« Tu veux l'intensité sans le risque. Tu veux la vie sans la mort. Tu veux le sublime sans la tempête. Tu veux l'amour sans le quotidien. Il y a cinq ans, tu as fui pour aller au-devant de toi-même, pour t'émanciper de tes carcans, et bonne nouvelle, tu as réussi. Mais maintenant, c'est à toi d'inventer une existence qui te convient. Entretenir la douleur est une autre manière de fuir. Il est temps de faire la paix avec tes fantômes et de trouver ton port. ».
Ceci est une épopée. Entre Boston, Vienne, Paris, Genève, São Paulo et New York, Pénélope explore les chemins du possible en organisant des voyages philosophiques. Raconter et découvrir les grandes écoles de la pensée, c'est la meilleure manière de prendre possession de son monde, de vivre, d'agir et de reconstruire.
«Un jour de 1996, alors que je passais près de la cathédrale de Tours, j'aperçus un Café-Internet. Il y avait plusieurs ordinateurs dans le fond (genre Nasa) et pour la somme de 25 francs on pouvait surfer sur Internet pendant une heure. Le patron m'expliqua qu'il fallait choisir un navigateur et que, grâce au système de webcam, on pouvait suivre en direct ce qui se passait ailleurs, et le premier site sur lequel il m'emmena fut celui de l'aquarium de Touraine. Comme je ne voulais pas le contrarier, je laissai faire en prétendant être effectivement impressionné par la couleur des poissons. Je commençais à croire qu'avec ses histoires de poissons et de navigation Internet était le lieu de rendez-vous des amoureux de la mer et du grand large. C'est une époque où on parlait beaucoup des autoroutes de l'information, alors j'étais déçu que pour ma première visite sur Internet le gars m'emmène sur la page d'un site touristique situé à cinq kilomètres de chez moi.»
Le Rouge et le Noir, Madame Bovary, Les Misérables... ces titres semblent gravés dans le marbre, et pourtant, comme toute oeuvre culturelle, ils ont eux aussi essuyé le feu des critiques au moment de leur sortie.Que pensaient les journalistes contemporains de la publication des livres que nous considérons aujourd'hui comme des chefs-d'oeuvre? Chroniques!propose une anthologie de critiques dithyrambiques ou assassines qui éclairent sous un nouveau jour notre perception de cinquante oeuvres incontournables (de Baudelaire, George Sand, Zola, Huysmans...).Richement illustré, Chroniques! est une invitation au voyage, une plongée revigorante dans notre passé qui nous montre que même les plus grands classiques n'ont pas toujours fait l'unanimité lors de leur publication.Textes de Michèle Pedinielli et Pierre Ancery
«Avec le temps, j'ai appris à discrètement et poliment raccourcir ces visites. Je fais maintenant partie de ces gens qui peuvent déclarer moi, mes parents, c'est quatre jours maximum, après je sature.Quelque chose en moi le regrette et en cherche la raison. [...] Je ne sais plus si nous réussirons à faire famille, envers et contre tout, et à être là, un jour, mon frère et moi, pour Claire. Je m'attendais peut-être à ce que ma place de petit dernier m'offre un droit à la légèreté et à l'insouciance.»
Né en 1985 sur l'île de Madère, Cristiano Ronaldo n'était pas destiné à devenir la personnalité la plus médiatisée de la planète. De Lisbonne à Manchester en passant par Madrid et Turin, l'attaquant portugais a dû s'élever au-dessus d'une montagne d'obstacles pour devenir le meilleur buteur de l'histoire du football et l'un des plus grands athlètes de tous les temps.Au travers de neuf interviews exclusives et de moments de vie plus intimes partagés avec l'icône, Thierry Marchand brosse le portrait d'un personnage dont la réussite a depuis longtemps dépassé le cadre du sport. Plus de vingt années d'une carrière passée à tutoyer les sommets, des dizaines de records, de trophées collectifs et de récompenses individuelles, et surtout... cinq Ballons d'Or.
On mange et on boit, parfois beaucoup, dans les romans, mais surtout, la façon dont les personnages s'y restaurent n'est en rien le fruit du hasard. Dans un livre à l'érudition réjouissante, Jean-Baptiste Baronian nous invite à nous mettre à table avec les héros de nos auteurs préférés et à en découvrir bien d'autres. L'occasion d'apprécier différemment les classiques des géants des lettres comme les oeuvres savoureuses d'écrivains parfois oubliés, le tout sous la forme commode d'un dictionnaire qui fait résonner l'histoire de la littérature avec celle de la gastronomie.
L'apocalypse écologique est-elle inéluctable? L'économie mondiale va-t-elle se disloquer? Allons-nous droit vers un effondrement de la civilisation? De plus en plus de gens en sont convaincus, et c'est ce qu'affirment collapsologues et survivalistes.Pourtant, tenter de répondre à ces questions sans verser dans le catastrophisme ni le déni de principe, en les passant au crible de l'analyse prospective, donne des raisons d'espérer. Oui, l'effondrement est possible, mais non, il n'est ni inévitable, ni même probable.Crises économiques, pic pétrolier, raréfaction des ressources, réchauffement climatique:Antoine Buéno livre une évaluation sans équivalent des dangers qui nous menacent et de ce que nous pouvons encore faire pour éviter le pire. Ce faisant, il nous restitue notre capacité à écrire notre avenir.
En 1940, rien ne le prédestine à résister. Ni son statut social, ni son engagement politique, encore moins son positionnement idéologique. C'est un fait, le médecin au début de la guerre est un notable issu de la bourgeoisie; il est plutôt de droite, voire d'extrême droite, et sa sympathie va naturellement à la figure tutélaire du maréchal Pétain dont il diffuse allégrement la propagande.Alors non, rien ne justifie son entrée en résistance. Et pourtant. S'il faut tendre l'oreille pour deviner le son de voix discordantes, elles existent bel et bien. Celles d'hommes et de femmes, grands patrons ou jeunes internes qui, au lendemain de la défaite, vont user du soin, de la science et de leur courage pour sauver des milliers de vies, au péril de la leur.Au gré de leurs récits, de leurs carnets intimes, des témoignages de leurs enfants ou petits-enfants et de ses rencontres avec les derniers survivants, l'auteure livre une histoire inédite, saisissante et incarnée, de ce que fut la Résistance médicale pendant la Seconde Guerre mondiale.
« L'armée, c'est toute mon existence, me l'enlever signifie me tuer à petit feu sans possibilité de remonter la pente. Je n'ai qu'elle, je me considère comme son fils unique. » Pour son premier récit, Denis Brogniart a choisi de raconter une histoire vraie. Le parcours d'un homme pas comme les autres, celui d'un militaire français revenu du Mali, du Kosovo, d'Afghanistan, celui d'un soldat victime d'un syndrome post-traumatique, celui d'un père qui aurait pu n'être qu'un héros.
«La gauche de gouvernement est aujourd'hui orpheline. Elle n'a plus de leader, plus de parti, plus d'idées. Elle est tiraillée entre deux tentations, celle de rejoindre la majorité présidentielle pour y constituer une aile gauche bien faible, et celle de se radicaliser en s'alliant durablement avec l'extrême gauche et les Insoumis. Comment en est-on arrivé là? Qui est responsable? Pouvons-nous nous en sortir? Si oui, comment?»Gaspard Gantzer est de ceux qui font la politique dans le secret des coulisses du pouvoir. Proche camarade d'Emmanuel Macron à l'ENA, très tôt encarté au PS, conseiller de Bertrand Delanoë, de Laurent Fabius et finalement de François Hollande à l'Élysée, il a accompagné et suivi de près la montée en puissance de la gauche de gouvernement dans les années 2000.Dans un récit très personnel, celui qui a toujours été au coeur du système décrypte les causes et les conséquences de la déroute de cette gauche à laquelle, il y a tout juste dix ans, tout semblait pourtant sourire.
C'est l'une des affaires criminelles les plus marquantes de la fin du XX? siècle. Et l'une des plus grandes erreurs judiciaires de ces cinquante dernières années.Le 5 septembre 1994, une famille sarthoise est massacrée à l'arme blanche:Christian Leprince, Brigitte, son épouse, Sandra et Audrey, deux fillettes de 10 et 7 ans. Cinq jours après, épuisé par quarante-six heures de garde à vue, accusé par sa propre femme, Dany Leprince avoue avoir tué son frère Christian.Malgré sa rétractation et l'absence de preuves matérielles, il est condamné en décembre 1997 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux ans.Un comité de soutien est créé, le célèbre Roland Agret dénonce un scandale judiciaire sans précédent, mais rien n'y fait. Une première requête en révision est rejetée en 2011 par la Chambre criminelle de la Cour de cassation.Dany Leprince va passer dix-huit ans en prison.Sa remise en liberté conditionnelle en 2012 lui interdit de s'exprimer pendant dix ans. Aujourd'hui, alors qu'une nouvelle demande de révision de son procès est à l'étude, pour la première fois, il peut parler.Avec une bouleversante sincérité, il raconte l'enfer qu'il a vécu pendant vingt-huit ans, mais, surtout, sa volonté farouche de rester debout jusqu'à ce que son innocence soit reconnue par la justice.
Alors que le débat sur la fin de vie en France se place sur un plan éthique et théorique, ne faudrait-il pas d'abord écouter les premiers concernés? Dans ce bouleversant récit, ce sont les mourants qui ont la parole. Leurs mots sont puissants, profonds, d'une sincérité rare. Ils dépeignent toutes les nuances du rapport de chacun à sa propre finitude, et apportent un éclairage nouveau sur ce sujet encore tabou. Patrice, ancien toxicomane, tient à conserver jusqu'au bout son «droit à pisser tout seul»; Claude, gardien d'immeuble à la retraite, voudrait «mourir sur scène» comme Dalida; André, prêtre, espère quant à lui que «demain, il sera encore temps de vivre».Jour après jour, l'autrice prête aux patients - mais aussi aux soignants et aux familles - une écoute tendre, qui soigne et apaise. Elle nous offre un livre réparateur, qui explore une vérité fondamentale:la mort fait partie de la vie.
Géraldine Schwarz découvre que son grand-père a acheté à bas prix une entreprise en 1938 à un juif qui périt avec les siens à Auschwitz. C'est le point de départ d'une enquête passionnante sur les traces du travail de mémoire au fil de trois générations qui permit aux Allemands de passer d'une dictature à une démocratie. L'occasion pour l'auteure d'aborder les failles mémorielles en France et ailleurs en Europe dans lesquelles s'est engouffrée l'extrême-droite.
Peut-on s'allonger sur le divan d'un psychanalyste quand on est roi, prince he´ritier ou simplement altesse royale? Imagine-t-on un souverain flancher, envoyer valdinguer ses engagements officiels pour confier a` un professionnel de sante´ ses angoisses et ses fantasmes, comme n'importe lequel de ses sujets? A-t-on vu une seule fois Elizabeth II vaciller?Pourtant, les «cas» de Charlène de Monaco, de Diana, de Meghan et Harry, de Masako du Japon - et de tant d'autres - ne sont-ils pas re´ve´lateurs d'un certain malaise? Après tout, Charles III n'est pas sans faille... Et si les familles royales n'e´taient pas si diffe´rentes de nous? Et si elles avaient quelque chose a` nous apprendre sur nous-me^mes? Entre crises de succession et crises de nerfs, pas si simple de garder toute sa te^te quand on porte la couronne.
Elle était la plus belle. Elle a éclipsé toutes les autres. Vadim lui a offert la célébrité, Godard un chef-d'oeuvre, Gunter Sachs sa fortune, Kate Moss et Beauvoir leur admiration. Son énergie fracassante, sa franchise et ses amours tissent sa légende.Elle est avant tout une petite fille mal aimée qui ne tenait pas spécialement à faire du cinéma. Une jeune bourgeoise devenue une star à son corps défendant. À mi-parcours, elle a sabordé sa carrière pour se mettre au service des animaux. Il y a un mystère Bardot. La plus célèbre des Françaises reste une inconnue.Dix ans après sa première édition, l'enquête de Marie-Dominique Lelièvre s'enrichit d'une postface inédite, qui s'attache à brosser le portrait d'une B.B. vivant aujourd'hui quasi recluse dans sa célèbre Madrague à Saint-Tropez. «Elle y retrouve ses amis non humains. Elle se tient bien droite face au ciel, aux étoiles, à la mer, à l'horizon déplié.»
«Oser, pour chacun d'entre nous, ce verbe revêt un sens particulier. Sa signification intime dépend tellement de ce que nous sommes, de nos valeurs, de notre passé, de nos blessures, de nos joies... Mais aussi de ce que nous sommes prêts à risquer, voire à sacrifier.Pour moi, oser signifie:s'engager, braver, entreprendre. M'élancer, sans savoir forcément vers quels carrefours le chemin emprunté me mènera... Garder foi en la vie, toujours. En vieillissant (quarante ans!), j'ai bien sûr gagné en connaissance de moi-même, j'ai mûri, et appris de mes échecs comme de mes réussites.Aujourd'hui, donc, je peux dire que je suis quelqu'un qui ne s'avoue pas facilement vaincu, qui ne se laisse pas abattre, qui tente, qui prend des risques:qui ose.J'ose, car je sais que je suis capable d'aller jusqu'au bout, mais aussi parce que j'ai appris à bifurquer, à changer de route et de stratégie au moment adéquat, si cela s'avère nécessaire. Et ça, c'est l'expérience, la vie qui me l'ont appris, parfois durement.C'est cette expérience humaine et professionnelle que je souhaite partager avec vous.»
«Je n'avais pas compris grand-chose au téléphone quand la directrice de cette association du parc de La Villette m'avait contacté. Ce que je pouvais dire, c'est qu'elle cherchait un journaliste pour animer des ateliers d'éducation aux médias, et comme c'était devenu ma spécialité, je m'étais dit pourquoi pas. J'avais dû lui faire répéter plusieurs fois:c'était pour un stage de TIG.- Vous savez ce qu'est un TIG?- Bien sûr! Enfin, je crois...Moi, Basile de Bure, petit bourge des beaux quartiers, face à une bande de délinquants, potentiels fichés S? L'idée de la remercier poliment m'avait traversé l'esprit, et puis je ne sais pas pourquoi, je m'étais repris. Après tout, j'en étais peut-être capable. Et j'étais trop curieux.»Baya, Kaïs, Ezra, Joey, Gabriel, Julien ou Bakary ont tous été condamnés, pourtant leurs chemins ne se ressemblent guère. Au plus proche de la vérité, Basile de Bure fait le récit de leurs jeunes vies, de la fracture et remue ce que leurs parcours disent de nos peurs, du racisme, de notre aveuglement face à une jeunesse bouc émissaire d'un système incapable de se réformer. La culpabilité, le remords et le droit à l'oubli sont au coeur d'histoires humaines réduites à des faits divers, tandis que l'ombre de la prison et de sa tache indélébile hante ces existences au plus près de la nôtre.
Pour les besoins d'un film qu'il prépare, le réalisateur veut savoir à quoi ressemble le quotidien des chauffeurs de taxi new-yorkais. Il obtient sa licence et, pendant plusieurs mois, devient réellement chauffeur. Il relate ici son expérience.
Comment «faire parler» un cheveu, une goutte de sang, un éclat de peinture, des microalgues, un morceau de dent, des larves de mouche...? Avec passion, ils racontent, expliquent, décryptent. Ils, ce sont les scientifiques de l'IRCGN, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale. Privilège rare, les auteurs ont pu se glisser sous le microscope de ces experts de l'ombre qui, loin de l'image véhiculée par les séries télévisées, aident à identifier un corps, à accumuler des preuves et à établir le scénario d'un crime.En nous replongeant dans le récit de grands faits divers, ils nous invitent à découvrir le pouvoir fascinant de la science dans la résolution d'enquêtes, parfois des années après.
" Il serait évidemment prétentieux d'affirmer que la publication de Finement Con est un acte politique, mais il ne me déplaît pas de montrer que, oui, il est essentiel (un mot devenu dangereux) de continuer à pouvoir rire de tout. Je tiens tout de même à rassurer ceux qui vont se plonger dans cet aide-mémoire et qui s'inquiéteraient pour ma santé mentale : Je ne pense pas tout ce que je ris. " Le nouveau livre de Laurent Ruquier est un savoureux recueil de ses meilleures trouvailles, à la fois drolatiques et irrévérencieuses.
Face à la crise sanitaire, l'humoriste, comme Beaumarchais, a choisi d'en rire plutôt que d'en pleurer.
« On ne saura jamais quel aurait été mon destin sans cette maladie - une méningite bactérienne foudroyante qui a nécessité l'amputation de mes deux bras et mes deux jambes, à l'âge de six ans - mais je n'aurais sans doute pas vécu le quart de ce que j'ai eu la chance de vivre jusqu'à présent.
Je suis Théo Curin, vingt et un ans, amputé des quatre membres, bien dans ma tête, bien dans ma peau ; des rêves complètement fous qui prennent forme. Quand on me demande comment je réagirais si on me rendait bras et jambes, je réponds : «non, merci, je ne saurais qu'en faire !» J'ai des choses à dire et le sentiment d'être écouté, que demander de plus ? »
Vous souvenez-vous de votre dernière promenade? La dernière fois que vous avez pris le temps de marcher, et d'observer ce qui vous entoure?Le sociologue Lucius Burckhardt est l'un des premiers à remarquer, dans les années 1970, que la relation à notre environnement est en pleine mutation. Son intuition alors visionnaire est plus que jamais avérée aujourd'hui, alors que les nouvelles technologies et la crise écologique bousculent notre rapport au dehors.Avec la promenadologie, approche esthétique et sociologique de la promenade, l'auteur entend refonder notre compréhension du paysage et de l'espace urbain, afin d'en saisir la diversité et la beauté. Un livre fondateur qui prend la forme d'une expérience éthique et nous aide à affiner notre regard sur le monde que l'on habite.
« Dans ce pays, les gens se divisent en deux catégories : ceux qui se plaignent et qui attendent toujours quelque chose du Président, et ceux qui veulent devenir Président (comme moi, je suis un mâle alpha). Et je vais vous dévoiler toutes mes propositions pour relever la France. Il y en a un paquet ! » Un vrai-faux livre de campagne électorale par l'hilarant Pablo Mira. Mira Président !
«Le pire, c'était le sentiment d'être pris au piège. La nounou n'en pouvait plus, les amis n'en pouvaient plus, nos parents n'en pouvaient plus, sa soeur n'en pouvait plus. Nous vivions en prison, avec un monstre. On se disait bien qu'il y avait une explication. Mais laquelle? En attendant, on subissait. Les conseils, on les avait tous suivis. Rien n'avait de prise sur Stan. Il n'avait que cinq ans. Il nous détruisait et semblait très malheureux.»Ce récit est le cri d'une mère qui s'est battue pour son fils, et une sonnette d'alarme pour forcer les pouvoirs publics à replacer au coeur du débat la question des pathologies psychiatriques des enfants.À tous les parents désemparés qui ont tout essayé, qui ont cherché, consulté, sans trouver de solution, ce livre est pour vous. Il ne donne pas un diagnostic mais une piste à creuser, trop souvent exclue d'emblée en France:et si mon enfant était bipolaire?