40 ans de house music à travers ce titre qui a déferlé sur tous les dance floor du monde, depuis mars 1983. Ce ne serait pas drôle si un de premiers titres dédié à la collection seveninches était tout, sauf un 45 Tours. En effet : Blue Monday est un maxi 45 tours (sa taille n'est donc pas de sept pouces, mais de douze...). Le format n'est pas anodin, car c'est un morceau fait pour les discothèques, avec une durée bien plus longue qu'un single (Blue Monday dure 7:31). Comment ce disque, réalisé par des musiciens orphelins de leur chanteur culte de leur précédent groupe ( Joy Division), prolétaires du nord de l'Angleterre ont pu chavirer à ce point les clubs de New York, Ibiza, Berlin, etc. ? Il y a un avant Blue Monday et un après. C'est sur le label indépendant Factory, que le maxi est publié. L'histoire raconte (et c'est vrai !) que le graphiste, Peter Saville, a désiré une fabrication spéciale pour ce disque, qui représente la modernité en illustrant un floppy disc, avec des découpages dans le carton de la pochette... Le disque coûtait plus cher qu'il ne rapportait... C'était donc pour la gloire... Sauf que le label, ne le groupe n'avait prévu de vendre... plus d'un million d'exemplaires du Maxi 45 Tours... ce qui fait de ce Maxi 45 Tours la plus grosse vente de toute l'histoire de l'industrie musicale britannique (80.000 ex en France !).
Avec l'architecture des containers, c'est une architecture qui est aujourd'hui tres "tendance" et en même temps abordable et durable. Ce beau livre en dévoile tous les secrets.
Avec l'architecture de conteneurs, il est question d'une architecture modulaire, préfabriquée, abordable, mobile et durable.
Une forme d'architecture durable qui créé une esthétique très particulière à partir de matériaux recyclés.
Il s'agit d'un procédé de construction basé sur l'assemblage d'éléments modulaires, en l'occurrence des conteneurs utilisés dans le transport maritime et ferroviaire de marchandises. Ils sont robustes, durables, économiques, facilement transportables, adaptables et durables. Leur polyvalence les rend adaptables aux échelles et aux besoins les plus divers : logements individuels et collectifs, centres commerciaux, bureaux, écoles, hôtels, restaurants, abris, laboratoires et oeuvres d'architecture éphémère. Container Architecture présente une sélection de projets originaux réalisés par une trentaine d'architectes internationaux.
Printemps 1983 : le légendaire label londonien Rough Trade publie le premier single d'une formation alors inconnue. Le groupe se nomme The Smiths, la chanson s'intitule " Hand In Glove ". Malgré seulement trois concerts à son actif et quelques mois d'existence, le quatuor mancunien possède déjà tous les atouts pour s'imposer parmi les groupes les plus importants qu'ait connue la pop britannique. Chanson en forme de manifeste, vision artistique totale, sens de l'esthétique époustouflant, section rythmique parfaite, parolier hors pairs, compositeur surdoué, le premier 45 tours des Smiths est un coup de maître. Il représente désormais une borne incontournable dans la grande histoire du rock anglais. Ce livre retrace pas à pas la naissance d'un groupe et d'un single qui devaient changer à tout jamais le monde du rock dit indépendant.
Avec la pandémie, le travail à domicile est devenu pour beaucoup une réalité quotidienne. Ce beau livre présente des aménagements originaux de bureaux à domicile.
Travailler chez soi ou une nouvelle ère s'ouvre avec des bureaux à domicile.
Avec la pandémie de Covid-19, le travail à domicile est devenu la nouvelle normalité pour beaucoup. Si certains disposaient déjà d'un endroit pour travailler à domicile, d'autres ont dû se tailler un nouvel espace dans leur maison pour passer leurs heures de travail.
Les architectes et les décorateurs d'intérieur du monde entier se sont lancés dans l'aménagement de bureaux à domicile, créant des espaces de travail originaux et productifs au sein même des habitations.
Avec une sélection de designs de bureaux à domicile de 30 architectes et designers d'intérieur internationaux, Travailler chez soi révèle la grande variété de styles et les possibilités infinies de cette nouvelle tendance de l'aménagement de la maison qui est là pour durer.
Les espaces des anciennes usines sont souvent caractérisés par leur espace, leurs hauts plafonds, leurs grandes fenêtres et leurs finitions particulières. Des espaces qui font rêver les artistes comme les adeptes de vastes lieux à réhabiliter en lieu de vie. Ce livre d'intérieur vise à transmettre l'atmosphère du style industriel et la façon dont il influence les designs d'intérieur d'aujourd'hui.
Les Sparks, groupe de pop rock de Los Angeles, ont connu leur heure de gloire au début des années soixante-dix, mais pratiquant aussi bien la synth pop que la new wave, ils sont considéré comme une influence majeure pour des groupes d'électro pop tels que Depeche Mode. Et depuis plus de cinquante ans, ils continuent à affoler les foules.
Sparks usine depuis cinquante ans des mélodies pop ou rock, voire électro et classiques. Durant toutes ces années, le groupe a fait preuve d'une vaillance qui lui a permis d'escalader le sommet des charts tout autant qu'affronter les affres de l'insuccès. De l'hymne glam rock This Town Ain't Big Enough For Both Of Us , semant la fièvre en Albion dans les 70's, à Annette, film à la BO couronnée lors de la cérémonie des César 2022, la formation, le duo devrait-on écrire, Ron et Russell Mael étant seuls aux commandes, a toujours cherché à sortir de l'ornière de partitions convenues, à défricher de nouvelles textures musicales.
Sparks - En Compagnie des Frères Mael, propose de revisiter tous les albums du groupe ainsi que leurs travaux d'aiguilles parallèles : compositions pour d'autres artistes, incursions dans le cinéma ou ailleurs. Via sa pléthorique production, voyager au travers des ans avec Sparks c'est savourer d'excellents moments musicaux en profitant de l'humour particulier dont la fratrie est coutumières : a trip over time and space
Au Coeur des années 50, au sortir de deux guerres mondiales, la jeunesse soudain se retrouve et s'émancipe.
Les teenagers surgissent avec leur langage, leurs codes, leurs rites, et surtout leur musique.
Celle-ci s'appelle ROCK'n'ROLL. Elle explose aux confluents du blues, du swing et de la country.
Les adultes la détestent et les amateurs de « bonne » musique -classique comme jazz- la méprisent. C'est une musique qui ne prend pas la tête mais parle au corps. Une musique simple et euphorisante : rythme binaire, trois accords, une batterie, une contrebasse, une guitare, une voix...
Des voix, il y en eut des célèbres -Elvis, Chuck Berry, Gene Vincent, Little Richard, Buddy Holly- et d'autres moins connues même si tout aussi remarquables : Johnny Carroll, Charlie Gracie, Charlie Rich ou Billy Lee Riley. Des voix de femmes également : Wanda Jackson, Brenda Lee, mais encore Janis Martin ou Barbara Pittman...
Nous en avons sélectionné 150 : hommes et femmes, mais encore groupes, instrumentaux comme vocaux : 150 façon de jouer et de chanter ces années de boom économique, de liberté et d'insouciance, d'une jeunesse qui pour la première fois de l'Histoire pouvait affirmer sa « fureur de vivre ».
Scott Walker fait partie du panthéon des chanteurs géniaux mais maudits. Son influence est nettement supérieure au succès populaire, même si les débuts de Scott Walker au sein des faux-frères Walker Brother, ont détrôné, dans les années 60, les Beatles et Rolling Stones avec le tube mondial " The Sun Ain't Gonna Shine Anymore ". Scott Walker, n'a cessé de suivre une voie à part, un chemin exigeant, naviguant entre des reprises de Jacques Brel, des disques rock dépouillés, des textes lumineux. Le livre commence en quelque sorte par la fin : le 22 mars 2019, Scott Walker a 76 ans. François Gorin, doit s'atteler pour son journal Télérama à sa chronique posthume. Comment écrire quelques centaines de signes sur un artiste que l'on vénère au point d'avoir cultivé une obsession aussi radicale que celle qu'a connu François Gorin ? Très vite, l'auteur nous prend la main, et nous amène dans les méandres de son cheminement (pas toujours linéaire) walkérien, en partant de la première écoute d'un disque de Scott Walker, et de ses quêtes à la recherche des disques oubliés introuvables de Scott Walker, à l'époque, totalement sous-estimé. Cette quête non linéaire apporte un grand intérêt dans la lecture de ce livre. Le texte de François Gorin se situe dans une sorte de croisement entre biographie musicale et littérature. Gorin emmène le lecteur dans une quête obsessionnelle d'une oeuvre musicale. Ici, l'auteur tourne autour de Scott Walker, mais cela pourrait être un autre artiste. L'intérêt du livre réside dans la quête : le graal étant remplacé par des disques de Scott Walker. Aujourd'hui, Scott Walker est reconnu par les plus grands musiciens comme étant une influence majeure (David Bowie, Lou Reed, Alain Bashung, Nick Cave, Radiohead, etc.). L'intégralité de son oeuvre, à la différence de la quête qu'a mené François Gorin pendant plusieurs décennies, est disponible sur toutes les plateformes streaming.
Prenons un, deux ou trois tambours. Nommons-les : toms, caisse claire ou grosse caisse.
Prenons une, deux ou trois cymbales. Choisissons les petites, grandes, rivetées ou incurvées.
Ajoutons à cela de la ferraille pour porter ces instruments, des pédales pour occuper nos pieds, un tabouret, quelques paires de baguettes, mailloches ou balais.
L'instrument est là, installé, attendant l'artiste....
Ils seront 150 à s'asseoir derrière la batterie tout au long de ces pages.
150 histoires de musiciens nous parlant de rock'n roll, de blues, de reggae, autant que de jazz ou de salsa.
150 parcours sillonnant le Brésil, l'Afrique, la Louisiane, la France.
La batterie des villes - New York, Paris, La Nouvelle-Orléans - qui rencontre celle des campagnes, des États du Sud américain à ceux du Nordeste brésilien.
La batterie des riches, avec leurs millions d'albums vendus, ou celle des pauvres, aux musiques plus confidentielles. La batterie au masculin, mais aussi au féminin.
Ils seront 150 à se côtoyer à travers ces pages. La plupart ne s'étaient jamais rencontrés avant ce livre, alors que tous racontent à peu près la même histoire : celle d'un enfant qui, un jour, entendant ou voyant une batterie, se dit : « Je veux jouer de cela. » Vous croiserez au fil de ces pages des destins incroyables, des passions que rien n'arrête. Vous suivrez ces artistes dans leurs plus grandes réussites musicales comme dans leurs périodes de vaches maigres, découvrirez leurs vies où tout s'enchaîne sans accroc ou s'obtient à la force des poignets.
150 biographies de batteurs, distingués parmi les centaines de ceux qui auraient pu ou dû figurer dans cet ouvrage. Il a fallu choisir.
André Ceccarelli, Buddy Rich, Art Blakey, Jack de Johnette, Elvin Jones, Brian Blade, Paul Motian, Tony Williams, Manu Katche, Zakir Hussein, Keith Moon, Charlie Watts, John Bonham, Carmine Appice, Phil Collins, Nick Mason et tant d'autres vous attendent.
Alors, 1, 2, 3, 4 : bonne lecture !
Fils du jazz, amant du rock électrique, le jazz-rock doit sa paternité au grand Miles Davis, sans contestation possible. C'est lui qui introduit de la musique amplifiée dans son jazz en pleine mutation à la fin des années 1960, trouvant une résonance dans les mouvements culturels et politiques afro-américains. Il va s'entourer d'une pléiade de jeunes musiciens qui vont à leur tour prendre leur envol et développer leurs propres formules de ce que l'on appelle également le jazz-fusion : John MacLaughlin, Tony Williams, Herbie Hancock, Chick Corea... Cette impulsion poussera par ailleurs toute une génération de vénérables vétérans du post-bop à se laisser tenter par l'expérimentation : Sonny Rollins, Herbie Mann, McCoy Tyner...
Le rock lui-même cherche de nouvelles voies, de nouveaux apports artistiques. Aux Etats-Unis, les musiciens s'intéressent de près au jazz, et en donne leur version du jazz-rock : Chicago, Blood Sweat And Tears, Frank Zappa, Larry Coryell, Tim Buckley... Quant à la musique afro-américaine, elle prend appui sur la musique de Miles Davis et Herbie Hancock pour se tourner vers une extension du jazz-fusion, le jazz-funk, dont Hancock est l'un des pionniers avec ses Headhunters. Ils s'appellent Joe Farrell, Tom Scott, Carlos Santana, John Abercrombie, George Duke... et vont eux aussi alimenter la grande marmite musicale initiée par Miles Davis.
En Grande-Bretagne, la musique de Miles Davis trouve aussi de l'écho, en même temps qu'est toujours ardemment admiré John Coltrane, décédé en 1967. Le rock, le blues et le jazz s'entrecroisent, parfois avec un soupçon de psychédélisme, et vont donner naissance à une scène riche : Nucleus, Soft Machine, Keef Hartley Band, Isotope, Allan Holdsworth, Colosseum... Simultanément, l'Europe suit le mouvement. La France offre Magma, Jean-Luc Ponty... L'Allemagne et la Scandinavie, Terje Rypdal, Jan Akkerman, Kraan...
Le jazz-rock perdure durant toutes les années 1970. Avec le rock progressif, il est le symbole de la liberté d'expression artistique et du bouillonnement créatif de cette époque. Il n'y a pas de limite ni de durée, ni de genre musical. Le public s'enivre d'improvisations électriques, de ces grandes odyssées sonores jouées par Mahavishnu Orchestra, Weather Report, Return To Forever... Une nouvelle génération voit même le jour au milieu des années 1970 aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne : Brand X, Hummingbird, John Scofield, Dixie Dregs, Marcus Miller...
Et puis, alors que le formatage généralisé de la musique mainstream semble toujours limiter un peu plus l'horizon sonore, une nouvelle génération fait à nouveau revivre l'esprit du jazz-rock et sa liberté artistique et intellectuelle : Causa Sui, Kanaan, John Dwyer...
Julien Deléglise a sélectionné 150 noms, musiciens ou groupes, qui auront tous contribué à la grande aventure du jazz-rock, de la fin des années 1960 à aujourd'hui. Chaque entrée bénéficie d'une biographie, et d'une sélection de un à plusieurs disques que l'auteur considère comme essentiels, de manière absolument subjective mais argumentée.
Après des apparitions dans deux films mineurs, c'est en 1983 que Nicolas Cage obtient son premier « vrai » rôle dans Rusty James réalisé par son oncle Francis Ford Coppola, le film révèlera également Matt Dillon et Mickey Rourke. Mais c'est en 1984 que le public découvrira l'énorme talent du comédien avec l'immense Birdy d'Alan Parker.
En presque 50 ans de carrière, Nicolas Cage a tourné avec les plus grands réalisateurs, des frères Coen avec Arizona Junior à David Lynch avec Sailor et Lula en passant par Brian de Palma, Martin Scorsese, Spike Jonze, Ridley Scott ou encore Werner Hertzog pour le polar crépusculaire Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle Orléans.
Nicolas Cage, la folie au tournant est un beau livre richement illustré et découpé en quatre périodes bien distinctes qui retracent la carrière, le talent et la folie de l'acteur qui affiche presque 60 films au compteur.
Ce livre célèbre le travail de 30 studios d'architecture ; les forces influentes singulières sont présentées aux côtés des talents émergents. Certains ont été largement récompensés et publiés.
Ils disposent de bureaux répartis dans le monde entier, qui promeuvent leurs idéaux et leurs visions, et créent des oeuvres qui ont le pouvoir de suggestion et qui inspirent l'émotion. Les architectes participants, à travers leurs oeuvres les plus remarquables, présentent leurs propres positions théoriques, leurs innovations techniques et leurs contributions à la conception du monde bâti. Chacun, à sa manière, s'efforce d'offrir des solutions de conception qui contribuent au progrès et au bien-être des sociétés.
Innover, anticiper les défis futurs et développer des visions à long terme sont quelques-uns des objectifs de conception qui répondent aux idées contemporaines de confort, de convivialité, de durabilité et de qualité. L'année de l'architecture compile une riche variété de ses approches de conception les plus variées possibles.
Un beau livre sur Factory Records un des labels les plus importants des années 80 à qui l'on doit Joy Division et New Order et qui a su se créer une identité visuelle.
De 1978 à 1992, Factory Records fut l'un des plus importants labels discographiques de Grande-Bretagne. On lui doit la mise sur orbite de groupes aussi célèbres que Joy Division, New Order ou les Happy Mondays, la création des hauts lieux légendaires de la vie nocturne mancunienne que furent l'Haçienda et le Dry, mais aussi l'entrée d'un graphisme d'avant-garde dans le monde de la musique. Les langages visuels élaborés pour cette scène musicale hors norme par des graphistes ou des agences tels que Peter Saville, Central Station Design ou 8vo ont profondément marqué toute une génération et continuent d'influencer de nombreux graphistes contemporains. Cet ouvrage est le premier à retracer l'intégralité des créations visuelles de Factory. L'avant-propos, rédigé par l'un des fondateurs du label, le célèbre Tony Wilson, est suivi d'une introduction qui retrace l'histoire de Factory et de ses principaux graphistes qui tous contribuèrent à initier un vaste public au graphisme de qualité. Organisé chronologiquement, la quasi-totalité des créations portant le célèbre numéro de catalogue Factory - pochettes de disque, éditions spéciales, flyers, affiches, papeterie et même projets architecturaux - est illustrée et commentée. Tous ceux qui se passionnent pour le graphisme et tous les fans du cultissime Factory Records ne pourront être que séduits par ce livre qui relate l'une des aventures culturelles les plus extraordinaires du xxe siècle et transmet toute l'énergie, la créativité et l'enthousiasme d'une des maisons de disques les plus dynamiques - et chaotiques - de toute l'histoire de la musique. Factory Records a déjà été publié en France aux Éditions Thames & Hudson en 2006. Il est épuisé depuis près de quinze ans. Il s'agît de sa réédition.
Cette monographie est une introspection du street artiste atypique Arnaud Rabier Nowart, à la fois sculpteur, plasticien, poète et vidéaste. Depuis trois décennies (son premier mur à 17 ans) il produit une oeuvre fascinante, avec Van Gogh au coeur de sa création, véritable moteur de son travail. Associant cubisme et lettrage, les images de ce guerrier moderne, en quête de vérité, foisonnent d'idées, d'expériences et d'audace, qui jamais ne laisseront le spectateur indifférent tant elles sont au coeur de l'humain. « Il n'y a rien de plus beau pour un artiste que d'aimer les gens et vouloir les aider. » Les centaines de portraits de Van Gogh et ses « superflowers » rayonnent dans le monde entier. Il peint des fleurs « symbole universel d'amour et de paix qui apportent du bonheur. » Artiste multi styles à l'énergie atomique, Arnaud Rabier Nowart est un homme libre qui crée selon ses envies, avec des bombes aérosol, des posca, du bois, du plâtre, de la toile, des images en 3 D... Fuyant les mondanités et courbettes de toutes sortes, il est plus à l'aise lorsqu'il peint dans la rue devant les passants et dans son atelier, que lors du vernissage de ses expositions.
Ce livre explore le cheminement de ce génie passionné, devenu l'une des personnalités reconnue dans ce courant artistique moderne et contemporain qu'est le street art.
Un ouvrage magnifiquement illustré d'une centaine de photographies qui permet de découvrir la pulsion créatrice dans toute sa diversité de cet artiste pour qui « L'amour n'est pas un pêché. »
Un beau livre rempli de conseils pratiques pour choisir un style et une ambiance entre habitat moderne et maison ancienne.
Rénover une maison peut être intimidant. Trouver votre style est la première étape pour créer la maison de vos rêves, que vous achetiez un nouveau logement ou que vous conceviez une nouvelle construction. Grâce à des descriptions claires, ce livre vous aide à créer une sensation cohérente avec votre décoration intérieure. Le volume comprend également des informations utiles sur des solutions créatives pour personnaliser votre espace. Avec des centaines de photographies époustouflantes. HOUSE STORIES est une exploration luxuriante de ce qui est possible pour vous et votre maison, quels que soient sa taille et son budget.
Génie inégalable pour les uns, plagiaire sans vergogne pour les autres, après neuf films, tous entre amour, humour et violence, mais toujours avec du vrai cinéma dedans, Quentin Tarantino a créé l'évènement à nouveau à l'été 2019 avec Once Upon a Time in... Hollywood, son film le plus personnel, faussement cool, crépusculaire, impressionnant de maîtrise, et servi par le duo prestigieux Leonardo DiCaprio et Brad Pitt.
En 150 pages richement illustrées, cette véritable bible décortique tous les films et tous les tournages du maestro, de Reservoir Dogs en 1992 à Once Upon a Time, en passant évidemment par les incontournables Django Unchained et Pulp Fiction, pour lequel le réalisateur a obtenu la Palme d'Or en 1994.
Egalement au programme : une interview inédite du cinéaste, les meilleures répliques de ses films, un nombre incalculable d'anecdotes, ce que pensent de lui les critiques et certains « people » en bien ou en mal, et un déroulé en trois parties de sa jeunesse, de ses premières rencontres aux scénarios en or.
Comment définir la new wave ? Un genre musical qui embrasse tellement de notions disparates. Selon l'Encyclopedia Universalis : « Le terme new wave apparaît en Grande-Bretagne vers 1977 pour qualifier un courant musical qui rompt, d'une part, avec l'anarchisme du punk, d'autre part, avec le caractère pompier et technique du rock progressif ou psychédélique des années 1970. On range alors dans cette catégorie new wave l'ensemble des nouveaux artistes qui pratiquent une musique où cohabitent guitares électriques au son tendu et sonorités électroniques, le tout étant accompagné d'une imagerie minimaliste et de textes sombres ou cyniques. » Ce qui est sûr, c'est que la new wave a embarqué sérieusement des millions d'ados, de la fin des années 70, des années 80 jusqu'à nos jours. Le nombre de groupes actuels qui se réclament héritiers de la new wave n'est plus à recenser. Une new wave qui était portée par des groupes comme Depeche Mode, Bauhaus, Spandau Ballet, Duran Duran, Cocteau Twins mais aussi The Smiths et Cure.
Le street art s'exprime aussi bien au-delà des murs (écoles, mairies, piscines, galeries, hôpitaux, prisons ...) que sur des fresques urbaines monumentales. Les oeuvres ont désormais l'honneur d'être présentées dans les musées, de Paris à New York, en passant par Lisbonne, Berlin, Rio de Janeiro, etc.
Alëxone, C215, Combo, Lady K, Lek, Mademoiselle Maurice, Olivia de Bona, Sun7, Popay, Tanc et douze autres génies de l'art urbain, présents dans ce livre, marquent le plus grand mouvement artistique de l'histoire.
Ce livre part à la rencontre de ces acteurs majeurs de l'art du XXIe siècle. Il dévoile les aspirations, les influences, les thèmes, les matériaux, les styles, les techniques et les supports qui les inspirent pour les pousser à l'effort, à la nécessité et, à la joie de peindre. Jalonné de leurs images disséminées à travers le monde, il donne l'occasion de découvrir la verve créatrice d'artistes les plus en vue du moment. Il rend hommage à leur talent, met en lumière la diversité des oeuvres, offre la chance de suivre leur chemin créatif sensible et généreux, permet de saisir le mystère qui agite la main et le corps, suspend le temps, afin de toucher leur âme du bout des doigts.
Entrez dans les coulisses de l'énigmatique inspiration.
Lady K, qui se définie comme writteuse, est considérée comme l'une de figures marquantes dans le monde du street art. De son premier graff sur papier en classe de Cinquième, de la figuration à l'abstraction, Lady K, à la fois belle et rebelle, n'a de cesse de faire évoluer ses oeuvres traversées par la mode, la lettre, la phrase et les formules mathématiques, afin de « s'écarter d'une culture populaire pour parvenir à quelque chose de plus savant. ». Elle entend métamorphoser notre regard sur le monde avec l'espoir de nous enchanter. « Je ne souhaite pas que devant mes oeuvres, le spectateur se sente mal à l'aise, agressé ou inquiété... Je veux au contraire, qu'il se sente protégé et heureux, comme devant un Niki de Saint-Phalle. » Ses messages, tant politiques que poétiques, s'expriment aussi bien sur les murs des villes, que dans les terrains vagues, dans les rames de métro ou sur toile ou papier afin d'être exposés en galerie. Personnage qui aime à se transformer dans des tenues spectaculaires, Lady K se met en scène en filmant ses performances. Ses vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, où on la voit taguer dans les rues en plein jour devant les passants, ou dans le métro parmi les voyageurs, affolent le web.
Cette monographie, qui fait la part belle aux oeuvres picturales, permet de découvrir l'âme, l'esprit et le coeur de cette artiste brillante, prolixe, hors du commun, qui, à mi-chemin de son existence (elle a tout juste la quarantaine), laissera une empreinte considérable dans l'art urbain contemporain.
Certains ont cantonné Lee Hazlewood au rôle de parolier, certes génial, façon Phil Spector, mais sa palette fut nettement plus étendue. Il a aidé Duane Eddy à façonner le son twangy, il a transformé Nancy Sinatra, la sortant des bras de son père pour la transformer en mégastar et a sorti sur son label LHI (un des premiers labels indépendants), ce qui est souvent considéré comme le premier disque de country-rock, par Gram Parsons et The International Submarine Band. Plus de dix ans après sa mort, il a développé un statut d'artiste culte. Sans être connu du grand public, son influence est profonde au-delà de ses collaborations avec Duane Eddy, Gram Parsons et Nancy Sinatra. Une pléthore d'artistes a imité son célèbre baryton (Leonard Cohen, mais aussi Iggy Pop pour ses albums les plus bas de tessiture). Et l'on sait que des artistes tels que Isaac Hayes, Stuart Staples (The Tindersticks), Beck ou Nick Cave, lui ont emprunté son goût pour les orchestrations luxuriantes et les ambiances moites. Indépendamment des succès énormes qu'il a connus avec Nancy Sinatra, ses compositions ont été enregistrées par des artistes aussi divers que Diana Ross and the Supremes, B.B. King, Ella Fitzgerald, Vanilla Fudge, Sun Ra, Einstürzende Neubauten, les Shadows, Ike & Tina Turner, Dusty Springfield ou encore Elvis Presley. Un compositeur qui se cachait sous son chapeau de cowboy, surtout là pour le spectacle, comme c'est souvent le cas pour de nombreux auteurs-compositeurs-interprètes du Texas. L'homme qui le portait était assurément beaucoup plus compliqué.
Le 5 avril 1980 à Athens en Georgie, un groupe donne son premier concert dans une église désaffectée alors qu'il n'a même pas encore de nom. L'alchimie est déjà là et le succès aussi. Acclamés par tout l'auditoire présent, Bill Berry, Peter Buck, Mike Mills et Michael Stipe se disent que cela vaut peut-être le coup de continuer ensemble au delà de cette soirée. Rapidement un nom est trouvé, REM pour Rapid Eye Movement, en français "mouvement oculaire rapide", un phénomène qui se produit pendant la phase de sommeil paradoxal et qui permet à nos rêves d'entrer dans leur phase la plus intense.
Rien ne prédestinait R.E.M à devenir l'un des groupes américains les plus influents, prolifiques et intègres de la fin du XXème siècle. De leurs modestes débuts post-punk à leur statut de phénomène musical mondial dans les années 90, les membres de REM ont constamment dépassé les attentes du public et défié les règles du show business.
31 ans après, le groupe se dissout, laissant derrière lui une discographie riche de 15 albums studio, des tubes planétaires comme la pop song parfaite "Losing My Religion" et la ballade crépusculaire "Everybody Hurts".
L'ouvrage est parsemé de multiples entretiens que l'auteur a eu avec les 4 membres du groupe.
Le minimalisme japonais est devenu une force émergente du design et l'essence de l'esthétique Wabi Sabi, un style qui se cache derrière la nouvelle tendance des « Raw Interiors », le coeur de la décoration traditionnelle japonaise, une beauté simple qui peut résister au temps.
Les designers ont transformé le style traditionnel Wabi Sabi pour créer un style de décoration moderne basé sur le concept d'intérieur brut, des espaces avec les éléments essentiels qui deviennent le style le plus en vogue du moment.
Plus qu'une philosophie, le wabi-sabi est un état d'esprit qui nous invite à nous contenter de peu, à apprécier les imperfections, à faire honneur à l'artisanat et aux savoir-faire ancestraux, Tout droit venu du Japon, le wabi-sabi est un mode de vie qui célèbre l'art de la perfection imparfaite. Entre simplicité, convivialité et spontanéité, il nous encourage à chercher la beauté dans l'inattendu. Etymologiquement parlant, il est né de l'association deux mots japonais : wabi qui signifie simplicité, humilité et vie en harmonie avec la nature et sabi, une référence au passage du temps, à la fugacité, la beauté et l'authenticité de l'âge.
Facilement assimilé, à tort, à l'esthétique du délabré, du brouillon ou du bâclé, le wabi-sabi est bien plus que cela. Il célèbre la beauté au naturel. La perfection n'est pas de ce monde et l'attachement aux objets, au matériel, vain. Ainsi pourrait-on résumer le style wabi-sabi, dérivé du bouddhisme zen. Ce concept est basé sur l'authenticité et la patine du temps d'une part, et la simplicité et le minimalisme, voire le vide, d'autre part. Avec le wabi-sabi, on se contente de peu, on épure son intérieur pour revenir à l'essentiel avec des objets et du mobilier à la fois utiles et pratiques.
Le livre présente une trentaine de projets internationaux, allant de maisons et appartements à des espaces commerciaux, des restaurants et des hôtels, en présentant certains des architectes et des designers d'intérieur les plus influents du monde. Une collection d'intérieurs bruts suivant une approche moderne du style Wabi Sabi.
Pendant un demi-siècle, avec sa voix de baryton, Leonard Cohen aura chanté l'amour et la haine, le sexe et la spiritualité, la guerre et la paix, l'extase et la dépression. Mais aussi et avant tout, la liberté. Liberté d'écrire comme il l'entendait, et liberté de sortir des disques lorsqu'il le voulait. Ou le sentait. Comme on se l'est rappelé grâce au Prix Nobel de Bob Dylan en 2016, les textes de certains chanteurs ont une puissance évocatrice et une poésie unique. Et le génie du Canadien tient à cette intrication entre la performance vocale, les arrangements et les paroles. Tout est inextricablement mêlé. On y trouve un mélange d'humour, d'humilité, de nihilisme, de désespoir et de joie intelligemment articulé par un homme qui avait ce pouvoir unique de tirer toute la poésie des mots, de mettre en lumière nos propres qualités humaines. En fait, Leonard nous a initié à la philo. Il nous a expliqué la beauté et la laideur du monde, et comment faire la part des choses. Et aussi distinguer le bien du mal, car il avait avant tout une belle âme. N'est pas seigneur qui veut.
En quelque dix-huit albums, le Montréalais aura signé une oeuvre définitive, passionnante, riche et foisonnante, à laquelle il est utile - en ces temps où la perspective manque de plus en plus chaque jours -, de replonger. Aussi, redécouvrir ces tranches d'une vie étonnante montre que Leonard Cohen n'était pas le gars le plus sérieux du monde. Et sa discographie le prouve au-delà de toute espérance.