Bien manger, vivre longtemps, aimer mieux et plus fort ; voilà les préoccupations des temps modernes. Qui passent par la nourriture !
Mais entre les peurs alimentaires relayées par les médias, les craintes quant à la qualité des plats et des messages de prévention inapplicables, plus personne ne s'y retrouve. Résultat : chacun se concocte ses propres menus ou régimes... à ses risques et périls.
Ainsi, de nouvelles « religions alimentaires » se développent. Végétariens, végétaliens, partisans du sans gluten et du bio, ennemis des aliments cuits, du lait ou des produits de synthèse, tous défendent leurs croyances avec passion. Mais leurs pratiques, loin de nos traditions, suscitent débats, polémiques et interrogations. Et ces modifications alimentaires, sont-elles bonnes pour la santé, efficaces même ?
Pour vous aider à y voir clair, à balayer mensonges et idées reçues, le Dr Jean-Michel Cohen a enquêté. Il décrit les raisons de l'apparition de ces modes de vie, dévoile leurs répercussions sur nos organismes, indique leurs conséquences sur nos manières d'être. Tout en livrant des recommandations pratiques à la fois scientifiquement étayées et de bon sens.
Bien manger, vivre plus vieux, aimer plus fort est possible. Dans cette ordonnance santé riche en surprises, mises en garde et conseils, le Dr Jean-Michel Cohen le prouve.
Retrouvez dans cette analyse approfondie de Sobibor de Jean Molla tout ce que vous devez savoir sur cette fiction historique pour la jeunesse !Sobibor raconte l'histoire d'une jeune adolescente, Emma Lachenal. Celle-ci découvre fortuitement, après le décès de sa grand-mère, le journal intime de Jacques Desroches, un jeune Français de 23 ans, responsable de la mort de 250 000 juifs dans le camp d'extermination de Sobibor.La fonction première de ce roman est de raconter une histoire fictive, celle d'Emma, pour servir de devoir de mémoire quant aux événements de la Seconde Guerre mondiale. « C'est un livre sur l'après, sur la mémoire, écrit Jean Molla dans la postface de Sobibor, où la petite histoire croise les chemins de la grande. » Évoquant la fonction de la littérature, l'auteur affirme : « Nous sommes condamnés à nous interroger. »Que contient cette analyse d'¿uvre ?Jean-Michel Cohen-Solal nous propose ici une étude littéraire approfondie, en laissant parfois la parole à l'auteur ainsi qu'à Myriam Ruszniewski Dahan, professeure de lettres modernes et intervenante au Mémorial de la Shoah. Leur intervention apporte un éclairage complémentaire essentiel dans l'interprétation et la compréhension d'un texte aussi riche que celui-ci.L'édition scolaire qui a servi de référence pour la rédaction de cette étude est intentionnelle : il s'agit de permettre aux étudiants de mieux entrer dans l'univers de Jean Molla, avant l'étude de l'¿uvre en classe, et surtout de mieux comprendre les enjeux de ce roman. Mais les enseignants tireront également profit de ce travail, dans la mesure où sa lecture programmée en classe sera l'occasion d'une pause réflexive avant l'entrée dans l'¿uvre, non seulement en tant que récit historique pour la jeunesse, mais également comme support d'apprentissage de la Shoah. Car peut-on « apprendre » la Shoah, comme on le ferait pour tout autre événement historique ? s'interroge légitimement Myriam Ruszniewski Dahan. Cette étude nous rappelle combien il est important d'analyser des romans historiques comme Sobibor, car leur fréquentation est nécessaire dans le travail de construction de la pensée historique (questionnement et interprétation des sources) et de la conscience historique (sentiment d'appartenance à l'histoire humaine).