Jojo l'éléphant est la star du zoo... mais il a un peu la grosse tête. Un jour, arrive Gromi le panda, et la popularité de Jojo s'effondre. Jaloux comme un pou, il croise la route de Yolande, une vieille caïman qui se souvient bien de lui : elle était la coqueluche du zoo, jusqu'à ce que le jeune Jojo ne lui vole la vedette. Sans rancune, Yolande fait part à Jojo de son projet secret : une collection incroyable de pièces de monnaies perdues par les visiteurs et collectées au fil des ans. Jojo trouve ça complètement nul. Il se met à construire des machines à détruire les pandas. Le budget participatif du zoo finance l'achat de matériel. Son initiative audacieuse le fera t-elle renouer avec le succès ?
Le boxeur s'échauffe. Quel jeu de jambes ! Quelle poussière ! Ça part en vrille.
Sur le ring, on ne voit pas toujours venir le coup, mais ça vaut le coup.
Série Flip de sport. 3 flipbooks recto verso et en couleurs, 3 auteurs, de l'aérobic, du rugby ou de la boxe, 5 secondes de prouesses avec un minimum d'effort.
Otto T a greffé deux pinceaux à son piano. Pour nous ce soir, il interprète un concerto de sa composition, en trois mouvements et en bichro. Au programme : Adagio, Toccata et Allegro, pour en prendre plein les yeux sans se casser les oreilles !
Otto T a greffé deux pinceaux à son piano. Pour nous ce soir, il interprète un concerto de sa composition, en trois mouvements et en bichro. Au programme : Adagio, Toccata et Allegro, pour en prendre plein les yeux sans se casser les oreilles !
Otto T a greffé deux pinceaux à son piano. Pour nous ce soir, il interprète un concerto de sa composition, en trois mouvements et en bichro. Au programme : Adagio, Toccata et Allegro, pour en prendre plein les yeux sans se casser les oreilles !
Une nouvelle série de 4 flip-fables, sur le thème c'est pas la petite bête qui va manger la grosse.
Au recto la grosse, au verso la petite.
Un cachalot et de toutes petites crevettes, soit supermégaGoliath contre micromicroDavid.
Une nouvelle série de 4 flip-fables, sur le thème c'est pas la petite bête qui va manger la grosse. Au recto la grosse, au verso la petite.
Un gros ours affamé perturbe la vie tranquille d'un essaim, ça ne va pas se passer comme ça !
Si l'art a d'innombrables buts, il n'a que deux moyens : représenter la nature et capter le flux de la pensée. Dans ce livre, Otto T. nous invite dans sa tête pour voir comment ça marche là-dedans. S'il est obligé de partir de sa vie pour penser, il s'en sert pour aller voir ce qu'il y a au-delà des apparences, au-delà du contexte. Capter le flux de la pensée, c'est déployer une gigantesque antenne parabolique sur le monde, et voir comment on réagit par rapport aux informations qu'on reçoit. Finalement c'est comme aller au bistrot avec des copains et refaire le monde. En tout cas c'est aussi agréable. Mais en textes et en dessins.
Une nouvelle série de 4 flip-fables, sur le thème c'est pas la petite bête qui va manger la grosse.
Au recto la grosse, au verso la petite.
Une aigrette qui dort, un escargot qui chemine, et paf, un coup de théâtre imprévu !
Une nouvelle série de 4 flip-fables, sur le thème c'est pas la petite bête qui va manger la grosse.
Au recto la grosse, au verso la petite.
Un gros morse se fait tailler les moustaches en pointe par un petit crabe.
Le vendredi, avec sa colle et ses ciseaux, Otto T. transforme Marilyn en brune croqueuse d'hommes, pour faire rêver les ménagères de moins de 50 ans.
Teint jaune ? Cernes ? Peau sèche ? Découvrez le B-A-BA de la gymnastique faciale, qui rendra
aux liftings les plus tendus un teint de caoutchouc naturel.
Après Zioum Tchabada Tchou Tchou, Otto T. poursuit ses promenades en bande dessinée, partant de son quotidien pour aborder des questions plus vastes.
Cette fois-ci, on parlera d'amour, de cinéma, de théorie du genre, de vide-grenier et de café.
Chaque année au début du printemps, on voit arriver dans le ciel de France de nombreux immigrés qui ont fait de longues distances pour venir se reproduire chez nous. Ils ont pris leur envol en vastes groupes et, poussés par la misère et par le manque de nourriture, ils viennent se poser sur les fils électriques de la banlieue parisienne ou dans les quartiers chauds de Marseille.
Là, ils construisent leur nid dans des tours en béton réservées à cet usage puis, pour nourrir leurs petits, ils font plein de sales boulots dans le bâtiment, la restauration ou le retraitement des déchets. Ce phénomène d'immigration n'est pas nouveau : jadis les Belges, les Italiens, les Polonais, les Espagnols, aujourd'hui les Maghrébins et les Africains de nos anciennes colonies.
Connaître leur histoire apprend à se connaître soi-même, car en vérité je vous le dis : l'homme civilisé descend de l'immigré.
Des mauvaises langues disent qu'après la décolonisation, dans le dos du peuple français, nos élites politiques ont conservé des liens de sujétion avec nos anciennes colonies d'Afrique en plaçant à leur tête des présidents dévoués à nos intérêts. Comment aurions-nous réussi un coup pareil ? Il aurait fallu plus que des bases militaires ou des Monsieur Afrique de l'Élysée, plus que des Elf, des Cogema, des Bouygues ou des Bob Denard. Il aurait fallu un silence total et l'assentiment de toute la classe politique. Mais la France est un pays libre, les journalistes, les universitaires, les associations, les juges, les artistes font un travail extraordinaire de contre-pouvoir qui empêche tout népotisme. Alors, soyez tranquilles, la Françafrique n'existe pas, et elle n'existera jamais.
Petite histoire des colonies françaises passe en revue cinq siècles de colonisation en rentrant bien dans les détails pour qu'on ne loupe aucun aspect positif.
Dans ce premier tome, nous suivrons l'épopée de Jean Ribaud en Floride où il se fera massacrer par les Espagnols pour notre plus grand plaisir ; nous serons mis hors de nous-mêmes pa la débâcle des Acadiens, déportés en masse par les Anglais ; nous mordrons dans un bâton pour ne pas crier lors de la révolte des esclaves d'Haïti, vainqueurs des troupes napoléoniennes et fondateurs de la première république noire.
Petite histoire des colonies françaises passe en revue cinq siècles de colonisation en rentrant bien dans les détails pour qu'on ne loupe aucun aspect positif.
Ce troisième volume vous fera vivre en direct les deux guerres mondiales, la guerre d'Indochine, la guerre d'Algérie et même les petites guéguerres africaines qui ont abouti à la création de la carte du monde telle que nous la connaissons aujourd'hui. Ainsi nous comprendrons pourquoi ces contrées, promises à un grand avenir du temps des Français, sont tristement devenues des pays du tiers-monde comme les autres.
Petite histoire des colonies françaises passe en revue cinq siècles de colonisation en rentrant bien dans les détails pour qu'on ne loupe aucun aspect positif.
Dans ce premier tome, nous suivrons l'épopée de Jean Ribaud en Floride où il se fera massacrer par les Espagnols pour notre plus grand plaisir ; nous serons mis hors de nous-mêmes pa la débâcle des Acadiens, déportés en masse par les Anglais ; nous mordrons dans un bâton pour ne pas crier lors de la révolte des esclaves d'Haïti, vainqueurs des troupes napoléoniennes et fondateurs de la première république noire.
Ce qui devait arriver arriva : des quatre coins du pays, le peuple se soulève, les structures de dominations s'e ondrent, la France est à feu et à sang ! Après avoir traversé Paris en pleine Révolution, un homme pénètre dans l'Assemblée Nationale. Les députés barricadés l'accueillent en héros. Cet homme qui prétend sauver la République n'est autre que Louis XX, héritier légitime du trône de France ! Il raconte alors la Révolution Française de 1789, dans l'espoir de conjurer celle qui se lève... Après Petite histoire des colonies françaises , Grégory Jarry et Otto T. proposent une relecture à deux voix en texte et en image de la Révolution Française, l'un racontant celle de 1789, l'autre anticipant la Révolution qui vient.
Quand on met le monde actuel en équation, toutes les courbes qui désignent des trucs horribles s'accélèrent et rien ne peut stopper l'emballement. Notre civilisation va-t-elle s'effondrer ? Pour le savoir, nous réfléchirons aux 190 000 ans durant lesquels nous avons été chasseurs-cueilleurs et aux 10 000 ans depuis lesquels nous sommes agriculteurs. Et si cette invention avait été un gros accident rétroactif, comme la météorite qui a fait disparaître les dinosaures ? Et si les castes gouvernantes avaient inventé une religion appelée « sciences économiques » pour empêcher tout retour en arrière ? Et si un système nécessitant de grandes quantités d'énergie était toujours voué à l'effondrement ?
Dit comme ça, tout semble foutu. Mais peut-être pas.
Vous aurez la surprise en lisant ce livre.