Evocation du mythique musicien de blues Robert Johnson, ainsi qu'un témoignage de première main sur le blues, signé par sa demi-soeur, aujourd'hui âgée de 94 ans. Un document absolument inédit et rare sur "le guitariste qui avait signé un pacte avec le Diable".
La nouvelle série de Stine dans la lignée des Chair de Poule !
Ray Gordon et les cinq autres héros des dernières aventures se retrouvent à Horrorland, dans la boutique de farces et attrapes de Jonathan Lépouvanteur. Ils ont tous un point en commun : ils ont, dans le passé, acheté à crédit un objet-souvenir, qui leur a joué de vilains tours. Jonathan leur rappelle qu'il est temps maintenant pour eux de régler leur dette. Pour cela, ils vont devoir participer à un jeu. S'ils gagnent, ils pourront retourner chez eux. S'ils perdent... Les règles sont simples : il suffit de chercher des petites peluches d'Horreurs cachées un peu partout dans le parc d'attractions. De plus, Jonathan leur apprend que quelques-uns de ses amis et lui-même ont prévu d'organiser une partie de chasse. dont ils seront les cibles !
Du country blues du Deep South à la naissance du rock du côté de Memphis, des champs de coton aux studios Chess de Chicago, Peter Guralnick a rencontré, parfois peu de temps avant leur disparition, ces illustres pionniers (Muddy Waters, Howlin' Wolf, Jerry Lee Lewis) et ces perdants magnifiques (Skip James, Robert Pete Williams, Charlie Rich) qui ont écrit quelques-unes des plus belles pages de la musique populaire américaine.
Publié pour la première fois aux Etats-Unis en 1971, inédit jusqu'à aujourd'hui en France, Feel Like Going Home est aujourd'hui considéré comme un document exceptionnel et un incontournable classique qui inaugure une nouvelle façon d'écrire sur la musique. Comme un livre intense et émouvant qui ne donne qu'une envie : se plonger dans les enregistrements avec des oreilles neuves. Comme un livre culte absolument intemporel enfin, signé d'un des deux ou trois plus grands écrivains spécialisés dans la culture musicale américaine.
"Biographe exceptionnel, l'un des plus grands historiens de la musique populaire américaine s'est toujours défini comme un érudit de terrain. Voici enfin, en français, son petit chef-d'oeuvre sur les chemins du blues et du early rock." (Rolling Stone).
"Le tout se lit d'une traite (...). Personne ne sait conter la musique comme Peter Guralnick." (Les Inrockuptibles).
"De loin le meilleur livre sur le sujet." (Politis).
Ce livre n'est pas une étude, une enquête, ni l'exposé d'un intellectuel sur la réalité ouvrière. C'est un témoignage, celui de Tommaso Di Ciaula. Ouvrier lui-même, petit-fils de paysans, il vit et travaille près de Bari en Italie du Sud - mais là ou ici, n'est-ce pas la même histoire ? -, enfile tous les jours son bleu, fait ses huit heures, écrit le soir après l'usine, de toutes ses forces, avec la volonté de "donner la parole à des siècles de silence de la classe ouvrière".
Dans Tuta Blu, Di Ciaula nous livre avec une franchise extraordinaire le quotidien de sa vie : la crasse de l'usine, les gestes du travail, ses rêves, un dimanche qui n'en finit pas, l'abrutissement, un "casse-couilles" de contremaître, l'ennui et la fatigue surtout - les ecchymoses, les plaies, les accidents du travail. Ce que son bleu résume, il le voit du côté du Sud. Un Sud campagnard déjà recroquevillé et meurtri, soumis aux lacérations industrielles, mais qui subsiste en lui, revit et l'assaille de souvenirs, d'une foule de sensations violentes et intimes.
Tuta Blu est un livre "sudiste" et subversif, poétique et politique, violent et tendre, terriblement vrai.
Londres. Fin de la deuxième guerre mondiale. Tout est à reconstruire. Et tout semble désormais possible. Dans les ruines encore fumantes laissées par le Blitz, écrivains excentriques, peintres bohêmes et artistes fêtards définissent alors les contours d'une avant-garde créative et libertaire, en pleine ébullition. Des premiers clubs du West End aux boutiques branchées de Carnaby Street, des Teddy Boys en cuir noir des fifties aux nouveaux romantiques des années 80, des premiers magazines de la Free Press aux fanzines punks, des light shows de Pink Floyd à l'UFO aux performances de Throbbing Gristle, Londres va s'imposer durant près de quarante ans comme la capitale d'une foisonnante et bruyante contre-culture.
Quelques années après Feel Like Going Home, son premier livre, Peter Guralnick repart à la rencontre de la musique populaire américaine, sur les routes du blues, de la country et du rockabilly. Des géants du country & western comme Ernest Tubb, Hank Snow, Waylon Jennings ou Hank Williams Jr aux premières légendes du rock'n'roll (Elvis Presley, Scotty Moore, Merle Haggard, Sleepy LaBeef ou le patron des studios Sun Sam Phillips), en passant par quelques bluesmen des clubs de Chicago, aujourd'hui tous disparus, Peter Guralnick dresse une série de portraits exceptionnels des grandes figures et des obscurs héros du genre. Evoque avec passion leurs succès, leurs galères, leurs naufrages. Restitue toute l'âpreté et parfois même toute la tragédie de vies souvent passées sur les routes, de club en club, de concert en concert, de rêve en illusion perdue.
Lost Highway, deuxième volet d'un diptyque entamé en 1971 avec Feel Like Going Home (déjà disponible chez Rivages Rouge) constitue un document absolument unique sur la culture musicale américaine. Un livre intemporel et rare, aujourd'hui unanimement considéré comme un classique. Un livre culte, jusque-là inédit en France.
Co-fondateur et rédacteur en chef de Oz, un des permiers magazines underground, l'Australien Richard Neville se retrouve à Londres, au coeur du cyclone, durant les années soixante. Hippie Hippie Shake retrace avec candeur et humour cette flamboyante épopée.
De Lenny Bruce à John Lennon et Yoko Ono, en passant par Germaine Greer, Abbie Hoffman, Jerry Rubin, Robert Crumb, Mick Jagger, Pete Townsend, Pink Floyd, John Peel, Tiny Tim, Jimi Hendrix, Eric Clapton ou Charles Shaar Murray, des rayons bariolés du magazin Biba aux light shows de l'UFO, du concert des Rolling Stones à Hyde Park au festival de l'île de Wright de Sydney à Katmandou, de Londres à Tanger... ce livre émouvant raconte les rêves de toute une génération de changer le monde et le combat acharné d'une "free press" décidée à lutter contre toutes les censures de l'époque. Une chronique haute en couleurs des folles sixties.
Un grand livre d'histoire... et de musique.
En 1939, « Strange Fruit », violente charge contre le racisme sur fond de jazz crépusculaire, annonce la naissance de la « protest song » moderne. Cinq ans plus tard, Woody Guthrie radicalise le folk en faisant de « This Land Is Your Land » un hymne pour les victimes d'un pays en crise... La chanson pop devient la bande-son d'une histoire en marche, accompagne les luttes sociales et parfois même inspire les changements. Cette ambitieuse fresque en deux volumes, truffée de témoignages et d'anecdotes, raconte ce lien à la fois puissant et complexe entre des chansons emblématiques, souvent passées dans la légende, et les grands moments qui ont jalonnés l'histoire contemporaine.
New York, septembre 1963 : Andy Warhol, une caméra Bolex en bandoulière, s'embarque dans un break Falcon à travers l'Amérique avec l'acteur Taylor Mead, le poète Gerard Malanga, et l'artiste Wynn Chamberlain. Direction Los Angeles, où l'attendent une exposition de ses sérigraphies à la Ferus Gallery et, surtout, une « soirée de star de cinéma » organisée en son honneur par Dennis Hopper et sa femme Brooke Hayward. Sur la mythique Route 66, tout en écoutant « Be My Baby » des Ronettes ou « Sally Go 'Round the Roses » des Jaynetts, le peintre découvre alors un diaporama pop de panneaux publicitaires, d'enseignes de néon, de motels et de diners à l'architecture Streamline Moderne, avant de débarquer Hollywood, d'y croiser son idole Marcel Duchamp, et d'y tourner un délirant film underground Tarzan and Jane Regained . . . Sort Of, qui l'imposera quelques temps après comme un maître du genre.
Une cinquantaine d'années plus tard, la romancière et biographe Deborah Davis a refait, pour les besoins de ce document exceptionnel, la route exacte qu'Andy Warhol a arpenté lors de ce road trip haut en couleurs et évoque, à travers cet épisode méconnu (et pourtant fondateur) de la vie de l'artiste, cette Amérique pop des Campbell's Soup et du Coca Cola qui irrigue l'ensemble de son oeuvre. Get your kicks on Route 66 !
« Un livre attrayant et original, gorgé d'un enthousiasme qui aurait ravi l'intéressé. » Washington Post
Ce livre n'est pas une étude, une enquête, ni l'exposé d'un intellectuel sur la réalité ouvrière.
C'est un témoignage, celui de Tommaso Di Ciaula. Ouvrier lui-même, petit-fils de paysans, il vit et travaille près de Bari (Italie du Sud - mais là ou ici, n'est-ce pas la même histoire ?), enfile tous les jours son bleu, fait ses huit heures, écrit le soir après l'usine, de toutes ses forces, avec la volonté de " donner la parole à des siècles de silence de la classe ouvrière ". Dans " Tuta blu ", Di Ciaula nous livre avec une franchise extraordinaire le quotidien de sa vie : la crasse de l'usine, les gestes du travail, ses rêves, un dimanche qui n'en finit pas, l'abrutissement, un " casse-couilles " de contremaître, l'ennui et la fatigue surtout - les ecchymoses, les plaies, les accidents du travail.
Ce que son bleu résume, il le voit du côté du Sud. Un Sud campagnard déjà recroquevillé et meurtri, soumis aux lacérations industrielles, mais qui subsiste en lui, revit et l'assaille de souvenirs, d'une foule de sensations violentes et intimes. " Tuta blu " est un livre " sudiste " et subversif, poétique et politique, violent et tendre, terriblement vrai.
Au crépuscule des années 60, quatre Anglais font trembler les fondations du rock et entament une monstrueuse et bruyante guerre éclair à la conquête de la planète. Durant une bonne partie de la décennie suivante, Led Zeppelin va s'imposer - grâce à de furieux hymnes sur-amplifiés et de longues ballades acoustiques - comme le plus grand groupe du monde. Devant les Rolling Stones. Devant tout le monde. Cette monumentale histoire orale raconte une longue saga aux allures de tragédie, marquée par de nombreux chefs-d'oeuvre, mais aussi entachée par des drames, des scandales et des excès en tous genres.
Pour écrire ce livre unique, le journaliste Barney Hoskyns a réalisé, réuni et assemblé des centaines d'heures d'interviews inédites avec tous les protagonistes de cette folle aventure.
Des musiciens (Jimmy Page, Robert Plant, John Paul Jones, Jeff Beck, Rod Stewart, Donovan, etc.). Des journalistes (Nick Kent, Chris Welch). Des managers (l'incontournable Peter Grant en tête), des responsables de maisons de disques (dont Ahmet Ertegun, patron d'Atlantic), des producteurs, des roadies, des groupies et des proches. Un travail pharaonique pour un groupe... tout aussi énorme !
Ce livre destiné aux apprenants de tous niveaux présente 22 histoires traditionnelles chinoises accompagnées des proverbes sur lesquels elles sont fondées. Les versions chinoise et française des textes sont présentées en regard. Chaque histoire comprend une explication de la façon dont le proverbe est utilisé aujourd'hui, des notes culturelles et littéraires, du vocabulaire et des questions d'entraînement pour améliorer compréhension et prononciation. Des enregistrements audio des contes lus par des locuteurs natifs sont disponibles en téléchargement. Avec 25 dessins au trait dans le style traditionnel chinois.
Une comédie romantique lycéenne qui traite avec humour et délicatesse de l'amour entre 2 femmes sans jamais tomber dans la vulgarité. Suivez la vie trépidante de Sumika et Kazama à la découverte de l'amour et de la sexualité.
Formidable plongée dans les riches heures de la culture underground.
Londres. Fin de la deuxième guerre mondiale. Tout est à reconstruire. Et tout semble désormais possible. Dans les ruines encore fumantes laissées par le Blitz, écrivains excentriques, peintres bohêmes et artistes fêtards définissent alors les contours d'une avant-garde créative et libertaire, en pleine ébullition. Des premiers clubs du West End aux boutiques branchées de Carnaby Street, des Teddy Boys en cuir noir des fifties aux nouveaux romantiques des années 80, des premiers magazines de la Free Press aux fanzines punks, des light shows de Pink Floyd à l'UFO aux performances de Throbbing Gristle, Londres va s'imposer durant près de quarante ans comme la capitale d'une foisonnante et bruyante contre-culture.
Ce livre de référence, extrêmement documenté, où l'on croise Francis Bacon, Lucian Freud, Colin McInnes, Ronnie Scott, Mary Quant, Syd Barrett, John Lennon, William Burroughs, David Hockney, Soft Machine, Pete Townshend, Mick Jagger, David Cooper, Gilbert et George, les Sex Pistols, Clash, Michael Moorcock, J.G. Ballard ou Boy George, raconte cette folle aventure, et témoigne non seulement de l'immense énergie d'une époque, mais aussi de l'incroyable vitalité de son épicentre, Londres.
Du country blues du Deep South à la naissance du rock du côté de Memphis, des champs de coton aux studios Chess de Chicago, Peter Guralnick a rencontré, parfois peu de temps avant leur disparition, ces illustres pionniers (Muddy Waters, Howlin' Wolf, Jerry Lee Lewis) et ces perdants magnifiques (Skip James, Robert Pete Williams, Charlie Rich) qui ont écrit quelques-unes des plus belles pages de la musique populaire américaine.
Publié pour la première fois aux Etats-Unis en 1971, inédit jusqu'à aujourd'hui en France, Feel Like Going Home est désormais considéré comme un document exceptionnel et un incontournable classique qui inaugure une nouvelle façon d'écrire sur la musique. Comme un livre intense et émouvant qui ne donne qu'une envie : se plonger dans les enregistrements avec des oreilles neuves. Comme un livre culte absolument intemporel enfin, signé d'un des deux ou trois plus grands écrivains spécialisés dans la culture musicale américaine.
Angleterre, début des sixties. Les rues des grandes villes comme les plages de Brighton sont divisées en deux camps. D'un côté les rockers, engoncés dans leurs blousons de motards. De l'autre les mods, jeunes et élégants rebelles en costumes italiens ou en parkas, au guidon d'agiles Vespas ou Lambrettas. Deux façons de voir le monde.Plus qu'un simple phénomène, les Mods affichent un vrai style de vie, avec ses codes vestimentaires, ses références triées sur le volet (La Nouvelle Vague, le cool jazz, le rhythm & blues, la musique jamaïcaine et la soul de Motown), ses clubs (comme The Scene à Soho), ses drogues (des cocktails d'amphétamines) et très vite ses groupes fétiches (Small Faces et Who en tête) pour s'imposer comme un des mouvements culturels majeurs de la jeunesse anglaise.Cette précieuse et très complète anthologie réalisée par Paolo Hewitt, sans doute le plus grand spécialiste du genre, offre - à travers une collection de textes rares, souvent signés d'auteurs et de critiques prestigieux (Nik Cohn, Tom Wolfe, Richard Barnes, Colin McInnes.) - une plongée exceptionnelle dans un mouvement qui depuis, avec The Jam ou les disques solo de Paul Weller, n'en finit plus de lever de nouveaux commandos.Un livre de référence, jusqu'ici inédit en France.« Pour moi, les Mods incarnaient la révolution. Ils étaient un groupe révolutionnaire, comme les Vietcongs. Ils n'ont jamais capitulé. Ils ont toujours combattu, bien que très minoritaires, la puissante forteresse de l'armada américaine ».Pete Meaden (premier manager des Who).« Sapés de la tête aux pieds avec un soin proche de l'obsession et un luxe de détails, les mods étaient des oeuvres d'art enveloppées de mohair. Ils ne vivaient que pour les habits, la musique et la fête. Ils écoutaient la meilleure musique, dansaient les meilleures danses et ont participé à la transformation de la vie culturelle britannique.Ils venaient de la classe ouvrière, mais avaient toujours l'air de milords. Leur mode de vie (les disques rares, la perfection vestimentaire et les clubs underground) exigeait de l'argent et une dévotion absolue (.) Avant eux, aucun autre mouvement de jeunes n'a connu cette aspiration totale à la grandeur ».Paolo Hewitt
" La Soul, disait Ray Charles, c'est comme l'électricité. On ne sait pas vraiment ce que c'est, mais sa force peut éclairer une pièce ". Ce livre monumental, devenu depuis bien longtemps " culte ", retrace l'histoire de cette musique, à travers ceux qui l'ont écrite, à travers ceux qui l'ont chantée. De Detroit à Memphis, de New York à Cincinnati, en passant par Chicago, Muscle Shoals et la Nouvelle-Orléans, Gerri Hirshey a inlassablement arpenté les routes de la Soul et du Rhythm & Blues à la rencontre de ses plus grandes légendes.
Et de Stevie Wonder à Marvin Gaye, de Diana Ross à Ben E. King, des Four Tops à Michael Jackson, de James Brown à Wilson Pickett, en passant par Isaac Hayes, Aretha Franklin ou Screamin' Jay Hawkins, Gerri Hirshey les a tous rencontrés !
À travers leurs témoignages (d'autant plus précieux que la plupart de ces immenses artistes ont aujourd'hui disparus), à travers leurs confidences et leurs anecdotes, Nowhere To Run (titre d'un célèbre tube de Martha Reeves & The Vandellas) raconte en détails et " de l'intérieur " cette fantastique odyssée musicale, qui devait illuminer les Sixties et marquer à jamais l'histoire de la musique.
Le remake d'un film d'horreur vire au cauchemar !
Claire et son amie Délia, qui rêvent de devenir actrice, sont toutes deux embauchées par le père de Claire dont le projet est de tourner le remake d'un film d'horreur des années 1960, resté inachevé après le décès de trois acteurs pendant le tournage.
En parallèle, Claire prépare sa fête d'anniversaire dans les studios de son père, sur le thème de la pièce de Shakespeare, « le songe d'une nuit d'été ». Avec son amie, elle va intriguer pour influencer en leur faveur les sentiments de deux garçons.
Claire est amoureuse de Jake qui n'a d'yeux que pour Delia follement éprise de Shawn sous le charme de Claire ! Lorsque le tournage commence, il prend très vite une tournure catastrophique : l'actrice qui a repris le rôle de la première comédienne, décédée, se fait trancher le bras dans des conditions similaires, et ce n'est qu'un début...
Cet ouvrage propose 300 des plus beaux dessins d'architecture des XXe et XXIe siècles, sortis de la main des grands créateurs ou, sous leur direction des bureaux de leur agence, tels Mackintosh, Loos, Frank Lloyd Wright, Mies van der Rohe, Le Corbusier, Norman Foster, Richard Meier, Richard Meier, Oscar Niemeyer, Mario Botta ou Zaha Hadid. Cette sélection sur un siècle constitue à la fois une histoire du genre et une approche de la création architecturale de notre époque qui a connu en cent ans une effervescence inégalée depuis les origines de la discipline, grâce notamment aux mutations de la technique et de l'urbanisme. L'ouvrage est divisé en 5 sections chronologiques précédées chacune d'un essai qui identifie les tendances et les innovations particulières à l'époque. Chaque dessin fait l'objet d'un commentaire sur l'architecte, le projet représenté et la qualité graphique de la feuille. Les chefs d'oeuvre du dessin d'architecture à l'âge moderne de Guimard à Zaha Hadid : un beau livre d'art à l'usage des étudiants, des professionnels et du public intéressé. Les grands noms de l'architecture dans l'intimité de leur travail de création.