Bahia a 17 ans, elle est féministe, passionnée de cinéma, indépendante et déterminée, et rêve de devenir cinéaste. Au début de son année de terminale, elle vit une histoire d'amour avec Milosh. Très vite, tous leurs amis semblent avoir un avis sur leur couple : sont-ils faits l'un pour l'autre ? quand doivent-ils faire l'amour pour la première fois ? quels compromis pour être en couple ?...
Bahia ne voulant pas être seulement « la moitié d'un couple », décide de mettre fin à sa relation avec Milosh.
Ellie, douze ans, vit seule avec sa mère après que son père a quitté la famille, incapable de faire face au handicap de sa fille atteinte de paralysie cérébrale.
Elle rêve de devenir une pâtissière hors pair et, lorsqu'elle n'écrit pas des lettres d'admiration à ses chef·fes préférées, elle essaie avec plus ou moins de succès ses recettes sur sa mère. A la grande surprise de celles et ceux pour qui les enfants en fauteuil roulant sont forcément gentils, Ellie ne mâche pas ses mots.
Quand son grand-père tombe malade et que sa mère décide de déménager pour s'installer près de lui, Ellie doit se faire accepter dans une nouvelle ville et une nouvelle école où elle ne sera pas seulement « la nouvelle », mais « la nouvelle en fauteuil roulant ».
Hector est un hamster. Il aime faire la sieste, manger des graines et profiter de la confortable cage que lui a aménagée son jeune maître Gregory. Un jour qu'il peine à ouvrir une noix, il se retrouve assommé. Il a une vision : ses ancêtres les hamsters le somment de renouer avec la vie sauvage. Hector quitte donc son nid douillet, et atterrit sur ce qu'il croit être un coin de verdure des plus authentiques : le rond-point d'une zone industrielle !
Elvi a deux mamans. Son ami Nicolas s'interroge : laquelle est sa vraie maman ? « Les deux. » lui répond Elvi. Nicolas insiste : «Ta vraie maman, c'est celle qui t'avait dans son ventre. C'est laquelle ? » Elvi s'arme alors de patiente et de beaucoup d'humour pour prouver à son ami que ce qui unit vraiment une famille, c'est l'amour.
500 ans avant Jean de la Fontaine, Marie de France !
« Le corbeau et le renard », « La cigale et la fourmi », « Le lion et le rat »... autant de fables que nous connaissons pour les avoir lues et apprises par coeur dans notre enfance. Ce que l'on sait moins, c'est que, cinq cents ans avant Jean de La Fontaine, au XIIe siècle, la poétesse Marie de France fut la première à avoir écrit en français ces fables inspirées d'Ésope.
Pleines d'inventivité et de fraîcheur, ces vingt-cinq fables de Marie de France ont été traduites par Christian Demilly, qui a su transcrire leur musicalité et s'affranchir des difficultés techniques de l'ancien français pour toucher le public du XXIe siècle. Les illustrations raffinées et drôles de Fred L. font le lien entre la voix presque millénaire de la poétesse et les jeunes d'aujourd'hui.
Bébé Ours s'est endormi. Dans la nuit, on entend un bruit. C'est le hibou qui hulule. Papa sort du lit : « Chut.. Bébé s'est endormi. » Quelques heures plus tard, c'est le loup qui hurle un peu trop fort. Maman se lève : « Chut, Bébé dort. » Au petit matin, un nouveau cri tire Maman et Papa du sommeil : c'est celui de Bébé qui se réveille ! Alors, à qui le tour ?
Malou a 14 ans. Afin de ne pas oublier cette période de sa vie, elle décide de créer une « capsule temporelle ». Tout au long de l'année, elle note ses sentiments, ses colères et ses joies, le récit de ses premières amours et de sa prise de conscience féministe, des listes de choses à faire et ses rêves dans une sorte de journal intime. À la fin de l'été, la jeune fille enterre, pour les quinze prochaines années, sa capsule où se côtoient le récit de sa dernière année au collège, ses livres préférés, un poème de Sylvia Plath, les photos de ses amies... tout ce qui aura été elle, cette année-là.
Tout le monde l'appelle Écrasouille : tout ce qu'elle voit finit en ratatouille ! Mais elle n'aime pas les embrouilles... Écrasouiller entre amis, c'est encore mieux !
Un pas, puis deux, puis trois... Dans toutes les familles, pour tous les enfants, les premiers pas sont une joie !
J'en ai marre de ces remarques depuis l'entrée au collège. J'ai l'impression qu'on épie le moindre de mes faits et gestes.Je dois « surveiller mon langage », « faire attention à la façon dont je m'habille ». Faire attention à quoi, au juste ? Quoique je fasse, ça ne va jamais : trop court, trop long, trop serré, trop large, trop voyant, trop sombre.Trop pénible !
Quand je suis tombée amoureuse de Mathis et que j'ai compris qu'il était amoureux de Lola, j'ai tout de suite pensé que c'était parce que quelque chose n'allait pas chez moi. Et qu'est-ce qui n'allait pas ? N'importe qui aurait deviné : trop grosse évidemment.Depuis, mon complexe est aussi grand que le ciel.
L'engrenage terrifiant du harcèlement sur internet rendu avec justesse et sincérité par Jo Witek, dans le premier roman de la collection EGO.
Entre ennui et conflits avec sa mère qui l'élève seule, Julie, 14 ans, rêve de mannequinat et attend le grand amour. Lorsqu'elle entre en contact avec Laurent sur internet, elle pense l'avoir trouvé. Il lui promet de l'aider à se constituer un book photos et la convainc de poser nue devant la webcam jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus se défaire de cette passion qui tourne au chantage et au harcèlement. Après des mois pendant lesquels le pédocriminel renforce son emprise sur sa victime, Julie finit par trouver la force d'appeler au secours
Toute la semaine, j'ai gardé la sensation désagréable d'être épiée. Qu'est-ce qu'ils mijotaient tous ? J'allais devenir parano ! Le vendredi, Johnny s'exclama suffisamment fort pour que je l'entende : - Tu sais que les rousses sentent mauvais ? J'ai rougi d'un coup.- Carotte ! triompha-t-il. Cette fois, le doute n'était plus possible.J'étais au centre de quelque chose qui m'échappait.
Chaque matin, au moment de s'habiller, on ouvre notre tiroir pour choisir l'une d'entre elles : la blanche à petit pois, la bleue avec de la dentelle, celle avec des coccinelles... De quoi s'agit-il ? De la culotte !
Saviez-vous que, longtemps, la culotte a été réservée aux hommes ? Connaissez-vous l'origine de l'expression « porter la culotte » ? Un voyage dans le temps pas comme les autres, qui raconte la petite histoire de la culotte, et à travers elle, la grande histoire des filles, des femmes, et de leur émancipation.
Que se passe-t-il dans la jolie cabane d'Arthur ? La future maman repeint tous les murs. Elle rêve : son petit sera artiste. Son papa fait des confitures. Son enfant sera gourmand, c'est sûr. Et Arthur ? Il ne va pas tarder à arriver... et grandira à toute allure ! Sera-t-il comme ses parents l'avaient imaginé ? Peut-être, mais rien n'est moins sûr.
Ah... l'amour !
Awa a sept ans. Elle vit avec ses parents qui s'aiment d'amour (beurk...), sa soeur Maïa (qu'elle espionne souvent pour savoir si elle a un amoureux) et son chat Croûton qu'elle adore.
Elle aime aussi beaucoup ses tantes Keshia et Mounia et ses meilleurs amis Leïla, Lipata et Pepito. Awa est très observatrice : elle se rend bien compte que l'amour a beaucoup de nuances, et qu'il en fait voir de toutes les couleurs !
Et surtout surtout, elle voudrait bien savoir comment on fait les bébés !
Dans les imagiers pour les tout-petit·es, les femelles font références quand elles représentent la maternité (la vache, la poule), sont des proies de l'Homme ou du mâle (la gazelle, l'antilope) ou sont devenues des termes dévalorisant dans le langage courant (la fouine, la hyène, l'autruche, la truie).
Pour le reste, et notamment la puissance, la prédation, la rapidité et l'intelligence, le mâle est roi et le masculin est le neutre universel. Pourtant, les lions peuvent être des lionnes et les chevaux des juments !
Awa a sept ans. Elle vit à Liège avec ses parents et sa grande soeur, mais se sent à la fois belge, guinéenne, française, marseillaise, sicilienne-italienne... et gauchère. Elle adore le chocolat, les livres, et embêter sa soeur Maïa. Elle a horreur des robes, du racisme, d'être gentille avec tout le monde, et elle déteste les aubergines. Plus tard, elle veut devenir reine-capitaine-pirate de la mer.
Elle est curieuse, drôle, têtue, et a un sacré sens de la répartie.
Et elle a beaucoup de choses à vous dire...
On emprunte le petit chemin de sable qui mène à la maison. Maman se jette dans les bras de Paul.J'aperçois un garçon tout bronzé avec des cheveux noirs et un peu longs. Le fils de Paul...- Je m'appelle Ulysse.Il rit. Ses dents sont blanches et toutes droites.Pas un appareil dentaire à l'horizon.- Ulysse et Pénélope ! Qu'est-ce que tu dis de ça ?
Un enfant joue avec sa poupée. Il la promène dans sa poussette, la serre dans ses bras, s'inquiète de ses besoins.
Attendrie, une vieille dame l'interrompt : « Tu joues à la maman ? » L'enfant lui répond : « Non, c'est au papa que je joue ! » Jouer à la poupée, c'est apprendre à être père.
Petites peurs du soir, petites peurs du noir : les garçons aussi.
Shaïma et Lilian sont désignés par le maître d'école pour apporter ses devoirs à Mélie, qui a la varicelle. Mélie, c'est pas qu'ils la détestent. Mais elle est un peu étrange et n'a pas beaucoup d'amis dans la classe... Le premier jour, ils se rendent chez elle à reculons. Et puis au fil de la semaine, Mélie s'avère beaucoup plus sympathique qu'ils ne le pensaient. Et si c'était l'occasion d'apprendre à se connaître ?
Le duo de justicières que composent la romancière parisienne, Sidonie Jolibois, et sa tutrice russe, Sasha Vlasenko, est en vacances en Limousin. Les jeunes femmes sont bien vite embarquées dans une mystérieuse affaire : une bergère, victime d'un poltergeist, a disparu. Sasha et Sidonie décident de mener l'enquête qui les entraînera du côté des sciences occultes et du dieu Pan.