histoire intérieure des plus importantes est privilégiée, et notamment les secousses qui les agitent, comme la révolte des Cipayes et la guerre des Boers, sans vraiment ébranler les certitudes de Londres.
« Un homme encore jeune, c'est-à-dire pas tout à fait ; toujours en forme ; souligne-t-on au cas où certains petits détails auraient dit le contraire, soliloque dans un bar, dessine sur une nappe - il est comédien reconnu, un temps même très connu en interprétant le rôle de Cyrano.
Depuis, à vue de nez, tout va bien, sauf que dans les divers rôles qu'il interprète, sa petite ou la grande histoire qu'il traverse, Cyrano est là, en coulisses, sur scène et dans la vie - après trois cents représentations, au théâtre Mogador en 1983, il le rejouera dans une version intime conçue par sa femme, interprétera De Guiche dans le film légendaire de Jean-Paul Rappeneau puis le mettra en scène avec de jeunes acteurs. Ce n'est pas une maladie qu'il veut soigner, mais une enquête inassouvie jusqu'alors qu'il veut poursuivre... il décide d'aller plus loin que le bout de son nez.
Cyrano accompagne la mémoire nationale et touche le coeur de chacun. On y aime d'abord le clairon et les pizzicatis des larmes et bien souvent on laisse traîner dans sa tête le désir vague de retrouver la clef d'une énigme apparue si claire le temps de la représentation.
Une enquête, c'est tous les moyens mis à votre disposition, aussi bien ceux de la littérature, du retour sur le lieu du crime, au coeur du texte et des représentations, ADN des hommes et des rôles, mais aussi ceux d'une retraite à la campagne ou en bord de mer où le regard d'une vache, celui d'Éric Tabarly ou d'un poisson mort ouvrent d'autres pistes.
C'est moi le sexagénaire, je m'appelle Jacques Weber, né le 23 août 1949 - origine suisse et belge, identité nationale douteuse mais passable - 1 m 87, 120 kg à ce jour -, j'ai joué aussi Raskolnikov qui demande à l'enquêteur Porphyre : Quel homme êtes-vous donc !? - Un homme comme les autres et vous aussi ! »Jacques Weber
C'est au cimetière du Père-Lachaise, un jour qu'il s'y trouvait pour accompagner son ami Serge dans son dernier voyage, que Jacques Weber a vécu ces heures lentes, lourdes. Elles auraient dû l'accabler, l'anéantir. Elles ont renforcé son goût de vivre, son insatiable appétit des autres. Au fond de lui-même, il a réagi à la manière tonique d'un Léo Ferré : « Tu meurs, moi pas ! » Un autre jour, deux années plus tard, Jacques Weber a éprouvé l'envie irrésistible de donner une deuxième vie à Serge, en jetant tout sur le papier : leur rencontre imprévisible et extravagante, leurs amis, leurs amours, leurs chagrins, leurs joies.
En racontant Serge, Jacques se raconte aussi, un peu, pas trop, juste pour qu'on comprenne bien de quoi s'est nourrie leur vie d'artistes, leur existence d'humains : d'émotions et de découvertes, de coups de coeur et de partages, de coups de gueule sans retenue et de silences pudiques. En faisant revivre Serge, Jacques met aussi en lumière, pour « quelques secondes d'éternité », Marie, Nathalie, John, Luc, Sandrine et d'autres, tous siens, tous leurs. Si des noms connus surgissent (Pierre Brasseur, Michel Simon, Simone Signoret...), c'est qu'ils ont leur place affectueuse et irremplaçable dans la vie de Serge et de Jacques, simplement, sans plus.
L'ouvrage est constitué de trois volumes, à paraître en 2019-2020. Le premier, intitulé « l'Inde entrevue », est consacré aux deux Compagnies, celle de Colbert et celle de Law, aux comptoirs et à leur commerce, à la politique de Dupleix et à la rivalité franco-britannique, qui se termine par la mainmise de l'East India Company et à l'éviction complète des intérêts français dans la seconde moitié du xviiie siècle. Au xixe siècle, des officiers napoléoniens qui administrent le royaume sikh du Punjab et des missionnaires catholiques entretiennent une présence française dans un pays où la France ne joue plus aucun rôle. Elle végète dans ses misérables comptoirs jusqu'au Second Empire quand, grâce aux progrès du libre-échange au Royaume-Uni, grâce à l'essor de l'émigration indienne aux colonies à sucre, grâce à son industrie textile, Pondichéry connaît un spectaculaire renouveau.
Le second volume traite de la politique d'assimilation de la Troisième République dans ses comptoirs, dont tous les habitants sont dès 1871 proclamés citoyens et électeurs sans distinction de couleur, de religion ni de caste. Imposée sans concertation préalable par le pouvoir central, cette politique qui se veut décentralisatrice produit des effets désastreux, conférant le pouvoir à un parti indien réactionnaire et antifrançais, puis, à partir de 1906, à de véritables maffias politiques. Les effets de l'assimilation se font sentir jusqu'au dernier moment: héritière de sa devancière, la ive République ne peut céder ses établissements à l'Inde de Nehru sans consulter leurs habitants qui sont des citoyens français. Or, le parti du Congrès ne veut pas d'un référendum.
Le troisième volume est consacré aux regards et aux influences. Y sont analysées les représentations de l'Inde en France, l'image et l'influence de la France en Inde, les perceptions du nationalisme indien en France et les relations bilatérales après l'indépendance de l'Union indienne.
C'est parce que la minuscule Inde française est devenue la terre des fraudes et des violences électorales, que le parti du Congrès peut s'opposer à l'organisation d'un référendum d'autodétermination après l'accession de l'Union indienne à l'indépendance en 1947.Le traité de cession ne sera signé qu'en 1956, mais dès avant le transfert de facto du 1er novembre 1954, l'essentiel est décidé: les ressortissants des comptoirs auront la faculté d'opter pour la France, ce que feront quelques milliers d'entre eux, à l'origine de la communauté franco-pondichérienne; les anciens Établissements français, Pondichéry, Karikal, Mahé et Yanaon, dont les habitants sont attachés à leur particularisme seront érigés en Territoire de l'Union indienne; les institutions culturelles françaises seront maintenues et contribueront au cachet de Pondichéry, dont la géométrie urbaine et la French Touch attirent aujourd'hui des visiteurs indiens et français de plus en plus nombreux.
Cet ouvrage est le troisième de quatre volumes, dont les deux premiers sont parus en 2019 et 2020. Le premier, intitulé « l'Inde entrevue », est consacré aux deux Compagnies, celle de Colbert et celle de Law, aux comptoirs et à leur commerce, à la politique de Dupleix et à la rivalité franco-britannique, qui se termine par la mainmise de l'East India Company et à l'éviction complète des intérêts français dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Au XIXe siècle, des officiers napoléoniens qui administrent le royaume sikh du Punjab et des missionnaires catholiques entretiennent une présence française dans un pays où la France ne joue plus aucun rôle. Elle végète dans ses misérables comptoirs jusqu'au Second Empire quand, grâce aux progrès du libre-échange au Royaume-Uni, grâce à l'essor de l'émigration indienne aux colonies à sucre, grâce à son industrie textile, Pondichéry connaît un spectaculaire renouveau. Le second volume traite de la politique d'assimilation de la Troisième République dans ses comptoirs, dont tous les habitants sont dès 1871 proclamés citoyens et électeurs sans distinction de couleur, de religion ni de caste. Imposée sans concertation préalable par le pouvoir central, cette politique qui se veut décentralisatrice produit des effets désastreux, conférant le pouvoir à un parti indien réactionnaire et anti-français, puis, à partir de 1906, à de véritables maffias politiques. Les effets de l'assimilation se font sentir jusqu'au dernier moment : héritière de sa devancière, la IVe République ne peut céder ses établissements à l'Inde de Nehru sans consulter leurs habitants qui sont des citoyens français. Or, le parti du Congrès ne veut pas d'un référendum. Le troisième et le quatrième volumes sont consacrés aux regards et aux influences croisés. Les représentations de l'Inde en France, l'image et l'influence de la France en Inde, les perceptions du nationalisme indien en France et les relations bilatérales après l'indépendance de l'Union indienne jusqu'à nos jours. Le quatrième volume « Les relations bilatérales » est la suite du troisième et reprend la bibliographie et un index général.
Un couple, deux jeunes enfants, vivant pauvrement dans une gare désaffectée et à qui, faute de paiement, on coupe l'eau, en plein été... Ce terrible fait-divers, qui a défrayé la chronique dans les années 1980, a inspiré à Jacques Weber un récit bouleversant, à la fois âpre et tendu, jusqu'au drame final. Un récit où il serait question d'une France en marge, de cirque, de tigre échappé, de bistrots, de rêves, d'amour, de désespoir et d'idéaux.
Jacques Weber déploie ses talents de conteur dans une langue inventive et puissante, précise et évocatrice. Il nous livre un premier roman humaniste.
L'utilisation d'un langage évolué (VHDL, Very High speed integrated circuits Hardware Description Langage) dans la modélisation et la conception des circuits intégrés numériques est aujourd'hui indispensable.
Cet ouvrage propose de découvrir l'ensemble des possibilités offertes par le langage VHDL. Les tests et les pièges à éviter lors de la démarche d'élaboration d'un composant numérique sont également présentés, à travers un exemple fil rouge. Des exercices corrigés complètent le cours.
Cette cinquième édition a été revue, corrigée et actualisée et les applications ont été remaniées afin de gagner en clarté.
Louis-Philippe et la France Date de l'édition originale : 1847 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Que fait la République ? Dort-elle ? Par Jacques Weber Date de l'édition originale : 1850 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Des légionnaires ont mystérieusement disparu dans les profondes forêts d'Armorique. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour Rome. Si les Celtes, en effet, n'ont pas réussi à vaincre par les armes leurs adversaires romains, ils ont choisi de poursuivre la lutte par le biais des croyances. Grande est la puissance de leur religion, de leurs dieux, et surtout de leurs druides, dépositaires d'un savoir très élaboré où la pharmacopée occupe une place centrale. En dépit des superstitions attachées à la religion des peuples celtes, et aux pouvoirs magiques que l'on prête aux druides, Alix part sur les traces des soldats disparus. Mais, ce faisant, c'est aussi à sa propre histoire que le jeune homme est bientôt confronté. Quelles seront les réactions d'un fils de Gaule adopté par la Louve romaine face à ce qui ressemble à un complot des ennemis de César? Comment mener à bien pareille mission en terre d'Armorique lorsqu'on est, comme Alix, le produit complexe de deux cultures aussi dissemblables? Pour Alix commence une aventure difficile, éprouvante. Dans une ambiance baignée de mystère, c'est bientôt le choc frontal entre les fils de la «civilisation» et ceux de la «forêt». La tension monte, jusqu'à l'affrontement final au milieu des éléments déchaînés.
À la tête de ses légions, César se prépare à affronter les derniers fidèles de Pompée qui se sont rassemblés sous les ordres de ses fils en terre d'Hispanie. Au même moment, Alix est en position délicate... César vient de lui offrir une ferme dans la région mais il ne souhaite pas s'y établir. C'est alors qu'Alix fait la rencontre du chef ibère Tarago dans des circonstances mouvementées. Au terme d'une poursuite, Alix laisse la vie sauve à son adversaire. Entre les deux hommes qui se combattent naît un sentiment de respect. C'est le début d'une grande aventure sur fond de guerre romaine, de querelles d'honneur, de jalousie fraternelle et de résistance ibère face à l'envahisseur. Entre Alix et Tarago, un terrible duel s'engage avec, pour seule issue possible, la victoire ou la mort.
Jadis fierté de la ville d'Alexandrie, le phare est devenu l'objet de rumeurs et de convoitises. Comment expliquer les naufrages suspects? Qui est le nouveau maître de l'île de Pharos, le puissant homme qui dicte sa loi à Ptolémée? Envoyé par César en mission à Alexandrie pour recevoir un message de Cléopâtre, Alix tente de percer le mystère avec l'aide d'Enak. De la grande bibliothèque au phare en passant par les quartiers populaires du port, les souterrains et le palais royal, notre héros est amené à découvrir un terrible secret. Mais n'est-il pas déjà trop tard? Le trône de Ptolémée et de Cléopâtre résistera t-il aux manigances de ceux qui ont jurés sa perte? Et le courage suffira t-il à Alix pour affronter les manoeuvres et les troubles politiques?