Longtemps, Jean-Loup Chiflet s'est levé de bonne heure, pour se plonger dans le monde jubilatoire de l'humour. De Montesquieu à Coluche, de Feydeau à Frédéric Dard, de Jules Renard à Bourvil, des Pataphysiciens aux Oulipiens et de Molière à Blondin, il a essayé d'en analyser le mécanisme complexe : l'humour est-il vraiment un « excès de sérieux », comme le pensait Tristan Bernard, ou « une tentative pour décaper les grands sentiments de leur connerie » comme le laissait plutôt entendre Raymond Queneau ? Vaste débat...
Dans ce Dictionnaire amoureux, et du fait même subjectif, il laisse aussi libre cours à ses passions pour le nonsense anglosaxon ou les magiciens de la langue que sont Vialatte, Ponge, Prévert et tant d'autres.
Arrivé à l'âge de quatre-vingts ans, au moment où il s'y attendait le moins... un homme se trouve confronté tout à coup à une réalité qui, peut-être, s'appelle la vieillesse. Pris de court, il s'interroge : pour certains, c'est un des plus beaux moments de l'existence ; pour d'autres, celui où l'on commence à perdre ses clés, ses lunettes, ses cheveux et le fil de la conversation. L'auteur décide d'en avoir le coeur net.
Considérant que cette avancée en âge pourrait être la période sereine des réponses enfin trouvées, il nous livre avec humour sa vérité sur l'homme qu'il est, ou plutôt qu'il croyait être et qu'il ne sera peut-être jamais. Vaste programme...
Familier des bizarreries et excentricités du langage, Jean-Loup Chiflet nous offre un florilège savoureux de « bons mots » des maîtres du genre : Sacha Guitry, Tristan Bernard, Alphonse Allais, Groucho Marx ou Pierre Desproges.
Le mot d'esprit ? Une réplique fine et subtile, pas toujours bien intentionnée, qui consiste à révéler le côté farfelu, l'absurde d'une situation à partir d'un fait ou d'une affirmation apparemment logique. Ce qu'on appelle « le second degré », précise l'auteur qui ne manque pas d'exemples. « Lorsque Henny Youngman affirme : «J'ai fait une affaire, j'ai acheté une statue de la Vénus de Milo au rabais. Elle a deux bras», il sème la confusion dans notre esprit sans rien expliquer. Mais quand Garry Shandling assure de façon péremptoire : «Une fois, j'ai fait l'amour pendant une heure cinq ! C'était le jour du changement d'heure», on se trouve alors face à un semblant d'explication... » Des formules d'autant plus irrésistibles qu'elles sont souvent énoncées avec le plus imperturbable sérieux.
Le lecteur pourra piocher dans cet inventaire de quoi égayer et mieux apprécier toutes les circonstances de sa vie. Il y trouvera les rubriques les plus courantes et familières comme les plus insolites - notamment animalières. Ainsi des mouches chères à René Fallet : « La mouche est la plus belle conquête du papier collant » ; alors que Sylvain Tesson remarque, pour sa part, que « la vie du kangourou est riche en rebondissements ». On ne saurait mieux dire !
Il peut nous arriver de déplorer le côté monotone et ennuyeux de la réalité mais si on l'observe bien, elle peut nous apporter son lot de cocasseries et d'insolite. Il suffit d'avoir l'oeil pour découvrir autour de soi, au coin de la rue, ou chez les bouquinistes, une telle matière à rire que l'on ne peut alors s'empêcher de s'écrier : « Ça ne s'invente pas ! » Jean-Loup Chiflet, très sensible à ce qu'il convient bien d'appeler « L'humour involontaire » s'est mis en quête depuis des années de plonger dans des eaux troubles pour en retirer des documents étonnants, insolites et improbables ; tels certains manuels scolaires ( Par admiration, on appelait Charlemagne l'empereur à la barbe fleurie bien qu'il n'ait pas de barbe) ou religieux (Le petit Jésus passait ses vacances à la montagne chez son cousin Jean-Baptiste) et de guides dits de civilités commis au début du XXe siècle par des baronnes et autres comtesses (On peut dire merci aux domestiques, mais seulement de temps en temps) et surtout les fameux Almanachs Hachette qui, avec l'usure du temps, sont tombés en désuétude pour notre plus grand plaisir (Les porteurs de grandes oreilles sont des naïfs). Mais cette intarissable source comique nourrie par la bêtise, l'étourderie, le mauvais goût, sans compter avec le génie du hasard ne jaillit pas seulement du fond des âges ; on trouvera aussi dans ce catalogue déraisonné, des perles récentes tout aussi saugrenues de fonctionnaires, de victimes de l'administration, de journalistes (Auguste Lumière s'éteint), d'élèves etc. Ainsi, la réalité, quand elle dépasse la fiction, est plus attrayante car elle n'obéit à aucune loi contrairement à la fiction, soumise à des règles strictes, condamnant l'écrivain à respecter une certaine véracité qui le met en état d'infériorité face à la vraie vie.
Principales têtes de rubriques : Administration - Animaux - Amour - Arts - Assurances - Bon Dieu - Bon sens - Culture/Littérature - Éducation - Garde-à-vous - Petites histoires de l'Histoire - Ils auraient mieux fait de se taire - Justice - Jeunesse - Langage - Les politiques - Poste restante - Presse - Médecine - Savoir-vivre - Sciences et technique - Sports - Vie quotidienne - Voyage.
« Ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura aucun survivant », écrivait Alphonse Allais, que Jean-Loup Chiflet cite, avec Alexandre Vialatte, parmi ses maîtres et références. Cette formule pourrait résumer l'esprit de ce livre comme la philosophie de son auteur. Jean-Loup Chiflet qui a signé, entre autres ouvrages, un Dictionnaire amoureux de l'humour, décrit ce genre comme une sorte d'art de vivre. « Cohérent ou absurde, agressif ou fantaisiste, ridicule ou insolite, l'humour met le réel à distance le temps de son énoncé pour mieux le décrire, le supporter et l'apprivoiser. L'humoriste est un démineur qui transcende la noirceur du monde. » Illustré dès le Moyen Âge par Rabelais, puis au XVIIIe siècle par Voltaire, Beaumarchais ou Marivaux, l'humour a été incarné chez nous, depuis la fin du XIXe siècle, par des auteurs de génie, de Tristan Bernard, Alphonse Allais et Sacha Guitry à Georges Perec et Roland Dubillard. Mais c'est dans le monde anglo-saxon, à travers George Bernard Shaw, Jerome K. Jerome, les Marx Brothers ou W.C. Fields et Winston Churchill, qu'il s'est imposé de la manière la plus naturelle et éclatante comme un mode de vie et de pensée à part entière.
Conçu de manière thématique, ce volume témoigne que rien ne résiste au plaisir d'en rire, pas plus l'âge, les moeurs, la famille, l'amour ou la gastronomie que la maladie ou même la mort. « Marx est mort. Dieu est mort. Et moi-même je ne me sens pas très bien », ironise ainsi, en parodiant Mark Twain, Woody Allen, qui occupe une place de choix dans cette anthologie. Anthologie qui offre au lecteur une grande variété de styles et de genres, du roman au théâtre, du poème à la saillie et au simple calembour. Autant de domaines où se sont exprimés la verve satirique, le sens de la dérision, le goût et le sens de l'absurde d'un Jules Renard, d'un Raymond Devos ou d'un Boris Vian, auteurs que Jean-Loup Chiflet présente comme ses « compagnons d'armes à l'humour désarmant ».
« Si les Anglais peuvent survivre à leur cuisine, ils peuvent survivre à tout », écrivait l'Irlandais Bernard Shaw. En citant cette phrase parmi des centaines d'autres, Jean-Loup Chiflet rend hommage, avec tout l'humour requis, au nonsense anglo-saxon, qui, écrit-il, « a donné un sens à [sa] vie » en lui révélant le « côté insolite d'une situation » ou une façon d'observer le monde à l'envers. De cette révélation est né Sky my Husband, l'un de ses plus grands succès, réédité à la fin de ce Bouquin de l'humour après s'être imposé comme un modèle du genre.
Ne soyez pas étonnés, si en utilisant « la méthode Sky », aucun Anglais ne vous comprend ! Jean-Loup Chiflet a une manière toute personnelle de traduire les expressions françaises en langue anglaise. Ainsi, « Un chouchou » devient « A cabbage-cabbage » et une « Marie-couche-toi-là » se transforme en « A Mary-go-to-bed » ! Mais que l'on se rassure, ce manuel aussi surprenant qu'hilarant contient aussi la traduction exacte de toutes ces locutions joyeusement écorchées !
Ce petit ouvrage aurait très bien pu s'appeler « Miscellanées » mais nous lui avons préféré un titre emprunté à un magazine encyclopédique très en vogue au XIXe siècle, le Magasin pittoresque.
Dans ce pêle-mêle littéraire, vous allez tout savoir sur les détails intimes, croustillants et émouvants de la vie de nos grands écrivains (animaux de compagnie, vie sexuelle, secrets de famille, obsessions, phobies...).
Ainsi vous apprendrez, entre autres choses, que le chien d'Émile Zola s'appelait Hector et le chat de Perec Delo, que Maupassant mourut fou à 43 ans, que Colette utilisait des vélins bleu lavande, que Jean-Claude Carrière ne pouvait pas écrire sans son crâne mexicain fétiche, que Montaigne souffrait de calculs rénaux, que Cocteau était opiomane, et qu'il y a en France 2 370 rues ou avenues Victor Hugo et seulement 330 rues Gustave-Flaubert.
Jean-Loup Chiflet propose une très réjouissante et très personnelle liste de choses à faire et ne pas faire qui ne manquera pas de faire sourire et rire les amateurs de bons mots ! Quelques exemples pour donner le ton : Se dire qu'il faudra rendre l'âme un jour, mais à qui ?, Ne pas dire un enfoiré mais une année de perdue, Rire avec michel Houellebecq, Repousser si possible le démon de midi à quatorze heures...
Les dessinateurs et les dessinatrices du New Yorker épinglent avec malice les tribulations de la vie à table : les repas en famille ou en amoureux, les pauses-café et les déjeuners sur le pouce, les dîners chics et les serveurs chocs, les hommes, les femmes, les enfants, les vegans ou les carnivores et même les animaux !
Pour ces 10 ans, la collection du New Yorker fait peau neuve. Cet album comportera également 8 cartes postales illustrées.
Un dictionnaire, même s'il est inattendu, est toujours un livre dont le mot est le héros ; or il se trouve que ma dépendance aux bizarreries du langage est aussi puissante que l'héroïne puisque je me sens drogué à l'homophonie, à la paro- nymie et autres oxymores ; je ne sais plus dans quel état j'erre, pourquoi les poules du couvent couvent, ce que serait fur sans mesure, et for sans intérieur ; je trouve aussi bien singulier que déclin et berne soient privés de pluriel, alors que victuailles, fiançailles et vivres y sont condamnés. Vous l'aurez compris ce dictionnaire n'est pas comme les autres : entre A comme accents et anacoluthe, B comme Bescherelle, C comme contrepèterie, L comme lipogramme et O comme Oulipo et onomatopée, vous n'aurez de cesse de vous promener entre ces mots qui nous inti- mident et qu'il faut sans cesse apprivoiser sous la houlette (ou la férule ?) de cette vieille dame que l'on appelle grammaireet qui a toujours ses règles. Jean-Loup ChifletCet ouvrage permet de découvrir ou redécouvrir les subtilités de la langue française, les figures de style et permettra de réviser quelques notions de grammaire.
Depuis 1925, le New Yorker est le panthéon du dessin d'humour. Chaque semaine, la rédaction du magazine reçoit un millier de dessins. Vingt seulement seront publiés. Les dessins refusés, souvent trop provocateurs, font pourtant la joie de leurs auteurs, qui les affichent au-dessus leur table de travail ou les collent sur la porte de leur frigo. Mais ces idées géniales méritaient meilleur sort. De cette pile d'"échecs" inoubliables, Matthew Diffee en a tiré les plus remarquables. Les voici rassemblés dans cet album.
Le New Yorker est la référence du dessin d'humour. Le trait léger, décalé, parfois ravageur, de ses dessinateurs est célèbre dans le monde entier. Constatant que ceux-ci nourrissent une passion commune pour les chats depuis 1925, Jean-Loup Chiflet s'est invité dans le cercle des adorateurs de l'animal. Il a sélectionné et traduit 300 dessins qui croquent avec tendresse les qualités et les défauts de ces félins domestiques.
Vous ignorez ce qu'est l'amphigouri ou l'hypocorisme ? Vous défendez les mots qui devraient exister comme cigatrice ou combientomane ? Tentez cette ballade humoristique parmi les bizarreries de la langue française que vous propose Jean-Loup Chiflet, amoureux curieux des mots : « le mot lui-aussi est imprévisible, et si l'on veut apprendre à le maîtriser, il faut apprendre à le connaître. »
Depuis 1925, le New Yorker est " LA " référence du dessin d'humour.
Le trait léger, décalé, parfois ravageur, de ses dessinateurs est célèbre dans le monde entier. Jean-Loup Chiflet, pour qui " le nonsense a donné un sens à sa vie ", était le mieux placé pour sélectionner et commenter ces chefs-d'oeuvre qui raviront tous les amoureux des livres. Qu'y a-t-il de plus délicieux que de rire de soi-même ?
« Et alors ? Beaucoup de bruit pour rien ou, comme j'ai essayé de le montrer dans ces quelques pages, la conviction que le «génie» de la langue dont parle Voltaire ne s'explique qu'en observant ses particularités ? Tout au long de cette balade à travers les trouvailles linguistiques malicieuses, acrobatiques, parfois régressives ou scandaleuses, iconoclastes et jouissives qui fleurissent à l'ombre de la langue officielle, j'ai voulu la «défendre». Bien avant moi, en 1549, Du Bellay écrivait La Deffence, et illustration de la langue francoyse pour combattre le «Monstre ignorance» et «illustrer» la langue, c'est-à-dire la faire «rayonner». Proust ne dit pas autre chose lorsqu'il écrit en 1908 à Mme Strauss : «Les seules personnes qui défendent la langue française sont celles qui l'attaquent.» Étonnant, non ? » J.-L. C.
Certains puristes s'indignent régulièrement : notre langue souffrirait d'être dénaturée, aliénée et même colonisée. Il faut plutôt se réjouir qu'elle puisse évoluer et continuer de nous réserver quelques belles surprises. Loin d'en être appauvrie ou diminuée, elle s'enrichit entre autres grâce à l'argot et à la langue de banlieue. Heureusement culbutée par les fi gures de style, calembours et autres contrepèteries, elle est revigorée par le génie de jongleurs de mots comme Perec, Queneau ou Devos. Ce sont plutôt les prétendus moralisateurs de notre langue qui la maltraitent à force de règles complexes et de réformes surréalistes. La langue elle-même n'y est pour rien.
Comment parler d'amour, exprimer son désir, rompre une relation, aider, consoler, remercier ou pardonner. Pour trouver la tournure qui fera mouche tout en reflétant notre pensée, il semblerait que Jean-Loup Chiflet ait imaginé une solution aussi agréable que pédagogique. Pourquoi, en effet, ne pas puiser dans notre exceptionnel patrimoine littéraire en demandant à nos auteurs, poètes, romanciers et autres dramaturges de nous aider à nous exprimer avec élégance et efficacité ? En nous inspirant largement de ce florilège de citations, nous pourrions etre amenés à réfléchir, pourquoi pas, sur les faiblesses de notre condition humaine.
Après le succès du premier volume d'Oxymore (30000 ex. vendus) Jean-Loup Chiflet nous offre la suite de sa balade humoristique hors des sentiers battus de la langue française.Le succès incontestable d'Oxymore mon amour ! nous a évidemment incités à lui donner une suite qui, nous l'espérons, réjouira autant, si ce n'est plus, les fidèles lecteurs de ce qu'il convient d'appeler un dictionnaire insolite. Si Voltaire est l'un des tout premiers à avoir décelé du génie dans notre belle langue et Rivarol à affirmer que la clarté et la netteté font d'elle la langue internationale de la culture, j'ai choisi pour ma part de la célébrer d'une façon plus légère en insistant sur ses subtilités et ses particularités.
Quel rapport, me direz-vous, entre A comme « Antonomase » et B comme « Bibliothèques », H comme « Hashtag », J comme « Janotisme », P comme « Polichinelle » ou « Potron-minet », S comme « Sabrer ou sabler ? », T comme « Tohu-bohu » et « Truisme » et Z comme « Zéro » ? Eh bien, simplement un désir légitime de tout savoir sur l'univers impitoyable et magique de notre langue, avec une préférence très nette pour ce côté inattendu et parfois déconcertant qui la rend si attachante.
Jean-Loup Chiflet
Vous êtes femme au foyer, working girl, femme fatale ou fashion victim ? Ou bien vous cohabitez avec une mère juive, une épouse libérée, jalouse ou ambitieuse. Les voici toutes (ou presque), croquées par les dessinateurs du New Yorker en 300 dessins.
Depuis 1925, le New Yorker est « LA » référence du dessin d'humour. Le trait léger, décalé, parfois ravageur, de ses dessinateurs est célèbre dans le monde entier.
Meilleure vente de la collection des New Yorker (15 000 exemplaires), cette nouvelle édition est enrichie de nouveaux croquis : 300 dessins pour rire des clichés sur notre pays et des américains qui viennent le visiter.
- Depuis 1925, le New Yorker regarde le monde avec humour et détachement. Ses aficionados le lisent autant pour ses cartoons que pour ses stars de la plume. Ce volume est une sélection des dessins les plus savoureux consacrés à une étrange tribu : les Français. Ils considèrent d'un oeil mi-affectueux, mi-étonné ce peuple au drôle d'accent, snob, oenophile et dévoyé. Voici donc, croqué par les plus célèbres crayons du New Yorker, presque un siècle de relations franco-américaines qui n'ont rien d'un long fleuve tranquille.
- Jean-Loup Chiflet, grammairien buissonnier, est l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages sur l'humour et la langue, parmi lesquels Sky my husband ! et le célèbre 99 mots et expressions à foutre à la poubelle, disponibles en Points.
La France est le pays des réformes mais aussi de l'humour absurde. À la prochaine rentrée scolaire, une nouvelle réforme de l'orthographe, décidée il y a 26 ans, entrera en vigueur. C'est dire combien les mots empruntent le chemin des écoliers. L'irrésistible Jean-Loup Chiflet s'attaque, crayon à la main, à cette nouvelle usine à gaz : la réforme de l'orthographe. Dans cet essai pataphysique, à la fois aigu et grave, il fait non seulement l'éloge de l'accent circonflexe mais décortique aussi drôlement les réformes de la langue française de 1635 - 1694 - 1740 - 1835 - 1867 - 1901 - 1908 - 1935 - 1977 - 1981 - 1983 - 1989 - 1990 et rédige les prochaines réformes qui vont défigurer notre paysage lexical. Une logique poussée jusqu'à l'absurde.
Dans la grande tradition de l'humour d'Alphonse Allais, un pamphlet délirant et érudit destiné aux amoureux des mots, aux cancres en orthographe et aux parents exaspérés.