Stanley ahearn a un boulot peinard qui lui rapporte de quoi se payer son whisky et ses virées avec des racoleuses.
Un soir, il rencontre vivienne carnaval dans un bar. elle a des yeux verts comme on en voit peu et n'a pas l'air farouche. a l'issue d'une soirée bien arrosée, stanley la ramène chez elle. il se réveille vingt-quatre heures plus tard dans un sac de couchage, au beau milieu du golden gate park avec une cicatrice au bas du dos. après examen, il se confirme qu'on lui a volé un rein ! la plupart des gens vivent sans problème avec un seul rein, mais pas stanley, qui souffre d'une maladie rénale chronique.
Désormais, son unique obsession sera de retrouver la fille aux yeux verts et les trafiquants qui l'ont mutilé. sans l'aide de l'inspecteur corrigan car stanley entend bien se venger. après injection mortelle, le démon dans ma tête et le chien d'ulysse, prélude à un cri pousse au paroxysme les qualités de jim nisbet : une écriture brillante au service d'une imagination terrifiante et d'un macabre sens de l'humour.
Décidément John Rebus n'est pas fait pour la retraite. Il ne s'intéresse ni aux vacances, ni au bricolage ; être policier, c'est toute sa vie. Alors quand l'inspectrice Siobhan Clarke fait appel à lui, Rebus saute sur l'occasion d'être à nouveau en première ligne.
Son plus vieil ennemi, Big Ger Caffety, a reçu une lettre de menaces et échappé à une tentative de meurtre. Il se trouve que la lettre est identique à celle découverte près du corps d'un juge célèbre, Lord Minton, retrouvé étranglé chez lui le même jour. Profitant de sa relation privilégiée avec Caffety, le caïd d'Édimbourg, et de ses contacts parmi les patrons du crime organisé concurrents, Rebus cherche le lien entre ces deux hommes ainsi qu'une troisième victime, un récent gagnant de la loterie.
Entretemps, Malcolm Fox, du service des Plaintes, a rejoint une opération secrète surveillant une famille de criminels de Glasgow. Leur arrivée à Édimbourg va déstabiliser les rapports de force existants et rendre l'enquête de Rebus encore plus compliquée.
L'homme est un loup pour l'homme, en ville comme dans la nature, et Rebus, Clarke et Fox vont tout mettre en oeuvre pour arrêter ce tueur qui les menace tous.
Traduit de l'anglais par Freddy Michalski
Le docteur Grace Blades, 34 ans, psychiatre, a une belle clientèle, un joli bungalow tout blanc en bordure de plage, deux voitures dont une Aston Martin qu'elle pousse au maximum sur la Pacific Coast Highway, et une sacrée fêlure remontant à l'enfance. Car elle a vécu dans la pièce rouge...
Grace est comme Dr Jekyll et Mr Hyde : brillante thérapeute le jour, prédatrice sexuelle le soir. Sa réputation professionnelle est sans tache, ses compétences incontestées. Mais après ses consultations elle va hanter les bars d'hôtel afin d'y lever ses proies, qu'elle consomme vite fait bien fait avant de les planter là, pour le moins sidérées.
De parfait inconnus, jusqu'au jour où la proie d'un soir se révèle être le nouveau patient du lendemain. Et un cadavre le surlendemain.
Là, pour Grace, les choses se compliquent sérieusement.
Lorsqu'il arrive à san quentin, ronald decker est " jeune et paraît encore plus jeune qu'il ne l'est en réalité ".
Earl copen, lui, y sert sa troisième peine d'emprisonnement. emu par ron, en qui il se retrouve, il lui apprend à survivre dans un lieu où la raison du plus fort est toujours la meilleure, où la haine raciale est exploitée par une administration défaillante et dont la mort paraît la seule issue possible.
Rebus a réintégré la Crim', au grade de sergent, sous l'autorité de l'inspecteur Shiobban Clarke. Une nouvelle loi vient de passer au Parlement : elle autorise le réexamen d'affaires criminelles en levant la durée de la prescription. Une affaire de bavure policière vieille de trente ans est rouverte par Malcom Fox, avec Rebus en ligne de mire. Ses anciens collègues de Summerhall, qui s'appelaient entre eux les Saints de la bible d'ombre, sont soupçonnés d'avoir falsifié des preuves pour innocenter l'un d'entre eux. Au milieu de la tourmente politique qui risque de secouer l'Écosse, qui sont les saints et qui sont les pécheurs ?
Un grand Rebus sur fond de référendum sur l'indépendance de l'Écosse.
Ils sont trois : Ben, docteur en botanique et marketing, Chon, mercenaire féru d'armes sophistiquées, et Ophelia (dite O), une bimbo que l'on aurait tort de prendre pour une idiote. Ce trio à la Jules et Jim produit de l'hydro, un cannabis cultivé hors sol, sans matières organiques. Ils vivent fort bien (sexe, volley-ball, bière et dope) de leur petit commerce à Laguna Beach, Californie du Sud, jusqu'au jour où la reine du Cartel de Baja décide d'éliminer cette concurrence qui fait tache dans son empire. Le trio refuse avec panache l'offre de rachat et la belle vie californienne tourne au cauchemar quand O. est kidnappée. Après ça, le roman devient vraiment méchant. On y retrouve l'humour dévastateur qui est la marque de Winslow, l'esprit de la Nouvelle vague dans les dialogues du trio et la violence implacable propre au trafic de la drogue qui a fait le succès de La Griffe du chien.Traduit de l'américain par Freddy Michalski
Le détective John Rebus ne ressemble à aucun autre. Brillant, irascible, excessif et alcoolique, il arpente les bas-fonds d'Édimbourg depuis plus de vingt ans, obsédé par ses affaires en cours et par cette ville qu'il aime.
La vie entière du détective inspecteur est contenue dans ces nouvelles. De sa jeunesse dans Dead and Buried, où il apprend les ficelles du métier, jusqu'à The Very Last Drop, juste après sa retraite, où pointe le désoeuvrement d'un homme qui n'a rien résolu, malgré son talent pour les enquêtes.
Une introduction parfaite pour les curieux, un must-have pour les amateurs.
Traduit de l'anglais par Freddy Michalski.
« Un polar de première classe et un examen chirurgical de la société écossaise contemporaine. » The Independent
Depuis que l'inspecteur Rebus a pris sa retraite, il végète aux marges de son ancienne vie et travaille comme civil à la résolution d affaires classées non élucidées, frustré de ne plus être en première ligne.Quand un vieux cold case sort du placard à la suite de la disparition d'une jeune femme, il ne résiste pas à la tentation, s'empare du dossier et parvient à récupérer sa place à la crim'. Mais Rebus reste Rebus. Il est toujours aussi buté, dispersé et ingérable, et se met vite tout le monde à dos : son ancienne collègue Siobhan Clarke, son vieil ennemi Ger Cafferty ; et le nouveau patron du crime organisé d'Édimbourg qui cherche à se faire un nom. Ajouté à cette liste, Malcolm Fox, du service des Plaintes, la police des polices, qui compte bien faire tout son possible pour empêcher sa réintégration. Fox est convaincu que Rebus est pourri jusqu'à l'os et à mesure que ce dernier franchit une ligne après l'autre, on se demande si Fox n'a pas raison.Tout ce que veut Rebus, c'est découvrir la vérité sur une série de disparitions qui ont eu lieu dans les années 2000 et qui n'ont apparemment aucun lien entre elles. Personne n'a envie de s'occuper de cette affaire, à commencer par ses co-équipiers. Bien sûr, cela ne va pas empêcher l'inspecteur de s'y frotter, quitte à mettre sa vie et la carrière de ses collègues dans la ligne de mire.Rebus sera t-il capable d'être l'homme qu'il fut par le passé et de rester du bon côté de la loi ?
Ils ont dans les soixante ans à eux trois. Ben le pacifique est docteur en botanique et en marketing. Chon va de temps en temps en Afghanistan et Cie. pour se battre au sein de commandos spéciaux. Quant à O (nom de baptême Ophelia)... Blonde et bimbo, certes, mais aussi rusée et courageuse, elle elle ne sait pas encore lequel elle préfère. Des personnages dont Winslow affirme avoir eu l'idée en regardant les films de la Nouvelle Vague.
Dans ce paradis de la drogue qu'est la Californie du Sud, le trio a trouvé une meilleure façon de gagner de l'argent que de dealer : produire. Leur hydro, un cannabis cultivé hors-sol, a eu un succès fou. Dans Savages, nous avons vu ce que cela a donné. Mais comment ont-ils commencé? C'est ce que raconte Cool, selon le principe maintenant très répandu de la préquelle. Winslow, parle de leurs origines mais aussi - et non sans férocité - de celles de l'Amérique d'aujourd'hui. Comment après les hippies et la contestation des années 70, ont évolué la violence, la corruption, la culture pop, les cartels, les multinationales, la toute puissante industrie pharmaceutique...
« Vous trouverez ci-joint une première mouture de mes nouvelles », écrivait Bunker à son agent. « Je pourrais continuer à travailler et à les rassembler pour en faire un seul gros volume. » Ce gros volume ne verra pas le jour puisque l'auteur est mort avant, mais les récits rassemblés ici sont du pur Bunker. Ainsi du premier, presque un court roman, Justice à Los Angeles 1927 qui met en scène un protagoniste typique de son univers. Booker, un jeune Noir sérieux, employé dans un garage, emprunte la Packard d'un client pour aller rejoindre sa fiancée. Malheureusement, une voiture de police l'emboutit. C'est l'engrenage : arrestation, prison du comté, haute sécurité à San Quentin, rébellion, mitard - son destin est scellé.
Les autres textes, qui font alterner narration à la première et à la troisième personne, s'ils peuvent être lus de manière indépendante, font écho au premier. On y retrouve le même cadre, la prison de San Quentin, surnommé « La Maison de Dracula » par les détenus.
Routine de la détention, couloirs, ouverture et fermeture des grilles, rencontre avec les avocats, violence, mauvais traitements, c'est le quotidien des prisonniers - à la fois morne et chargé de tension - qui nous est donné à voir par un auteur qui a passé luimême 18 ans derrière les barreaux. Des fictions courtes, aussi électriques que ses romans.
Bunker a su comme personne décrire l'atmosphère et les moeurs de l'univers carcéral tout en dénonçant avec une implacable logique l'injustice et l'absurdité de cette « fabrique d'animaux » qu'est la prison. S'y ajoute une réflexion sur le contexte racial et la double injustice dont sont victimes les Noirs, tant au niveau policier que judiciaire. Une réflexion qui n'a rien perdu de son actualité.
« Le père, Quentin Boudreau (...) tenait sur son genou la main de son épouse, une petite Cajun aux cheveux sombres et au visage ravagé. Ils n'ouvrirent pas la bouche, ni elle ni lui, ne serait-ce que pour poser une question, tandis que nous leur expliquions ce qui était arrivé à leur fille, en choisissant nos mots avec soin pour en atténuer la portée. J'aurais préféré les voir exploser de rage et nous hurler des insultes, lancer des remarques racistes, n'importe quoi, en fait, qui m'aurait soulagé du sentiment qui était le mien quand je les regardais bien en face.
Mais ils restèrent dignes et silencieux. Pleins d'humilité, n'exigeant rien de nous, il est probable qu'en cet instant, ils étaient incapables d'entendre l'intégralité de ce qu'on leur disait. »
Le titre de cette onzième aventure de Dave Robicheaux, policier dans la paroisse de New Iberia en Louisiane, fait référence, comme souvent chez Burke, à la musique du Sud - Jolie Blon's Bounce est une chanson de 1946 - et l'un des protagonistes de l'histoire est d'ailleurs un chanteur de blues cajun.
Pour Robicheaux et sa coéquipière Helen Soileau, tout commence par l'une de ces affaires au goût amer où la mort violente d'un enfant cause une tragédie familiale. Une adolescente prénommée Amanda a été tuée de deux balles, violée et abandonnée dans un champ de canne à sucre. Puis une prostituée, fille d'un mafieux local, subit le même sort. Très vite, les soupçons se portent sur un musicien noir, le chanteur de blues Tee Bobby Hulin. Bien que Robicheaux ne le porte pas dans son coeur, il ne croit pas à sa culpabilité.
Il se trouve que l'avocat de Hulin n'est autre que Perry LaSalle, qui appartient à une riche famille de planteurs de New Iberia. Les LaSalle, Robicheaux les connaît, et surtout, il connaît la sinistre réputation de l'homme qui fut leur contremaître : un être sadique nommé Legion Guidry.
Comme dans Sunset Limited et dans Purple Cane Road, Dave Robicheaux va trouver en travers de sa route une incarnation diabolique qui semble avoir le don d'ubiquité et va hanter ses cauchemars. Et peu à peu, son enquête se transforme en duel contre un véritable génie du mal...
Misty Wilmot est une femme frustrée, intelligente et sensible, coincée sur une île défigurée par le tourisme où elle travaille comme une esclave dans un grand hôtel régulièrement vide. Son mari, architecte rencontré dans une école d'art, est dans le coma après ce qui ressemble à un suicide. Plus rien ne tourne rond. L'île, secrète, devient inquiétante, génératrice de psychoses. Pourquoi Peter, avant de vouloir en finir, a-t-il scellé certaines pièces des villas sur lesquelles il travaillait? Comment expliquer les messages haineux qu'il a bombés sur les murs, annonçant la vengeance des habitants de l'île contre les envahisseurs? Pourquoi les autochtones se mettent-ils à regarder Misty bizarrement comme si, subitement, elle était devenue autre, comme une sorte d'ennemie?... Un livre de Palahniuk ne se résume pas, c'est déjanté, subversif, incroyablement lucide.
Malcolm Fox et son équipe des Plaintes - la police des polices en Écosse - sont envoyés dans le comté de Fife pour enquêter sur une affaire a priori assez banale d'abus de pouvoir d'un détective local, Paul Carter. Fox cherche à prouver que ses collègues ont tout fait pour le couvrir pendant des années. Le piment de l'affaire, c'est que c'est l'oncle de Carter, un ancien inspecteur dans le même commissariat, qui l'a dénoncé.
Ce qui s'annonçait comme une simple enquête va se compliquer très vite avec intimidations, dissimulation de preuves et faux témoignages.
L'oncle de Carter est assassiné avec une arme qui a une histoire macabre : elle a servi au suicide d'un homme soupçonné de terrorisme en 1985.
Fox va mener son investigation et se retrouver plongé dans l'histoire politique tourmentée de l'Écosse des années 1980. Ce dont il ne peut se douter, c'est que les réponses qu'il va pêcher dans l'histoire de l'Ecosse le mèneront tout en haut de la hiérarchie politique anglaise et mettront sa vie en danger.
Danny Kestrel, « petit » encadreur de « grandes » oeuvres d'art, fait la connaissance de Renee Knowles au vernissage d'un peintre à la mode. Renee tente « obstinément de ne pas se séparer des 90 centimètres de tissu qui lui tiennent lieu de robe » mais son ivresse provoque un scandale. Devant la gêne des organisateurs, Danny offre de la raccompagner chez elle, c'est-à-dire chez son mari. Renee s'offre à lui, alors qu'il est garé devant sa maison.
Au petit matin, Danny rentre chez lui. Il n'entendra pas le coup de feu qui provoque la mort de Renee.
Dès lors, la vie de Danny part en roue libre. Le mari de Renee désire faire sa connaissance, l'inspecteur Bowditch décide de lui pourrir la vie, le monde « artistique » le bat à froid, des tueurs le kidnappent et le passent à tabac, lui réclamant quelque chose que Renee est censée lui avoir donné. Ce « quelque chose » n'est autre que le « Codex de Syracuse », le récit des aventures du fils de Theodora, l'impératrice de Byzance, ancienne prostituée mariée à l'empereur romain Justinien, marâtre impitoyable, désireuse d'éliminer ce fils dont Justinien ignore l'existence.
Entre le récit du « Codex » et celui des protagonistes de l'histoire s'établissent des parallèles troublants. Pour venir à bout des énigmes du présent, Danny devra d'abord résoudre celles du passé.
Récit picaresque des aventures de Théodora, roman noir moderne sur la vanité des choses et la valeur spirituelle de toute quête, Le Codex de Syracuse se réfère, bien sûr, de façon tout aussi mythique au Faucon maltais. Là encore, c'est l'histoire de « l'étoffe dont sont faits les rêves. » C'est aussi la rencontre du roman noir moderne américain avec le roman épique latino-américain. Autrement dit, quand Jim Nisbet croise Daniel Chavarria.
" De tous les mecs qu'on peut un jour croiser sur sa route, Ernie Stark n'était pas, et de loin, le plus gentil. " Petit arnaqueur avec des rêves de grandeur, gros consommateur de drogue et à l'occasion trafiquant, homme au sang froid, Stark est, en effet, quelqu'un dont il faut se méfier. D'autant plus qu'il a eu la malchance de se faire serrer par le lieutenant Crowley, alors qu'il était en liberté conditionnelle. Il ne pourra plus s'en sortir qu'en sacrifiant son pote hawaïen Momo, un dealer dont il rêverait de prendre la place. Mais même pour un maître de l'embrouille comme Stark, les choses se passent rarement comme prévu...
Stark est un roman qui date de la fin des années soixante ou du début des années soixante-dix. Le manuscrit n'en a été retrouvé qu'après la mort d'Edward Bunker (2005). Comme l'écrit James Ellroy dans sa préface, " c'est un hybride férocement disjoncté de roman pulp noir des années cinquante et de fantasmes de petit voyou. Une oeuvre de jeunesse qui augure de manière prophétique du superbe écrivain que Bunker allait devenir. "
Il y a des affaires qu'on n'oublie jamais.
40 ans après, John Rebus est toujours hanté par la mort de la belle et volage Maria Turquand, étranglée dans sa chambre d'hôtel alors qu'une rock star et son équipe donnaient une fête déchaînée dans la chambre d'à côté. Le tueur n'a jamais été retrouvé.
Pendant ce temps, le coeur noir d'Edimbourg est toujours à prendre. Un jeune prétendant, Darryl Christie, semble en bonne position, mais subit une violente agression qui le met sur la touche, l'affaiblit et le rend vulnérable, d'autant plus qu'une enquête sur une affaire de blanchiment d'argent menace sa place de caïd. Quant à Big Ger Cafferty, est-il vraiment hors course ou prenait-il juste son mal en patience avant de trouver le bon moment pour reprendre le contrôle de l'envers de la ville ?
Jeux de pouvoirs, corruption profondes et rivalités amères sont au coeur de cette nouvelle enquête brûlante où Rankin et Rebus sont au meilleur de leur forme.
Le corps d'un détective privé, porté disparu en 2006, est découvert dans une voiture cachée dans la forêt près d'Edimbourg. Un comble pour sa famille et pour la police locale car cette région avait à priori déjà été fouillée par les officiers à l'époque. L'inspecteur Siobhan Clarke reprend l'enquête et se voit obligée d'examiner les nombreuses erreurs commises par ses prédécesseurs. Les rumeurs d'incompétence et de corruption courent depuis toujours et à présent, plus de dix ans après, il est temps de découvrir la vérité.
Tous les officiers en poste à l'époque sont interrogés et il s'avère que tout le monde a quelque chose à cacher. Même John Rebus...
Chargé de rapporter dans la vallée de Yapchi l'oeil de pierre d'une divinité protectrice, l'ex-inspecteur Shan Tao Yun, « Chinois au coeur pur » et ami des Tibétains, débute son voyage dans de terribles conditions. Le moine qui lui sert de guide est sauvagement assassiné et l'armée chinoise se déploie dans toute la région. Malgré les dangers, Shan et ses deux compagnons, les sages Lokesh et Gendun, se jurent de retrouver les coupables et de ramener la sculpture, symbole d'espoir et de liberté pour tout un peuple. Mais au pays des neiges éternelles, où chaque détour cache un piège ou une révélation, les chemins qui mènent à la vérité sont souvent les plus tortueux...
Danielle Sullivan et sa cadette Gracie - la bimbo chipie et la gentille sérieuse de Piégés dans le Yellowstone -, se volatilisent sur la route alors qu'elles roulaient en direction du Montana pour y retrouver Justin. Ne parvenant pas à les contacter, le garçon s'inquiète et appelle son père, Cody Hoyt. Mais Cody, qui vient de se faire virer de son job et s'est remis à boire après plusieurs mois d'abstinence, n'est pas en état de les rechercher. Son ancien équipier de la police, Cassie Dewell, le convainc cependant de l'accompagner jusqu'à l'endroit, sur l'autoroute, d'où elles ont envoyé leur dernier message. Ils découvrent en chemin que plusieurs disparitions étranges ont été signalées dans la région - parmi des prostituées, il est vrai. Pendant ce temps, King Lizard trace la route au volant de son bahut, en quête de nouvelles proies...