Plongez dans ce thriller diabolique dans la veine des Apparences. Lizzie pensait que le perdre serait la pire chose qui pourrait lui arriver. Elle avait tort. Ils lui ont dit de ne pas s'inquiéter sa soeur, la police , que c'était quelque chose de courant, quand un proche mourait, de le voir partout. De le sentir partout. Seulement ils ne connaissaient pas Zach. Ils ne savaient pas à quel point il l'aimait ni jusqu'où il pouvait aller pour se venger. Que sait-on réellement de la personne qui partage notre vie ? En alternant les voix de Lizzie et de Zach, les flash-back et le moment présent, Sabine Durrant impose un climat de tension exceptionnel qui fait voler en éclats les faux-semblants d'un couple apparemment irréprochable.
Un roman qui vous prend aux tripes dès la première page. The TimesSabine Durrant ne commet aucun faux pas. Superbe. Sunday Mirror
Tout commence par un mensonge. De ceux qu'on fait tous pour impressionner une vieille connaissance. L'histoire de votre vie, légèrement embellie, face à cet avocat brillant, époux et père comblé, que vous avez croisé par hasard.
Puis, sans savoir comment, vous vous retrouvez à dîner chez lui, à accepter une invitation en vacances, propulsé dans une vie de rêves celle à laquelle vous avez toujours aspiré. Jusqu'à ce que cette vie ne semble plus si idyllique...
Mais vous êtes déjà pris au piège, transpirant sous l'impitoyable soleil de Grèce, brûlant d'échapper à la tension ambiante. Alors vous comprenez que, si douloureuse la vérité soit-elle, ce sont vos mensonges qui ont causé le plus de tort... Et, à ce moment-là, il est déjà trop tard.
L'auteur de Ce que tu veux revient avec un nouveau thriller remarquable, un huis clos où le héros court sans le savoir vers son destin... et son inéluctable chute.
Dis-moi que tu mens ménage avec maestria une tension constante. L'auteur signe aussi là une satire incisive : elle cerne ce monde bourgeois dysfonctionnel avec une finesse désopilante. The Guardian UN SUSPENSE PSYCHOLOGIQUE FÉMININ QUI NOUS AGRIPPE. L'EXPRESS ÉPOUSTOUFLANT. Télématin
Toutes les écoles ont leur star, la fille la plus jolie, la plus populaire. Et la nôtre, c'était Claire Masterson: blonde, chic, bohème... Nous l'enviions toutes, moi la première. Vingt ans après, rien n'a changé. Claire est toujours blonde, sublime et séduisante. Tellement parfaite que l'on se demande pourquoi elle est revenue à Morton, banale banlieue de Londres, après avoir connu la vie trépidante de New York!
En la revoyant, moi, Maggie Owen, mère au foyer, je me suis sentie, comment dire, complètement tarte.
Un déclic s'est produit et, soudain, tout m'est apparu sous un jour différent: mon couple, mes choix, mon avenir... Je ne savais pas dans quelles péripéties cela allait m'entraîner!
Couverture: © Getty Images / D. Patterson
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