Têtu comme une mule, gai comme un pinson, fort comme un taureau... Un tout-carton avec des flaps pour faire découvrir aux tout-petits quelques expressions françaises avec des animaux.
Quels animaux retrouve-t-on dans les expressions françaises pour décrire certains caractères ou certaines actions ? Pour les découvrir, il faut soulever les flaps. Les tout-petits apprendront ainsi par le jeu du flap qu'on peut marcher comme un canard, être fort comme un boeuf, têtu comme une mule, gai comme un pinson, fier comme un paon ou doux comme un agneau. Un tout-carton malin qui associe les animaux et les caractères, portées par les illustrations simple et colorées d'Olivia Cosneau.
Découvre les maisons incroyables de cet architecte fantasque, et tous le petit monde qui les habite.
Monsieur Anatole est un architecte fantasque à qui une communauté d'animaux a passé des commandes très spéciales : une maison cristal pour Pietro le perroquet, une maison en forme d'animal pour la gerbille, ou encore une maison volante pour Octave l'éléphant. Les maisons sont finies et l'architecte rend visite aux animaux pour voir s'ils sont contents de leur nouvel habitat... Un livre fascinant sur les maisons et l'architecture, qui explore avec malice et fantaisie, les différentes manières d'habiter.
Léon n'a pas faim aujourd'hui. Assis dans la cuisine, devant son bol de soupe de carottes, il refuse de manger. Les carottes, c'est bon pour les lapins, pas pour lui ! Et si c'est vrai que les carottes rendent aimable, alors il n'a pas besoin d'en manger. « Renvoyez-moi cet infame potage en cuisine et ne donnez surtout pas mes compliments au chef ! » déclare Léon pendant que maman est au téléphone. Ici, le client est roi, et Léon réclame un délicieux sandwich avec tout ce qu'il y a dans le frigo : de la pastèque, du fromage, de la tarte aux poires, des cornichons, du chocolat. Quelle créativité ! Léon est complètement repu ! Mais attention, voilà maman qui revient...
Un récit initiatique et fantastique haletant, qui traite de la relation conflictuelle entre un grand-père et son petit fils.
Par une nuit pluvieuse, Antoine est parachuté chez ses grands-parents, qui vivent dans une maison isolée au milieu de la forêt. Coincé entre une grand-mère qui le couve et un grand-père ouvertement hostile à sa présence, le garçon attend désespérément des nouvelles de ses parents. Le temps passe lentement, jusqu'au jour où Antoine accompagne son papy à la cueillette aux champignons...
Les Trompettes de la Mort touche plusieurs cordes sensibles de notre époque, de la relation entre générations à notre rapport bouleversé à la nature. Les antagonismes y prennent corps et les tensions qui en découlent revêtent la forme d'une terrible partie de chasse.
Les trompettes de la mort touche plusieurs cordes sensibles de notre époque, de la relation entre générations à notre rapport bouleversé à la nature. Les antagonismes y prennent corps et les tensions qui en découlent revêtent la forme d'une terrible partie de chasse.
Le grand concert a lieu dans une semaine et tous les membres de l'orchestre sont partis en vacances. Le maestro et son fidèle assistant vont devoir partir à leur recherche aux quatre coins du monde : les violonistes à Tokyo, la harpiste à Porto, les trompettistes à Rio, les flûtistes à Abidjan... Mais dans ces rues bondées et agitées, pas facile de mettre la main sur les musiciens ! Un livre Cherche et Trouve très beau et dépaysant, peuplé des personnages hauts en couleurs.
Cochon a un secret au fond de son coeur. Parfois cela le plonge dans une profonde tristesse, parfois cela le fait virevolter de bonheur...
Cochon vit une vie tranquille et sereine. Il aime cuisiner des cakes aux pommes, se rouler dans la boue, manger des pizzas avec ses copains. Il a la belle vie ! Mais depuis quelques temps, cela ne lui suffit plus ! Il a découvert qu'il a un secret au fond de son coeur, un secret qui peut le remplir d'espoir ou l'entrainer dans une profonde tristesse. Il décide d'en parler à son ami Roger, le lapin. Il lui confie qu'il aime papillon, il l'aime depuis qu'il est chenille, mais il s'est bien documenté : les papillons n'ont rien à voir avec les cochons, alors son amour est impossible. Roger n'est pas d'accord : on ne s'associe pas seulement parce qu'on se ressemble, mais surtout parce qu'on aime les mêmes choses. " Moi, j'aime les pommes " dit Cochon. Et Papillon, qui volait justement par-dessus leurs têtes, de répondre : " Moi aussi, j'aime beaucoup les pommes "...
Il pleut aujourd'hui et Pierre s'ennuie un peu à la maison. Après avoir trier ses pierres précieuses et ranger sa collection d'insectes, il ne sait plus trop comment s'occuper. Il va voir son frère mais celui-ci fait ses devoirs. « Tu peux rester, dit-il à Pierre, mais à condition de ne pas déranger. » Pierre a soudain une idée en voyant tous ces livres et ces cahiers sur le bureau : il va construire le plus grand des châteaux. Mais badaboum ! tous les livres se retrouvent par terre et Pierre est chassé de la chambre. Il file à la cuisine pour aider son papa en train de faire un gâteau. Mais Pierre préfère sculpter un magnifique volcan dans la farine, jusqu'à ce qu'elle explose au visage de papa. Pierre doit trouver un autre compagnon de jeu. Mais avec maman dans la salle de bain, il fait mousser tous les produits, et le chat, au salon, refuse de servir de circuit pour ses petites voitures. Finalement, Pierre va jouer tout seul dans sa chambre, et à son tour, il ne veut pas être dérangé...
Frisounet et Zéphyr ont très faim, et sortent se balader en quêter d'un goûter. Dans la rue, il y en a du monde : des voitures, des passants, des enfants qui jouent... Une fois rassasiés, les deux amis continuent leur promenade au parc puis vers l'observatoire.. Et s'ils embarquaient dans cette fusée pour voir l'espace de plus près. Les voilà maintenant au milieu des planètes et des martiens. Mais un trou noir les aspire et les propulsent dans le futur. Quel drôle d'endroit avec tous ces robots rigolos ! Heureusement, ils trouvent une machine à voyage dans le temps, mais elle les envoie dans le passé, au temps des pharaons et des pyramides. Et ainsi de suite, Zéphyr et Frisounet vont visiter le monde sous-marin, le temps des dinosaures, le mont Olympe ou encore l'univers des contes de fées. Un dernier passage les ramène à la maison, où ils se reposeront de cette journée extraordinaire !
Capitaine Knut n'a peur de rien, et il n'a qu'une passion : le danger. Cette histoire est la plus terrible de ses aventures.
Mon nom est Capitaine Knut et je suis le plus courageux des capitaines. Mon ombre à la noix s'est envolée vers l'île hyper dangereuse de N'importe Quoi ! et je veux la récupérer. Je me lance à sa poursuite avec Django, mon fidèle compagnon à quatre pattes et je vis la plus passionnante de mes aventures. Tu viens avec nous ou tu te dégonfles ?
Loup adore glisser dans sa poche toutes les petites choses qu'il trouve ici et là. Ce sont ses petits trésors secrets. À l'école, il ramasse un lacet, sur la plage un coquillage, au parc des cailloux, dans la forêt une pomme de pin, sur le balcon une plume... Et quand sa poche est remplie, il aime admirer tous ses trésors.
New York comme vous ne l'avez jamais vu ! Loin d'un guide touristique, Julia Wertz nous raconte une histoire illustrée des blocs, des édifices et des entrailles de cette ville qui ne dort jamais. Dans cette bande dessinée originale et très documentée, elle montre l'architecture de la ville et son évolution - les boutiques historiques, les changements des façades et des enseignes -, et nous régale d'anecdotes méconnues de New York, comme celle de l'avorteuse légendaire de la cinquième Avenue, celle de la tueuse en série Lizzie Halliday, la grande prohibition des flippers, ou l'histoire du système de tubes pneumatiques. Porté par le ton et l'humour de Julia Wertz, cet ouvrage atypique - entre BD et documentaire illustré - propose une déambulation unique dans les rues de New York.
C'est l'histoire d'une femme, d'une mère, qui se bat depuis 20 ans contre le cancer du sein. Elle n'en fait qu'à sa tête, et bien qu'elle adore son médecin, ce n'est sûrement pas lui qui va décider pour elle ! En même temps, c'est aussi l'histoire de ses enfants qui sont chamboulés par cette tempête qui souffle depuis bien longtemps. Bref, c'est l'histoire d'une famille qui grandit ensemble entre le Maroc et la France face à la maladie.
Léon est puni car il a traité la voisine de gros dindon. Consigné dans sa chambre, il s'ennuie. De fil en aiguille, il va la retourner de fond en comble, au paroxysme de l'amusement ! L'ennui n'aura pas duré bien longtemps..
L'énorme estomac du loup fait glou-glou. C'est normal, il est complètement vide.
Il a besoin de se rassasier... Sur le plan de travail d'une cuisine, il trouve un gros champignon, sur la nappe d'un pique-nique, une tranche de pastèque, dans un frigidaire, un morceau de gruyère, et sur la table d'un salon de thé, une part de tarte aux myrtilles...
A chaque page, l'enfant s'empare de la pièce détachée, et vient la déposer dans le ventre du loup. À la fin de la lecture, le ventre du loup est rempli de bonnes choses. C'est bon, il n'a plus faim... Un tout-carton original et rigolo, à manipuler, dans lequel le tout-petit lecteur devient acteur de la narration.
Vite ! Une envie pressante ! Lina court aux cabinets mais la porte est fermée. « Occupé ! » crie papa. Direction la salle de bain, mais... « Occupé » crie maman. Plan B : le cabanon du jardin, mais... « Occupé ! » crie le chien. Allons voir plus loin, derrière ce buisson, mais... « Occupé ! » crie le lapin. Là-bas, cet arbre fera l'affaire, mais... « Occupé ! » crie la chouette. Allons jusqu'à la clairière alors, mais... « Occupé ! » crie le cerf. Comment faire ? Les poissons, eux, n'ont pas ces problèmes : ils font où ils veulent, même en nageant. Mais voilà papa qui appelle : ça y est les cabinets sont libres ! Ah enfin ! Mais...
Un livre très rythmé et drôle sur le thème du caca. Les flaps découpés cachent l'intérieur des toilettes, et l'enfant s'amuse à soulever le flap pour découvrir un personnage (humains ou animaux) en train de faire caca. Très astucieux et original sur un thème incontournable pour les enfants.
Un jour, Mona, toi aussi tu quitteras la grande route. Tu prendras seule le petit chemin escarpé. Au coeur du grand bois, tu auras un peu peur. Puis tu traverseras les alpages, tu joueras dans la rivière, tu escaleras les rochers, tu te perdras dans le brouillard.
Enfin, tu feras ta trace dans la neige, jusqu'au sommet...
Un joli tout-carton en forme de leporello, fait d'aplats de couleur et d'un chemin en creux, tracé dans les pages. Il se lit et se déroule de bas en haut et propose une expérience tactile : du doigt, l'enfant suit le tracé dont chaque étape rend compte métaphoriquement des états et des moments de l'enfance : la peur, le jeu, les difficultés, le doute... Au verso du livre, la thématique est reprise sous la forme d'une toise pour que l'enfant puisse se mesurer.
Ding Dong. La cloche enfin l'heure de la récréation. Et dans la cour, chacun à son jeu préféré, mais gare aux accidents : Camille aime jouer aux billes, Anne-Fleur jongle avec les balles de couleurs, mais glisse sur les billes, Badboum ! Marceau est le roi du hulo hoop, il peut en faire tourner plusieurs à la fois, Woop ! Woop ! Quant à Arthur, il fonce sur son skateboard, mais file droit sur la maitresse, chaud devant ! Une galerie de portraits sous des traits d'animaux pour évoquer les jeux de l'enfance et le temps de la récréation.
Marin le macareux n'a pas le moral : demain c'est le jour de la grande migration. À l'école, tous les petits macareux sont excités par l'événement, mais Marin, lui, ne veut pas quitter son île chérie. A contrecoeur, il prépare son baluchon avec son bateau en coquillage, son chapeau, son doudou en filet de pêche et un sandwich aux sardines. Mais sa mère trouve que c'est un bagage bien trop lourd pour voyager. C'en est trop ! Marin ne va tout de même pas abandonner toute sa vie ici ! Alors il quitte la maison, son baluchon sur l'épaule. Il va rendre visite à son amie Pipette, mais elle est déjà partie. Une énorme bourrasque le fait alors tomber à l'eau, pile sur la tête d'un phoque patibulaire qui lui chipe son sandwich. Il croise ensuite un fou de bassan en panique car il a perdu son nid. Et ainsi de suite, Marin se déleste de tout le contenu de son baluchon. Et quand il retrouve finalement sa mère qui le cherchait, il explique : « je disais au revoir à mes amis ! »
Journal de Julie Delporte s'ouvre sur une citation d'Annie Ernaux qui rappelle que l'autobiographie permet de rendre commune à tous les lecteurs une expé-rience intime et personnelle. Julie Delporte y parvient magistralement. À travers son journal, elle raconte l'expérience de la séparation, et réussit à rendre sensible et universelle la fin de son histoire d'amour. Véritable catharsis, elle écrit sa rela-tion à l'autre avec ses crayons de couleurs pour libérer ses doutes et ses an-goisses. Elle transforme ses émotions en pensée «colorée». Chaque page est dessinée comme un haïku, se lit comme un poème où l'auteur trace son histoire sensible. Julie Delporte décrit son histoire d'amour qui se délite peu à peu, son quotidien, seule, avec celui qui manque : ses choix sans lui, ses peurs, la mélan-colie profonde.
À travers ce récit, Journal pose la question de la trace de l'histoire d'amour, le voeu de tout garder en mémoire ou de tout effacer.
L'histoire : pas facile de choisir où et comment construire la cabane de ses rêves, dans laquelle il fera bon habiter... Avant de commencer son projet, Lucile décide de partir chercher des idées autour du monde. C'est ainsi qu'elle rencontre Erik qui vit bien au chaud dans sa cabane de bois dans une fôret de Suède, Ana et son perroquet, hauts perchés dans leur cabane nichée à la cime d'un arbre au Costa Rica, Antonio et sa cabane sur l'eau, Victor et sa cabane de pierre sur les hautes montagnes, l'igloo de Sakari, la petite isba d'Aliocha, la yourte de Gantulga... Riche de toutes ses découvertes, Lucile sait maintenant ce qu'il y aura dans sa cabane : une corde pour y monter, un téléscope, un coffre à trésor, une cheminée, un passage secret, un atlas, une guitare et beaucoup de place pour les amis.
Le loup prend en photo tous ses animaux préférés. Aide-le à réaliser son album avec les pièces à détacher sur chaque page. Résumé : Le loup adore observer et photographier les animaux. Et s'il créait un bel album avec ses animaux préférés ? C'est parti pour un tour du monde animalier : dans la jungle, il prend en photo l'oiseau de paradis, au bord de la mer le crabe, dans la forêt le renard, à la montagne la marmotte, sur la banquise le pingouin, dans la savane l'éléphant, dans l'étang la grenouille et dans le jardin la tortue.
Ca y est, son album photo est complet ! 3e tome de la série, Les animaux de loup reprend le principe d'Une faim de loup et des Vacances du loup : des pièces à détacher sur chaque page que l'enfant vient déposer dans une zone à remplir, ici l'album photo. Les pièces se détachent et s'accrochent facilement grâce à une association de scratch et de feutrine. Un livre malin et singulier : un principe de manipulation que les enfants adorent, un livre objet original et un petit imagier frais et coloré.
Aussi à l'aise sur un VTT, un chopper, un BMX ou un vélo hollandais, Powerpola serpente librement à travers les rues de Bogota, Quito, Cali, Buenos Aires ou Paris, évoquant différents chapitres de sa vie. Dans ce roman graphique émouvant, les vélos ne servent pas seulement à se déplacer dans l'espace : ils nous font voyager dans les souvenirs, marqués par les amours et les amitiés, mais aussi les déceptions et les drames.
Dans ce roman (autobio)graphique, Julia Wertz, auteur de L'attente infinie, raconte l'année où elle a quitté San Francisco pour les rues peu familières de New York. Mais ne vous inquiétez pas, vous ne tenez pas entre les mains le récit typique de la rédemption d'une jeune femme et son glorieux triomphe sur ses malheurs ou je ne sais quelle autre niaiserie. C'est tout simplement un livre hilarant - et parfois poignant - bourré d'humour absurde et d'une bonne dose d'auto-dérision. Case après case, Wertz fait la chronique de quatre appartements douteux, de sept petits boulots horribles, de drames familiaux, de voyages catastrophiques, et de bien trop de bouteilles de whisky pour qu'on puisse en tenir le compte.
Le recueil, inédit en français, des deux premières bandes dessinées de Julia Wertz : The Fart Partry 1 & 2 (La Fête du prout), enrichies de tous les strips qu'elle a dessinés à ses débuts dans la BD. Un ensemble d'histoires très courtes (de 1 à 3 pages, parfois de simples strips de quelques cases), dans lesquelles elle aborde toutes sortes de sujets, existentiels ou du quotidien : sa famille, son enfance, son petit copain, le sexe, l'alcool, la bande dessinée. L'autrice américaine révèle son goût du sarcasme, de l'autodérision et de l'humour trash qui constitue sa signature. Un pavé de plus de 500 pages, hilarant et indispensable, par l'une des autrices de BD contemporaine les plus remarquables.