Paris, 1801. Napoléon Bonaparte, le Premier Consul, s'est fait dérober un objet de valeur par une femme. Un seul homme est capable de le retrouver. C'est un voleur de métier. On l'appelle La Torpille. Napoléon lui propose un marché : soit il met la main sur ce mystérieux objet, soit il retourne au bagne. Pour La Torpille, le choix est vite fait...
Afin de mener à bien sa mission, il fréquente des gens peu fréquentables. L'un d'eux, un homme au visage masqué, n'est autre que le nouveau roi de la pègre parisienne. On le surnomme La Fourmi. Quels secrets cache-t-il derrière son masque ? Quels sont ses liens avec le Premier Consul ? Des bas-fonds aux lieux de pouvoir, de la fange des faubourgs aux ors des palais, Double Masque entraîne le lecteur de l'autre côté du miroir, entre réel et imaginaire.
Sur les traces de Dumas et d'Eugène Sue, dans la lignée de Rocambole et des mémoires de Vidocq, Jean Dufaux et Martin Jamar se glissent dans les replis de l'Histoire pour donner naissance à un thriller haletant, inspiré de faits authentiques.
L'Histoire ne ressemble pas toujours à celle que nous avons apprise à l'école...
Dans le précédent opus scénarisé par Jean Dufaux, "L'Onde Septimus", la menace d'un engin extraterrestre, baptisé Orpheus, avait été déjouée grâce au sacrifice d'Olrik. Depuis, le "colonel" vit reclus dans un asile psychiatrique. Tandis que Philip Mortimer tente de ramener à la raison son vieil adversaire, il apprend qu'il existe un autre Orpheus. À bord d'un cargo transformé en laboratoire secret, le professeur découvre l'étrange pilote de cette machine : un alien à forme humaine, sombre et hiératique, auquel les scientifiques ont donné le nom de "Moloch", la divinité biblique. Mais les réactions de ce Moloch, et les hiéroglyphes qu'il laisse derrière lui comme autant de messages indéchiffrables, font craindre le pire. Cette fois encore, la capitale britannique est en danger. À moins qu'Olrik ne joue de nouveau les héros...
Voici un nouvel album dans la collection "Les classiques de la BD belge", regroupant les cinq premières aventures du héros dessiné par Bruno Di Sano, sur des scénarios de Jean Dufaux. Chaque exemplaires et signé et numéroté.
Dans L'Onde Septimus, la menace d'un engin extraterrestre, baptisé Orpheus, avait été déjouée grâce au sacrifice d'Olrik. Depuis, le " colonel " vit reclus dans un asile psychiatrique. Tandis que Philip Mortimer tente de ramener à la raison son vieil adversaire, en usant de la célèbre formule du sheik Abdel Razek (" Par Horus, demeure ! "), il apprend qu'il existe un autre Orpheus. A bord d'un cargo transformé en laboratoire secret, Mortimer découvre cette l'étrange pilote de cette machine venue d'ailleurs : un alien à forme humaine, sombre et hiératique, auquel les scientifiques ont donné le nom de " Moloch ", la divinité biblique.
Mais les réactions de ce Moloch, et les hiéroglyphes qu'il laisse derrière lui comme autant de messages indéchiffrables, font craindre le pire. Cette fois encore, la capitale britannique est en danger. A moins qu'Olrik ne joue de nouveau les héros...Avec L'Onde Septimus 2, Jean Dufaux conjugue science-fiction, aventure et folie en un bel hommage à l'oeuvre de Jacobs, relayé par le trait évocateur et précis du travail à quatre mains de Christian Cailleaux et Etienne Schréder, qui mettent en scène un Londres éternel digne de La Marque Jaune.
Après sa défaite contre les Sorcières commandées par Sanctus, et les Aguries menées par son demi-frère Vivien, Elgar brûle de retrouver sa place légitime !
Il décide d'évincer le nouveau champion de la reine Jamaniel, sa mère, en la personne de Tête Noire, le démon qu'elle a ramené à la vie pour s'assurer la victoire.
Mais Tête Noire a d'autres desseins, dont celui de régler ses comptes avec son passé.
Oriane, quant à elle, compte bien retrouver son père en suivant la piste des cadavres qui jonchent son ténébreux chemin...
Avec ce troisième tome du cycle des Sorcières, Jean Dufaux abat les nouvelles cartes de son fabuleux jeu épique, mêlant tragédies, trahisons, luttes de pouvoir et combats de l'amour contre le mal.
Au service de cette Grande Fresque, entre Shakespeare, Tolkien et George R. R. Martin, les enluminures de Béatrice Tillier, aujourd'hui une des seules autrices réalistes, atteignent des sommets de précision et de souffle épique !
Une stèle de plus vient s'ajouter à cet édifice fantastique qu'est « La Complainte des landes perdues » !
Mortimer ne parvient pas à percer le mystère de l'onde Mega et le fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus lui échappe. Qu'est-ce qui peut bien provoquer toutes ces interférences ? Cela pourrait-il avoir un lien avec cet inconnu en chapeau melon qui arpente les rues de Londres en demandant après Guinea Pig ?
Jean Dufaux et Antoine Aubin, aidés d'Étienne Schréder, revisitent La Marque Jaune. Ils prolongent le mythe et signent le grand retour d'Olrik sur les quais de la Tamise.
Sobold est mort subitement. Il était le chef du clan des Greenwald et le mari d'Aylissa, la cousine de Sioban. Ses hommes sont en colère. Ils ne s'expliquent pas ce décès brutal. Il faudra toute la force de persuasion de Sioban pour les rappeler à leur devoir de fidélité vis-vis des Sudenne. Cette force, elle en aura aussi besoin pour atteindre son objectif : garantir la paix entre les clans, malgré leurs divergences. Aylissa, aussi perfide que séductrice, ne partage pas cette vision. À ses yeux, seul le pouvoir compte. Et tous les moyens sont bons pour l'obtenir. Bientôt, les événements se précipitent. Les Sacrifiés, venus des terres pourpres au-delà des landes perdues, s'apprêtent à attaquer. L'affrontement est inéluctable. Sioban devra triompher, tout comme elle devra triompher du piège du Mal, tapi en elle et toujours prêt à resurgir... Dans ce deuxième tome du quatrième cycle de La Complainte des landes perdues, Jean Dufaux et Paul Teng composent une fresque ambitieuse, entre scènes d'action spectaculaires et exploration de la psychologie, parfois tortueuse, des personnages de cette saga haute en couleur.
Jean Dufaux poursuit la Complainte des Landes perdues, sa grande saga, avec la dessinatrice Béatrice Tillier. Dans ce troisième cycle, très justement intitulé « Sorcières »,la forêt cache une demeure fantomatique, une forteresse émerge du bord de la mer, et le décor est planté pour assister à une terrible course au trône. Tandis que, dans l'ombre, s'affrontent les sorcières, à coups d'amulette maléfique, de magie noire ou blanche...
Les sorcières se révoltent : elles refusent que Brynia, l'une des leurs, s'allie à la reine et aide son fils Elgar à devenir le prochain roi. En effet, elles sont convaincues que c'est Vivien, le bâtard du roi, l'être choisi par l'Inferno Flamina, qui doit monter sur le trône. De colère, Sanctus tue Brynia. La soeur de cette dernière, qui réside au château, décide alors de se venger. Elle fomente un plan terrible : réveiller Tête noire, cette créature dont la seule évocation faisait trembler chaque être vivant. La reine Jamaniel suit les ordres de la sorcière et se rend auprès de dame Ceylan, l'unique femme à avoir eu un enfant de Tête noire. Sous la menace, elle obtient l'information qu'elle veut : le lieu de la dépouille de la créature. Néanmoins, dame Ceylan n'entend pas laisser la reine agir à sa guise et, accompagnée de sa fille Oriane, elle compte bien retrouver Tête noire avant la reine qui, par ailleurs, tente de tuer Vivien...