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Tintamarre
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Ma tata, mon pingouin, Gérard et les autres
Delphine Durand, François Hadji-lazaro
- Milan
- Tintamarre
- 31 Août 2011
- 9782745952363
Ce septième volume de la collection "Tintamarre" est écrit, composé et interprété par François Hadji-Lazaro, et illustré par Delphine Durand.
Cette grande personnalité de la musique française nous invite dans son univers drôle et décalé. Une visite entre tendresse, poésie, chanson réaliste, humour décalé, nostalgie, avec des touches rock, musette, punk, folk. Un disque qui donne la "patate" !
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14 chansons pour chanter en rythme et en famille.
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Une classe un peu particulière rejoint la collection « Tintamarre » ! Celle où l'on aime rester assis au fond de la classe le nez en l'air, où l'on tombe amoureux de la maîtresse, où l'on fredonne des chansons de Bobby Lapointe. Avec des faux airs de rap, de reggae, de blues. mais une vraie plume qui attrape au vol petits malheurs et grandes promesses qui naissent dans les écoles.
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Les pieds dans le plat (édition 2011)
Anne Laval, Pascal Parisot
- Milan
- Tintamarre
- 31 Août 2011
- 9782745952370
Une nouvelle édition du titre le plus populaire de la prestigieuse collection « Tintamarre ».
Dans cette collection très appréciée des libraires, chaque auteur-compositeur-chanteur nous livre 14 morceaux autour d'une thématique. Ici, Pascal Parisot croque avec humour et poésie l'univers de la nourriture.
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14 chansons pour chanter en rythme et en famille.
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Tout premier titre de la collection « Tintamarre », Monstres à tue-tête ouvre le bal par un défilé des plus loufoques : cyclope, calamar géant, zumainzigouille, tante Isabelle. Tout le talent, la poésie et l'humour d'Alain Schneider dans ces 14 chansons originales !
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14 chansons pour brailler avec tous les animaux, comme la tribu des yacks, au temps des hommes ou le tigre à la rose.
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Attention, le plus fou et le plus drôle des « Tintamarre » arrive ! Il est bête, il est méchant, son humour est absurde, féroce et décapant. En nous racontant l'histoire d'un petit garçon qui n'est pas vraiment un ange, Oldelaf signe un conte musical très incorrect mais terriblement jubilatoire.
