Pékin, début du XVIIe siècle.
Le père Matteo Ricci, un jésuite italien, est tombé amoureux de la Chine. On le surnomme d'ailleurs « le Lettré du lointain Occident ».
Depuis dix-huit ans, il parcourt ce pays afin de servir Dieu. Respectueux des coutumes et des religions qui ne sont pas les siennes, il poursuit un rêve : rencontrer l'Empereur en personne.
Mais la route est longue et semée de dangers jusqu'à la Cité interdite, la demeure du Fils du Ciel... Les complots, les intrigues de palais, les jalousies et les violences sont autant d'obstacles qui se dressent sur son chemin. Sans compter le rôle trouble de Don Herrera, un membre de la Sainte Inquisition, qui ne cherche qu'à convertir les « sauvages » que sont, à ses yeux, les Chinois.
Jean Dufaux et Martin Jamar, dont le graphisme réaliste et sensuel plonge le lecteur au coeur du récit, redonnent vie à un personnage historique adepte de tolérance, d'ouverture à la différence et du dialogue entre les civilisations. Autant de convictions qui prennent tout leur sens dans notre société fracturée d'aujourd'hui...
Une série incontournable du catalogue Glénat !1870. La France est en débâcle face à la Prusse. Au même moment, un jeune homme, Nicolas d'Assas, arrive dans le pensionnat Froidecoeur. Bientôt y débutent d'étranges et terribles événements que la maîtresse des lieux attribue vite à une pensionnaire qu'elle héberge secrètement, une jeune femme qui a fait un pacte avec la Mort. Elle est l'outil d'un dessein funeste et ne redoute personne, à part les mystérieux Voleurs d'Empires. Il s'avère que Nicolas, sans le savoir, porte la marque de cette organisation. Lui et ses amis vont plonger malgré eux dans ce complot qui prend ses racines au coeur du Mal.
Âgé de vingt et un ans, Charles-Eugène de Foucauld de Pontbriand est un petit nobliau désabusé. Passant le plus clair de son temps à s'amuser, il a déjà dilapidé une bonne partie de l'héritage familial. Cependant, il ressent une profonde sensation de vide que même l'uniforme militaire n'a pas pu combler. L'Église serait-elle la solution ?
De nombreuses années plus tard, Charles, alors vieillard, est retrouvé inconscient dans le désert par l'armée de Kaocen, chef des tribus touaregs. Bien que Français et Touaregs soient en guerre, Kaocen décide de sauver cet homme car, devenu homme de Dieu, il aide au mieux les gens de ces régions, quelles que soient leur religion ou leurs croyances. Mais cette décision remplit de haine Ghebelli, un autre chef touareg, qui, lui, est bien décidé à tuer ce vieillard en qui il ne voit qu'un infidèle. Face à la violence de cette guerre, c'est à sa manière que Charles de Foucauld veut lutter afin d'unifier et pacifier les peuples autour d'un dieu unique ; un dieu plein de bonté et d'amour.
En 1643, saint Vincent de Paul était le père Vincent, un prêtre exceptionnel qui battait le pavé de Paris pour aider les plus démunis. Lorsqu'un de ses protégés, Jérôme, se fait assassiner, il décide alors de mener l'enquête. Ses actes de charité et son ouverture d'esprit lui permettent d'interroger tant les marauds que les grands de ce monde. Avec ce one-shot intitulé Vincent, Dufaux signe un scénario original autour du patron des oeuvres charitables, selon les dessins incroyable d'un Paris du XVIIe de Jamar.
Dénouement de la série Double Masque dans cette dernière intégrale pleine de rebondissements : alors que l'ancien consul Bonaparte poursuit son inexorable ascension vers le trône d'empereur, les complots à son encontre se multiplient. Fouché, l'Écureuil et la Torpille veillent au grain, mais il est des affrontements que l'on doit mener seul, à l'instar de celui qui oppose l'Abeille à la Fourmi. Les tentatives d'assassinat de ce dernier ont échoué ; voici venu le temps des pourparlers. Car, après tout, aucun des deux ne connaît l'origine de ces masques qui les lient, comme l'ombre et la lumière.
1801. L'armure du Premier consul Bonaparte semble sans faille. Pourtant, une prostituée nommée Opale lui a dérobé un nécessaire de voyage dont le double fond renferme un secret suscitant bien des convoitises. Contraint de le retrouver, l'ancien forçat dit la Torpille aura fort à faire, entre les proxénètes récalcitrants et les manigances de M. Fouché. Mais son principal adversaire demeure la Fourmi, le nouveau roi des bas-fonds parisiens. Sosie presque parfait de Bonaparte, il tient absolument à mettre la main sur les petits secrets de l'Abeille. Pourtant, il semble déjà très bien renseigné...
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Alors que l'ancien consul Bonaparte poursuit son inexorable ascension vers le trône d'empereur, les complots à son encontre se multiplient. Fouché, l'Écureuil et la Torpille veillent au grain, mais il est des affrontements que l'on doit mener seul, à l'instar de celui qui oppose l'Abeille à la Fourmi. Les tentatives d'assassinat de ce dernier ont échoué ; voici venu le temps des pourparlers. Car, après tout, aucun des deux ne connaît l'origine de ces masques qui les lient, comme l'ombre et la lumière.
Septembre 1870 : après la défaite de Sedan, l'Empire a chuté, les prussiens envahissent la France alors qu'à Paris la République est proclamée. Au collège de Moussy-en-Josas, Madame Froidecoeur voit son établissement occupé par l'ennemi. L'étrange locataire de la chambre peuplée de rats recherche la bague à tête de mort qui a scellé son union avec la mort et marqué le début du combat contre les Voleurs d'Empires. Sa colère est terrible lorsqu'elle apprend que le bijou a été remis à ses parents afin d'activer son départ du collège. La mort, la guerre, le sang mais aussi l'amour, hantent les pages somptueuses du second volume de cette série au ton résolument novateur. Le scénario tout en finesse de Jean Dufaux est admirablement servi par le dessin lumineux et précis de Martin Jamar dont le talent éclate avec cette série.
Un terrible hiver 1870/71 s'abat sur Paris. La défaite est là, implacable, ironique. Paris encerclé, Paris affamé résiste encore. C'est dans la capitale à l'agonie que Nicolas, Julien et Anais cherchent à en savoir plus sur Maître Rognard. Ce dernier reçoit les confidences de la Duchesse de Feray qui lui raconte comment sa fille Clémentine a perdu son âme une nuit dans les appartements privés de l'Empereur. Une bague maléfique à tête de mort sert de lien à ces événements dramatiques que contrôlent les mystérieux Voleurs d'Empires.
Jean Dufaux et Martin Jamar signent un récit où fantastique et Histoire se marient superbement. Une bande dessinée novatrice et riche.
1er mars 1871, la Commune de Paris est écrasée, les Prussiens et les Versaillais envahissent la capitale. Frappe-misère, alias le comte de Feray, veut se venger de ceux qui ont détruit sa famille. Il enrôle Nicolas et Anaïs qui espèrent retrouver Julien grâce à l'aide du chef des Voleurs d'Empires. Parallèlement, le comte Favier veut placer sa fille Adélaïde à la pension Martelet. Cette dernière reprend à maître Rognard la bague maudite...
Jean Dufaux manipule avec une habileté diabolique les acteurs de ce drame où se mêlent l'Histoire et le fantastique. Le dessin de Martin Jamar, précis et lumineux, s'affirme de plus en plus.
Paris s'insurge et ne se rend pas ! La Commune plante fièrement le drapeau rouge sur la capitale laissant les restes de l'empire s'exiler à Versailles. Dans le huis clos du siège, les personnages des Voleurs d'Empire se rapprochent et se dévoilent. Une histoire d'amour, un adultère, un complot politique et une malédiction... Au fur et à mesure que la faim s'étend sur la ville la danse macabre des Voleurs d'Empire s'accélère jusqu'à la transe et invoque des démons dont le pouvoir destructeur échappe à tout contrôle... Mêlant fantastique et romantisme avec une diabolique habileté, Dufaux attise une implacable intrigue et permet à Jamar d'imposer un style éblouissant. Du grand art!
Mai 1871. La plupart des prêtres de Paris ont été enlevés et servent d'otages aux insurgés. Si les Versaillais entrent dans la ville, ils seront tous exécutés. Vous verrez, il y aura d'abord la foule, puis la cohue... enfin, un troupeau de bêtes féroces pour qui le sang ne coulera jamais assez... Paris sera repris, cela ne fait aucun doute...
Et cette prédiction ne pouvait que se vérifier ! Paris ne fut plus qu'un brasier gigantesque, une marmite infernale arrosée de pétrole... Ainsi tout allait se consumer dans ces journées de mai qui s'agitaient comme un chiffon rouge, un cri de rage, un dernier renoncement.
Et Madeleine, pendant ce temps-là, se doit d'aller à la rencontre de ses ennemis, ceux qui se font appeler les Voleurs d'Empir es !...
Dans une histoire merveilleusement orchestrée où fantastique et romanesque ont la part belle, où le réalisme historique est traité avec une diabolique habileté, Dufaux attise une implacable intrigue et permet à Martin Jamar d'imposer un style éblouissant. Du grand art !
C'est déjà le dernier tome des Voleurs d'Empires. A cette occasion, les 7 albums ressortiront avec de nouvelles maquettes et de nouvelles couvertures absolument magnifiques !
En juillet 1870, alors que la France de Napoléon III se prépare à la guerre, que les bataillons se regroupent et que les armes se chargent, une mystérieuse jeune femme fait un pacte avec la mort. La sorcellerie commence alors à se répandre sur un Paris assiégé en touchant particulièrement le pensionnat de Madame de Froidecoeur. Mêlant avec habileté fantastique et romantisme, Dufaux attise le feu d'une intrigue diabolique et permet à Jamar d'imposer un style éblouissant. Du grand art !
Dans ce dernier de la série historique Double Masque, Jean Dufaux et Martin Jamar multiplient les rebondissements : Bonaparte deviendra-t-il Napoléon ? Dans la nuit qui précède son Sacre, en novembre 1804, les conspirateurs s'affairent. Mais tout se décidera à nouveau dans l'ombre des bas-fonds : l'Écureuil déjoue le complot tandis que la Fourmi, décidé à prendre en main son destin, va à la rencontre de la Berbère. Au matin, la France aura un nouvel Empereur et les cloaques risquent bien d'avoir un nouveau maître...
Paris, 1802. Bonaparte vient d'être proclamé premier consul et Fouché, hostile à cette nomination, a quitté le ministère de la Police. Les deux hommes ont pour l'heure l'obsession commune de récupérer un objet volé dont le contenu peut bouleverser leur destin. Un certain François dit « la Torpille » se retrouve contraint de ramener l'objet dérobé et détenu quelque part dans les sordides bas-fonds.
Evadé du bagne où il était enfermé pour divers méfaits, un certain François dit « la Torpille » vient d'être pris en flagrant délit d'escroquerie. A sa grande surprise, plutôt que dans un sordide cachot, il est emmené dans le somptueux bureau de Napoléon Bonaparte. Le premier consul a une mission délicate à lui confier : retrouver au plus vite le nécessaire de voyage que lui a dérobé une prostituée dénommée Opale dans un moment d'égarement. L'objet dissimule un secret qui ne peut être divulgué. En fait, la belle avait un commanditaire. Furieux d'avoir été démis de ses fonctions de ministre de la Police, Fouché a payé très cher pour qu'elle lui ramène l'intrigant objet. Hélas, autant pour lui que pour son rival, Opale demeure introuvable. Dans les bas-fonds où elle exerçait, ni ses collègues de trottoir ni ses habitués ne savent ce qu'elle est devenue. Sa disparition irrite même vivement son souteneur, l'imposant Amédée. Flairant une affaire d'Etat d'extrême importance, « la Torpille » a, de son côté, entrepris d'enquêter pour son propre compte. Qui est ce mystérieux chaudronnier Fer Blanc et de quelles sources tire-t-il ses informations ? Opale s'est-elle débinée avec son butin et en a-t-elle découvert le secret ?
En juillet 1870, alors que la France de Napoléon III se prépare à la guerre, que les bataillons se regroupent et que les armes se chargent, une mystérieuse jeune femme fait un pacte avec la mort. La sorcellerie commence alors à se répandre sur un Paris assiégé en touchant particulièrement le pensionnat de Madame de Froidecoeur. Mêlant avec habileté fantastique et romantisme, Dufaux attise le feu d'une intrigue diabolique et permet à Jamar d'imposer un style éblouissant.
Un magnifique coffret regroupe désormais l'intégralité de la série !
L'originalité et la force narrative, la beauté et l'élégance graphique, sont les points forts de la collection Grafica où se conjuguent à merveille esthétisme, romanesque et fantastique.