Laissant derrière eux leur maison de rêve, Anne et Gilbert emménagent à Ingleside, à Glen St Mary. Et ils ne sont pas seuls ; désormais mère d'une fratrie de six enfants, entourée d'amis précieux et atypiques, la petite orpheline assoiffée d'amour et de tendresse semble avoir étanché sa soif. Voici le sixième volume des aventures d'Anne Shirley !
L'Appel de la forêt est le roman qui a apporté la célébrité à Jack London. Il sera vendu à plus de six millions d'exemplaires aux États-Unis de son vivant. L'édition originale américaine est parue dans un cartonnage illustré vert olive, au lettrage doré. Cette nouvelle édition française veut rester dans la tradition et s'inspire, en la modernisant, de cette couverture.
Après trois années passées à Summerside à faire des rencontres toutes plus surprenantes les unes que les autres, Anne Shirley quitte le lycée dont elle avait la direction et la charmante pension de Windy Willows et s'apprête à entamer un nouveau chapitre de sa vie aux côtés de son fiancé, Gilbert Blythe, à Four Winds, dans un coin de paradis de l'Île-du-Prince-Édouard.
Ses brillantes études universitaires terminées, Anne Shirley se voit confier la direction du lycée de Summerside, une petite bourgade de l'Île-du-PrinceÉdouard, d'apparence paisible, mais qui va lui réserver bien des surprises. Elle nous fait tour à tour découvrir Windy Willows, la pension où elle va vivre pendant trois ans - ainsi que ses trois occupantes -, la petite Elizabeth, sa féerique voisine, Katherine Brooke, sa collègue désabusée, et ses élèves, qu'ils soient touchants ou tout à fait exaspérants. Avec un humour toujours plus fin, des envolées lyriques et nostalgiques, Anne de Windy Willows offre le portrait intimiste d'une jeune femme tout en nuances : généreuse et directe, fiancée, oui, mais surtout indépendante.
Vendu à 60 millions d'exemplaires à travers le monde, adapté des dizaines de fois , aimé par des générations de lecteurs, Anne de Green Gables de Lucy Maud Montgomery est un hymne à la joie et au pouvoir de l'imagination. Magnifiquement écrit, construit autour d'une héroïne parfaitement imparfaite, féministe involontaire et romantique impénitente, ce roman empreint de poésie et d'humour est bien plus que la vie d'une orpheline qui va bousculer le calme de son nouveau foyer. C'est un autre monde, fait d'une nature enchanteresse et d'idées saugrenues qui se déploie à travers les yeux de l'incroyable Anne. Littérature solaire et intemporelle, ce roman unique est une parenthèse magique, un souffle chargé d'énergie, un élan à vivre pleinement nos amitiés et nos passions.
Avec ce deuxième roman, Lucy Maud Montgomery continue de déployer sous nos yeux fascinés l'univers enchanteur qu'elle a créé autour d'Anne Shirley, l'orpheline idéaliste aux yeux clairs et aux cheveux roux adoptée par erreur. Entre les amis de toujours, qu'on aime retrouver, et les nouveaux venus, si intéressants, entre les idées saugrenues qu'on ne peut museler, et le bon sens qui, désormais, pointe son nez, Anne nous entraîne dans les aléas de la vie douce et enchanteresse d'un village un peu hors du temps. À travers les joies et les peines qui font la trame du quotidien, le style si frais et poétique de Lucy Maud Montgomery porte la voix d'Anne dans les péripéties, les rêveries et les moments de tendresse. Après Green Gables, quel plaisir d'enfin découvrir Avonlea !
Anne Shirley, qui a désormais 18 ans, poursuit ses rêves d'études supérieures et d'envolées créatives. Et c'est en compagnie de Gilbert Blythe, Charlie Sloane et Priscilla Grant qu'elle découvre Redmond, l'Université de Kingsport en Nouvelle-Écosse. Au programme : cours, écriture, nouvelles rencontres et surtout, toutes sortes de mésaventures ô combien romantiques. Sans oublier les retours à Green Gables pour se ressourcer, entretenir les vieilles amitiés, garder sur le droit chemin un turbulent petit garçon... et recevoir sa première demande en mariage! Avec toujours autant de style et d'humour, Lucy Maud Montgomery signe de son écriture merveilleuse un charmant trésor littéraire à la fois poétique et tendre sur les joies et les peines du passage à l'âge adulte d'une fascinante jeune fille.
Pendant l'hiver, les écureuils Fauve et Jaune d'or se réveillent affamés, ils partent alors à la recherche des provisions enterrées l'été dernier mais malheureusement, plus aucune trace de leurs noisettes !
Tant pis, les pauvres bêtes rentrent bredouilles et se redorment le ventre vide. À leur réveil, la forêt est magnifique, les perce-neiges ont fleuri et la nature toute entière bourgeonne. Guidés par la faim, Fauve et Jaune d'or s'empiffrent de trèfles et de graines jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus rien avaler ! Mais la nonchalance est de courte durée, le souvenir de la faim l'hiver dernier les a marqués et pas question de se laisser surprendre cette fois-ci ! Mais comment faire ? Un album comme une véritable ode à la nature, où l'on peut lire en filigrane un vrai message de partage.
Après L'oiseau sur la branche, ses cinquante-deux semaines et sa ribambelle d'oiseaux, Anne Crausaz s'intéresse à la diversité des fleurs et à leus techniques de pollinisation. Saviez-vous que l'orchidée sauvage prend l'apparence d'une abeille afin d'attirer les mâles ? Ces derniers, tombés dans le panneau, repartiront déçus mais chargés de pollen, prêts à polliniser d'autres fleurs... Quant au Lys martagor, il diffuse une odeur suave qui attire les sphinx, qui repartiront eux aussi avec leur lot de pollen à partager !
Dans de grandes double-pages, au plus près des fleurs, Anne Crausaz dévoile les stratagèmes ingénieux de la flore.
Je suis un dur à cuire. On me nomme Jack le Borgne. Sur le bateau, il y a toujours du boulot pour moi. Et puis, il y a la mer. Impitoyable. Qui vous embarque dans des aventures... extraordinaires !
Tel un Indiana Jones à quatre pattes, un carlin nous raconte sa vie semée d'embûches et de dangers. Chasseur de rats sur un navire, il est projeté par-dessus bord par une tempête.
Il ne devra son salut qu'à Moby le cachalot. Échoué sur une île peuplée d'éléphants amicaux, notre carlin se distrait un temps avant d'être appelé par une voix mystérieuse. Le voici à New York ! où toujours, on l'appelle ! Mais qui se cache derrière cette voix ? Lily, une petite fille. Sa maîtresse !
Car Jack le Borgne est en fait Poupinou, un petit chien qui se raconte beaucoup mais alors beaucoup d'histoires !
Cette splendeur d'album est une déclaration d'amour d'un grand frère pour son petit frère. Si le bébé qui vient de naître n'est pas encore le compagnon de jeux idéal dont son aîné a tant rêvé, il le sera bientôt. L'enfant projette ainsi, au-dessus du berceau, les grandes aventures qu'ils vivront ensemble, plus tard. Ils se liront des histoires sous les étoiles, feront du vélo et construiront des cabanes. Ils traverseront des jungles, vogueront sur tous les océans du monde et ne s'arrêteront que lorsqu'ils auront atteint la banquise.
Ils seront inséparables, toujours là l'un pour l'autre.
Un texte bouleversant, des illustrations d'une grande tendresse, un livre qui promet de devenir un grand classique parmi les livres de naissance.
Le printemps arrive dans la petite ville. Nous retrouvons la maison, la ferme, la gare, les rues et magasins et surtout les personnages de la série dans un décor printanier.
Mille détails à observer.
Sur la glace : un petit pêcheur. Sous la glace :
Un petit poisson. Tous deux sont très gourmands, déterminés et surtout bien entourés ! Quand le poisson mord à l'hameçon, tous ses amis viennent l'aider.
Le petit pêcheur et ses amis tirent, tirent, tirent sur la ligne. Le poisson et ses amis tirent, tirent, tirent sous l'eau. Ho-hisse... Ouf, c'était moins une !
L'hiver arrive dans la petite ville. Les premiers flocons tombent, Noël se prépare, et malgré le froid, nous retrouvons les personnages familiers de la série, dans des situations à commenter et à imaginer.
Vincent est une petite souris avec des bottes aux pieds, un chapeau sur la tête et une maison sur le dos. Un jour, alors que la tempête se lève, il s'installe sur une colline : il sait toujours quand on a besoin de lui. Peu à peu, une grenouille fatiguée, un chat affamé, et une famille de hérissons tout mouillés se présentent à sa porte sans pour autant oser entrer, tant la maison semble minuscule. Mais Vincent a toujours de la place pour qui en a besoin. Même l'ours, aussi grand et effrayant soit-il !
Un album à hauteur des plus petits qui déjoue tous les préjugés par cette belle métaphore de la maison : le coeur n'est jamais trop petit pour aimer.
Le célèbre cinéaste iranien Abbas Kiarostami était aussi photographe, peintre et poète... Voici une petite pluie de ses gouttes de poésie qui disent aux enfants - et aux plus grands - comment la beauté simple du monde est à saisir. Entre grenades et chevaux, la grande illustratrice iranienne Hoda Hadadi lui offre la liberté de ses couleurs
Joyeuse et hétéroclite,voici une sélectiondes grandes et despetites merveillesdu monde ! Faune, flore,monuments et personnagescélèbres, coutumes, spécialités... Les décors de 64 payssont plantés au travers des 6 000 vignettes qui peuplentcet album foisonnant, à la manière des cartes d'autrefois.
C'est un soir comme les autres pour l'héroïne du nouvel album d'Eduarda Lima ; elle joue avec sa tablette, son père termine de préparer le repas, pendant que sa mère est sur son ordinateur et sa soeur devant la télévision. Mais une panne d'électricité les plonge dans une obscurité totale. Heureusement, la fillette se souvient d'un livre que sa grand-mère leur a offert, une Encyclopédie géographique. À l'aide d'une lampe de poche, elle et sa famille (re)découvrent la diversité et la richesse naturelles de notre planète. Une idée leur vient : et s'il leur était possible de contribuer à la survie des merveilles de la nature ?
Planète verte ? raconte un superbe retour à l'essentiel et révèle ce qui pourrait advenir si nous prenions seulement le temps d'écouter les sonnettes d'alarme.
Petits Mondes, c'est comme un petit poème plein d'images qui en font naître d'autres quand on tourne les pages.
Avec ce tout-carton à découpes, où les mots sont légers, les couleurs joyeuses et les plans serrés, les bébés s'amuseront de voir une chose en dévoiler une autre. Surprise garantie !
Ici, des oreilles de lapin se transforment en feuilles dans les branches, là, le nez d'un chat devient une fleur dans un jardin. Des oreilles, un nez ? Oui, pour entendre le vent, sentir les parfums. Puis une bouche de grenouille pour goûter aux délices, les yeux d'un hibou pour deviner la nuit, et même la main d'un enfant pour caresser l'écorce d'un arbre.
Autant dire... cinq sens comme autant de petits mondes qu'un coeur aimant embrasse tous ensemble en grandissant.
Souples, solides, rampantes, grimpantes, poilues, piquantes, rugueuses, cannelées, dentées, tachetées, il existe une multitude de variétés de mauvaises herbes. Mais pourquoi dit-on qu'elles sont mauvaises ? Cet ouvrage est imprimé de façon écoresponsable sur du papier issu de forêts gérées durablement. Cet album illustré t'entraîne à la découverte de la grande famille des mauvaises herbes. Et tu vas voir, comme tous les êtres vivants, ces plantes jouent un rôle essentiel dans la nature ! À la fin du livre, tu trouveras un petit guide de reconnaissance pour t'aider dans ta cueillette.
Il est né souris.
Mais il se rêve oiseau.
Il essaie de se faire un bec, de battre des pattes pour voler, de chanter comme cette pie, de marcher sur deux pattes comme cet échassier.
Mais rien n'y fait. Il né souriceau et pas oiseau.
Jusqu'au jour où il récupère des plumes dans le vent et clame à la terre entière qu'avec ces plumes, il va enfin devenir oiseau.
Cette agitation attire un rapace qui passait par là et qui emporte délicatement le souriceau dans les airs.
Et voici notre souriceau heureux que le rapace le fasse voler haut, si haut...
Fin heureuse pour les jeunes lecteurs optimistes.
Alors, on fait quoi ? On leur dit ou non que ça peut mal tourner pour le souriceau ?
Et, d'ailleurs, est-ce que les pessimistes ont toujours raison ?
Souriceau ou pas, on a le droit de rêver.
Dans les bois la nuit, tout est noir. Arsène Lapin s'est perdu... Au loin, il perçoit une lueur : c'est une flaque de lumière ! Grâce à elle, le jeune lapin se fabrique une belle boule-lanterne et peut reprendre le chemin de son terrier. Mais en route, que de bruits et de rencontres... D'abord une taupe, puis une buse, puis un renard... S'ils sont d'abord menaçants dans la nuit noire, ils ont en fait besoin d'aide. Arsène partagera sa boule de lumière avec eux.Tant est si bien qu'à la fin, il ne lui restera qu'une petite bille lumineuse, insuffisante pour sortir de la forêt. Mais les paroles d'un vieux lièvre, la dernière rencontre d'Arsène, le réconforteront. Et si le noir de la nuit permettait de mieux percevoir ses parfums ? de rendre tout un peu plus rare et merveilleux ?
Au bout d'un chemin semé d'orties et de mauvaises herbes, il était une ferme.
Elle avait été abandonnée depuis si longtemps que tout y était décrépi et qu'un ours y avait même hiberné au sous-sol. Mais elle était surtout pleine des secrets et des trésors de ses anciens propriétaires et de leurs douze enfants qui y avaient grandi avant de la quitter à leur tour...