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GABRIELLE ROLIN
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«Enfant, je n'ai jamais su d'où venait ma mère.» Arrivé à l'âge adulte, James McBride interroge celle qui l'a élevé et dont la peau est tellement plus claire que la sienne.
Il découvre l'histoire cachée de Ruth, fille d'un rabbin polonais qui a bravé tous les interdits pour épouser un Noir protestant en 1942. Reniée par sa famille, elle élève James et ses onze frères et soeurs dans la précarité, le chaos et la joie. Pour elle, peu importe la couleur de peau. Seul compte l'avenir de ses enfants. Ils feront des études, et ainsi choisiront leur vie. Tressant leurs souvenirs, James McBride raconte, plein d'amour et de fierté, une femme forte et secrète, lucide et naïve, imperméable aux préjugés : sa mère.
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À onze ans, Nick Hornby pénètre pour la première fois dans Highbury, l'antre du club d'Arsenal, à Londres. Saisi par les clameurs du stade et l'émotion de partager une passion avec son père divorcé et absent, le petit Nick devient pratiquant de ce culte étrange qu'on nomme football. En grandissant, il voit son obsession dévorer peu à peu le reste de sa vie...
Un modèle d'autobiographie doublé d'un livre fin et drôle. Que demander de plus ? Madame Figaro Véritablement hilarant. Même ceux qui haïssent le football se régaleront. Elle -
Une histoire d'amour, le temps d'un été, entre Grady, une jeune fille de la haute société qui décide de ne pas accompagner ses riches parents en Europe et Clyde, un jeune juif mécanicien, sur fond d'Upper east side et de canicule. Une fois les parents partis, les deux jeunes gens passent des semaines d'amour dans l'appartement, avec vue sur Central Park. Lors d'une visite dans la famille de Clyde, Grady apprend que sa soeur récemment décédée n'avait jamais été à l'école car elle avait le coeur fragile et préférait fréquenter les garages du quartier et exercer ses surprenants talents de mécanicienne. Là le roman bascule. Grady prise dans le vertige de l'amour, au mépris des conséquences, se rebelle comme une petite fille gâtée et épouse Clyde. Confrontée à sa famille... L'auteur précipite nos protagonistes d'un coup d'accélérateur impatient du haut du pont de Queensborough à bord d'une décapotable... « C'est une histoire naturaliste, comme, au fond, tous les bons romans. Comme ceux de Fitzgerald. Je me demande si, dans cette jeune fille de la bonne société new-yorkaise se mariant par provocation avec un gardien de parking, ce n'est pas le motif fitzgeraldien, le sentiment découlant du social, qui l'a fait rejeter par Capote. Jusque là, chez lui, et encore dans La Harpe d'herbe, le social n'a aucune importance relativement au sentiment, folle du logis sudiste qui radote avec un génie plus comparable à celui de Tennessee Williams. Et puis, chez Fitzgerald, les femmes sont intelligentes, ou méchantes, ou destructrices, mais décidées, tandis que les hommes sont timides, ou tricheurs, en tout cas fêlés ; le contraire de Capote. » Charles Dantzig
Grand format 13.10 €Indisponible
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En pleine nuit, Nancy discute dans son jardin avec Sam, son voisin, pour fuir le souffle alcoolisé de son mari. Entre deux avions, Les risque une impossible réconciliation avec son père. Lors d'un dîner entre amis, Mel tente vainement de donner une définition de l'amour. Dans une Amérique moderne déchiquetée, une humanité à la dérive s'accroche à une idée fixe : la poursuite du bonheur.
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« Elles incarnaient «la jeune fille américaine», ce que le monde avait réussi de plus parfait » : pour Mrs St. George, ces cinq jeunes filles fraîchement débarquées à Londres sont un ravissement. Mais pour le petit monde étroit de l'aristocratie anglaise, leur pedigree laisse à désirer, et leurs ambitions paraissent bien vulgaires - et puis quelle idée de fumer et de s'exhiber ainsi sans vergogne ? Les « boucanières » n'en ont cure : à elles la belle vie, les bons plaisirs et les beaux partis !
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«Je n'ai jamais visité d'autres pays que celui de la maladie et dans un sens, c'est une expédition qui vous enrichit davantage qu'un long voyage en Europe. C'est aussi un endroit où il n'y a personne qui puisse vous accompagner.» Qu'aurait pu faire Flannery O'Connor sinon écrire ? À vingt-sept ans, l'écrivaine apprend qu'elle est atteinte d'une maladie incurable qui la prive de toute liberté. Ne lui reste alors que l'écriture pour exister. Dans L'habitude d'être, correspondance au long cours, Flannery O'Connor se dévoile entièrement. Qu'elle s'adresse à sa mère, à ses amis, aux écrivains ou aux lecteurs qui l'entourent, l'autrice établit un autoportrait à la fois farfelu et grave. Avec une franchise angoissée et cocasse, Flannery O'Connor s'affiche sous un jour nouveau. À travers ces lettres, le lecteur découvre tout le processus de création d'une des plus grandes autrices sudistes. Sa voix résonne encore depuis là-bas.
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Oeuvres complètes Tome 2 ; parlez-moi d'amour
Raymond Carver
- Editions De L'Olivier
- Litterature Etrangere
- 2 Septembre 2010
- 9782879296609
"J'ai vu pas mal de choses dans ma vie.
Une fois j'allais chez ma mère pour y passer quelques nuits. En arrivant sur le seuil, j'ai jeté un coup d'oeil et je l'ai vue, assise sur le canapé, en train d'embrasser un homme. C'était l'été. La porte était ouverte. La télé était allumée. Voilà une des choses que j'ai vues."