De jolis "petits polars" qui ancrent leurs intrigues peut-être pas loin de chez vous...
Pas chers, mais toujours avec la qualité d'écriture garantie Nykta.
Polar à Pont-d'Ain. Sur les autroutes de l'Ain c'est le règne de la mécanique, de la machine. Il y flotte des odeurs qui se mêlent : essence, détergents et fleurs. Un monde où tout est prévu, où donc tout peut arriver. Quand on s'y balade seule, qui peut dire que c'est là précisément le mauvais endroit au mauvais moment, celui qui broye oe
Polar à Romans (Drôme). L'occasion de relire ce fameux Carnaval sanglant de 1850, en nous transportant dans les ruelles sombres et mystérieuses de la vieille ville de Romans.
Polar à Attignat. Dans une Bresse qui paraît tellement placide, des voyous sévissent, qui n'ont pas tous moins de 25 ans. Les cadavres s'accumulent. Quant à l'âge de l'arme du crime, n'en parlons pas...
Il est toujours périlleux pour un éditeur installé en région, qui se veut pourtant non-régionaliste, de publier un texte tel que celui-là.
"Bah, encore un écrit de terroir..." penseront les Doctes. Qu'on les laisse dire et croire. Dès que vous vous plongerez dans ces pages, j'espère que, comme je l'ai fait, vous enverrez valser toutes ces réticences et préjugés. Parce qu'il s'agit bien de littérature telle que je l'entends. Parce que nous avons ici un des plus beaux textes que j'ai jamais parcouru. Un texte venu dire l'amour pour l'être humain, la richesse de l'humanité, les ressources inouïes des modestes et des taiseux, les infinies violences tout comme les indicibles douceurs qui trament leurs existences.
Un texte de conteur, de moraliste, de poète, de biographe et bien davantage. Lorsque j'ai demandé à Pierre de définir son travail, voici ce qu'il m'a répondu : Je sors d'une plongée dans l'altérité de ce musée du quai Branly. J'ai mille masques sur les yeux et mille tambours dans les oreilles. Alors de cette foule à mon silence, de ma propre folie au merveilleux foisonnement du vivant, à cet instant c'est ma langue d'enfance qui me revient en bouche, impérieuse, lancinante, un goût de treuffes et de mâyons...
Comment vous expliquer ? Dans une langue émue, riche, lyrique parfois, Pierre Léger nous empoigne pour nous faire ressentir le vrai d'une vie humaine. L'essentiel qui façonne, comment le paysage, la langue, le travail, la mémoire des anciens peuvent construire des humains. Parfois pour le meilleur.
De jolis "petits polars" qui ancrent leurs intrigues peut-être pas loin de chez vous...
Pas chers, mais toujours avec la qualité d'écriture garantie Nykta.
Pensez, pensez, il en restera toujours quelque chose. Ce n'est pas tout à fait ce que se disait un policier bougon en prenant ses médicaments, et sans savoir qu'un ascenseur s'était justement...
Voilà une histoire policière hors norme, sang flot de sans (ou l'inverse) qui vous balade dans sa fausse simplicité et dans une vraie atmosphère du temps passé, pas si vieux que ça, on y roulait encore en DS et l'argot n'était point verlan.
De jolis "petits polars" qui ancrent leurs intrigues peut-être pas loin de chez vous...
Pas chers, mais toujours avec la qualité d'écriture garantie Nykta.
Un homme parti en errance parmi les îles grecques. Qu'y cherches-tu donc voyageur oe
Ce livre pourrait n'être qu'un simple roman de voyage. Il va plus loin. A suivre son héros d'île en île, d'espoirs en émotions, d'illusions en femmes, une image de la Grèce se dessine, par delà maisons blanches et mers bleues.
Le lecteur, touriste ou non, ne se contentera plus désormais de voyager la Grèce, il pourra la vivre.
Si l'auteur nous propose ce nouveau regard c'est qu'il est lui-même un inconditionnel (amoureux oe) de la Grèce, plus précisément de l'Archipel qu'il parcourt depuis plus de vingt ans.
Un sénateur meurt au cours d'une partie de chasse : accident ? Une maison, en plein bourg, est incendiée par des inconnus : erreur oe
Un polar, oui, mais qu'on ne s'y trompe pas. Il nous a toujours semblé indispensable de publier des livres qui parlent non seulement des Êtres mais aussi du monde où ils vivent.
S'agissant d'ouvrages mêlant politique et fiction, plus ou moins policière, notre démarche est claire : éviter l'anti-parlementarisme (d'une certaine droite) et le simplisme manichéen (d'une certaine gauche gauche).
L'ouvrage doit être au niveau de l'intention. L'auteur propose ici, un roman d'excellente qualité : une intrigue mêlant savamment réalité et fiction, au point que même le lecteur averti en vient à douter, une écriture précise, incisive, voire cruelle, (à nouveau la verve balzacienne !) plus un aperçu quasi entomologique des moeurs politiques, actuelles, provinciales et parisiennes.
Polar à Clamecy. Des Templiers et des rameaux d'olivier ici, au coeur de la Nièvre, un clerc de notaire noyé, de mystérieux manusrits... Qui croira , qui aura seulement envie de croire une gamine et un vieux fou perdu dans ses livres... oe
Polar à St Sauveur-en-Puisaye. Un mystérieux couple découvre deux pages arrachées dans le cahier d'une écolière du début du siècle, une certaine Gabrielle.
Des femmes sont assassinées à Saint-Sauveur. Le docteur Moore et Guy s'interrogent...
Polar au Mont Beuvray. La sieste est parfois un exercice périlleux. Particulièrement sous les hêtres de ce mont que les millénaires ont chargé. Et il n'est point sage de faire revivre des temps oubliés. Ce qui est mort doit mourir à jamais. Malheur à qui le réveille !