Le premier bain, les premiers petits pois, la première bagarre, les premiers amis... C'est ainsi qu'on entre dans la ronde de la vie.
Titre recommandé par le ministère de l'Éducation nationale, pour le cycle 2 de l'école primaire.
Émile nous entraîne dans une aventure dont il est l'auteur et le héros! Aux manettes de son monde imaginaire, il nous emmène dans une étrange forêt où un loup affamé le guette, avant de s'envoler en vaisseau spatial...
Les enfants sont méchants! Ils sont sales, mordent, font des colères! Les parents, eux, sont gentils. C'est comme ça et pas autrement.
Gilberte, son tatoo il est trop cool! Mais Clémentine et Paupiette sont un peu jalouses. Tous les copains veulent le même, et Saucisse plus que les autres! Dans la cour d'école, il y a un panneau de basket, une marelle et des enfants, plein d'enfants. On se dispute, on papote, on se chamaille, on joue, on se bagarre, on se console, on s'amuse! C'est ça, la vie d'une cour d'école!
J'ai pris un bouquin au pif, dans une boîte à livre, juste avant de rentrer dans la gare. Je me suis dit 5 heures de train, ça va être long. Mon téléphone a plus de batterie, j'ai pas pris mon ordi et y a pas de journaux. Et le train, avec ou sans billet, c'est long.
Bon. Je tente encore une ligne. Juste pour savoir ce qu'il fait, Bidule Argice, là...
« Argice ignorait le bien et le mal, le nu et le sacré, le vide et le morbide. Argice engageait l'être vers cette ironie qu'on appelle Dieu, fatale pensée d'un monde en devenir, à l'agonie, en devenir... » Ah ouais ! d'accord. Je comprends rien. Remarque, si ça se trouve, c'est fait exprès. Le gars, il a voulu faire le livre le plus nul du monde. Et il a réussi.
Parti de chez lui par ennui, Paul croise sur son chemin l'auteur du roman épouvantable qu'il a pris dans une boîte à livres.
Quand on veut, où l'on veut ! 1 roman, 3 versions. Avec ce livre, vous pouvez écouter la version audio et lire la version numérique gratuitement via l'appli Nathan Live. Des récits initiatiques intenses et percutants, qui racontent un moment-charnière de la vie d'un ou d'une ado d'aujourd'hui.
Marre ! Des mois que le père de Benjamin ne lui parle que de ses mauvaises notes, comme s'il n'y avait que ça dans la vie. En plus, pour les vacances, il veut partir trois semaines, sac à dos sur les épaules, bof, bof... Mais ce qui s'annonçait comme les pires vacances de Benjamin, prennent un virage serré car les deux loustics semblent avoir encore plein de choses à partager.
Ce que Benjamin préfère chez ses amis, c'est qu'ils sont étranges, et comme chacun le sait, les bonnes surprises arrivent souvent avec ceux qui ne sont pas comme les autres.
Benjamin, le jeune héros aussi attachant qu'hilarant de Vincent Cuvellier, n'a pas que des copains... il a aussi des copines ! Et ensemble, ils comptent bien mener la vie dure aux adultes ! Redécouvrez, dans ce second recueil illustré par Aurélie Grand, trois de ses aventures : «La nuit de mes neuf ans», «Vive la mariée» et «Mon Père Noël».
Une petite fille en haut, une petite fille en bas.
La première vit en 1910, la seconde en 2010. Les deux s'appellent Marguerite et ont 12 ans. Un samedi matin où elles s'ennuient, chacune en même temps, elles grimpent au grenier et, dans une vieille malle, trouvent et enfilent une robe ayant appartenu à une aïeule un peu mystérieuse. Et chacune se retrouve dans l'époque de l'autre !
L'histoire : Ma mémé, quand elle était petite, c'était pas encore ma mémé. Mais c'était déjà une sacrée marrante. Et une fois, Mémé et son copain Mimile, ils se sont fait attaquer par des guêpes. Et Mémé s'est pas laissée faire. Ma mémé, faut pas la chercher.
Dès 3 ans.
Un voyage dans le temps, deux petites ?lles, deux époques !
Une petite ?lle en haut, une petite ?lle en bas. La première vit en 1910, la seconde en 2010. Les deux s'appellent Marguerite et ont 12 ans... Un samedi matin où elles s'ennuient elles grimpent au grenier et en?lent une robe ayant appartenu à une aïeule. Et chacune se retrouve dans l'époque de l'autre !
Où il est question du métier des parents, de honte et d'admiration, de rapport au travail.
« Dans la classe, tout le monde est paralysé. Bouche bée. Yeux ronds. Y a même Candice qui se met à pleurer. - Bonyour les nenfants, crie mon père. »
Le héros de la série Benjamin et ses copains, écrite par Vincent Cuvellier, a bien grandi. Adolescent, il découvre le monde du mannequinat. Ça ne le laisse pas indiférent...
Benjamin Toucourt, qui est le plus mignon de sa bande de potes, se fait repérer dans la rue par la scout d'une agence de mannequins. Quelque chose se passe enfin dans sa vie !
Génial ! Mais il faut d'abord convaincre sa mère féministe et son père gauchiste de le laisser faire le mannequin... avant de découvrir les avantages et les inconvénients du métier ! Car en bon ado normal, Benjamin est obsédé par les filles. Et dans ce milieu, des filles et des très belles, il y en a beaucoup. Son obsession tourne vite à la torture. Surtout quand il apprend qu'il va participer à une campagne de pub pour les slips Kangourou et s'embarquer pour l'Afrique du Sud pour tourner des clips Avec Ma tronche en slip, Vincent Cuvellier a voulu mettre un ado normal en scène, qui ne pense qu'à ça... Comme dans ses livres pour les plus petits, il joue avec humour et langage du quotidien pour nous croquer un Benjamin plus vrai que nature !
Une grande partie de rire !
Clara est un bébé. Un bébé comme un autre. Sauf qu'elle est née dans une famille juive, à Paris, en 1942. Dix narrateurs différents vont raconter comment, à leur manière, ils ont sauvé Clara... À partir de 6 ans.
"Je ne comprenais pas où j'allais, mais j'y allais.
Je savais juste que je vivais un des moments les plus importants de ma vie.
Que ça y était, moi le nul, le redoublant, le presque dernier de la classe, le 30e sur 31, j'avais réussi quelque chose." A la fin de la troisième, Vincent Cuvellier est viré du collège. Son adolescence, c'est des stages bidons, des petits boulots, le chômage... mais aussi les filles et la rage de s'en sortir. Il sait une chose : il adore écrire et rêve de devenir écrivain.
Alors il écrit, sans poser de questions. C'est comme ça qu'il publie premier roman. A 16 ans. Vingt-cinq ans plus, il se souvient de ses débuts d'écrivain. Un livre vrai qui claque fort !
Années 50, un dortoir de colonie de vacances, à la montagne. Les gamins dorment. Pas un bruit. Soudain, un petit prout de rien du tout, suivi de rires. Un oreiller vole. Puis deux. Des lampes de poche s'allument. La bataille de polochons commence. Mais pas n'importe quelle bataille de polochon. La plus grande qu'il y ait jamais eu sur terre.
Après une catastrophe qui a anéanti les villes, les humains rescapés se réfugient dans les forêts. Les animaux se réunissent pour délibérer sur le sort des hommes. Les tuer ? Les aider ? Chaque représentant de la faune et aussi un peu de la flore exprime son avis, sa rancoeur, c'est l'heure des comptes mais le pouvoir a changé de main, les plus forts sont maintenant les animaux qui vont voter pour sauver les hommes, ou non. Un bébé fera pencher la balance.
«Une fleur ! J'ai fait une fleur ! Ma première ! Une petite, toute petite, toute blanche, au creux de ma main. C'était d'abord un bouton, comme un bouton de rose, puis une fleur, une vraie, avec des pétales, un pistil et tout et tout. C'est bizarre... je ne savais pas que je pouvais faire une fleur. Une jeune fille, ça ne fait de fleurs.»
J'ai un secret mais je n'ai pas encore envie de vous le dire... Je le dis quand même à l'escargot, à Pilou le chat, qui le répète à la souris, qui le dit à l'araignée, qui le murmure à la rose, qui en informe l'abeille qui vole et joue avec les moineaux qui aiment tellement mon secret qu'ils chantent la plus belle chanson du monde ! Mon grand secret, ma petite soeur...
Comprendre l'art espagnol. Pour moi, peu importent les tableaux, les grands monuments de Barcelone, du moment que c'est la jolie Conchita qui nous guide!
" - Benjamin, je te laisse 20 euros et tu vas chez le coiffeur, il est hors de question que tu restes avec cette tignasse ! Je soupire, mais bon, j'y vais. Sauf que tout est complet. Je m'apprête à rebrousser chemin, quand je vois, en haut d'un vieil escalier, une enseigne à moitié effacée surmontée d'une paire de ciseaux géante, où il y a écrit en grandes lettres : GERARD COIFFURE. J'entre. Je me tiens debout au milieu du salon, entre le fauteuil rouge et les bacs. C'est tout vieux, tout sombre. Je vais sortir quand arrive un type de derrière un rideau coulissant. Il a la même coupe de cheveux que ma grand-mère. - Bonjour, jeune homme, chante-t-il en s'essuyant la bouche. Que puis-je pour vous ? - Euh, c'est pour mes cheveux ! - Ça tombe bien, je suis coiffeur. "
«Je suis un papillon. Je ne vis qu'un jour. Mais j'ai de la chance car, cette journée, je l'ai vécue dans le jardin des Hoffmann...».Une jolie maison, le printemps, un soleil doux et chaud, la joyeuse famille Hoffmann se réunit dans le jardin. Un joli papillon volette de-ci, de-là, tombe amoureux de Clara Hoffmann. Mais soudain tout bascule dans l'horreur, d'affreux personnages, sortes de soldats d'opérette, pénètrent dans le jardin, cassent tout, frappent, insultent et puis s'en vont, laissant après eux stupeur et désolation...
La classe d'Hervé répète le spectacle de fin d'année sur le thème du Petit Poucet. La maîtresse a distribué tous les rôles et selon elle, Biscotto fera un ogre parfait. Mais le garçon glouton n'est pas de cet avis, il souhaite obtenir le rôle principal.