Après deux ans, un mois et seize jours d'absence, Amos et Sarah retrouvent leur père. L'auteure décrit les réactions différentes entre les membres de la famille. La volonté secrète et obstinée d'Amos pour rentrer en contact avec ce père énigmatique, pour comprendre ce qui se passe. Par petites touches, l'auteure installe le contexte historique, le retour de camp de concentration, la fin de la guerre. La fin de l'album est d'une grande délicatesse.
C'est Simon, le père, qui va apporter la solution. On comprend alors que pendant ce long silence, il a observé, écouté, suivi son fils.
Léontine est une jeune princesse qui n'en fait qu'à sa tête. Hors de question de se plier au protocole ; elle porte une salopette. et surtout elle mène une révolution : la révolte contre les princes qui choisissent leur promise selon leur physique.
Mon papa est un zarzouilleur, comprenez un «châtouilleur», une zarzouille étant un guillis entre les doigts de pieds. En réalité, la légèreté du titre tranche avec le thème évoqué. En effet, le papa de la petite Zoé est au chômage et les fins de mois sont difficiles pour la famille. Heureusement, la fillette va redonner le sourire à son papa en dressant une liste des métiers qu'il pourrait occuper. Des professions fantaisistes qui ont le mérite de redonner de l'espoir à ce papa complètement désespéré.