Elle part sur les traces de sa mère, cette Mélini qui ne veut rien savoir de son passé, préfère rêver sa vie et ne sait ni les mots ni les gestes de l'amour maternel. Mélini fume comme un pompier, tape à la machine, vole dans les magasins. Elle aime les romans policiers, la bière. La pensée de la mort la fait rire. La fille raconte la mère dans son exaspérante excentricité. Sa liberté absolue.