Jade et Vicky sont inséparables.
Aussi, lorsque Vicky est renversée par une voiture, Jade ne peut pas croire que sa meilleure amie ait réellement disparu. Ne continue-t-elle pas à la voir de tous côtés, chez elle comme au collège? Fantôme, ange ou démon, Vicky n'a pas l'intention de se faire oublier si vite. Jade se sent de plus en plus habitée par elle, mais cette présence, d'abord source de réconfort, devient vite envahissante.
On me surnomme Avril Fontaine, parce que je pleure... comme une fontaine. C'est déjà mieux que Poisson d'avril, parce que je suis née le 1er avril... et, en tous cas, c'est beaucoup, beaucoup mieux que bébé-poubelle, parce qu'on m'a trouvée dans une poubelle. Aujourd'hui, j'ai quatorze ans et j'aimerais comprendre. Comprendre d'où je viens, qui je suis et qui est ma vraie famille.
Pétunia, pour moi, c'est la plus belle des mamans.
Elle est couverte de tatouages de la tête aux pieds. Les gens trouvent qu'elle a un grain, et même ma grande soeur est furieuse quand maman oublie le dîner ou ne paie pas les factures. Mais je sais qu'elle nous aime. S'il lui arrive de ne pas rentrer de la nuit, ce n'est pas parce qu'elle nous laisse tomber. Mais j'aimerais mieux qu'elle ne recommence pas. Ca fait si peur...
Au début des années 1990, Donald Trump défraie la chronique. Après son ascension fulgurante décrite dans Trump par Trump (L'Archipel, 2017), le promoteur milliardaire est attaqué de toutes parts. Les nuages s'accumulent sur son empire et son divorce lui coûte une fortune.
Alors que les médias prédisent sa chute prochaine, il répond à ses détracteurs, annonce la construction du plus grand gratte-ciel du monde, raconte l'achat du mythique hôtel Plaza, de son yacht, le Trump Princess... et laisse poindre des ambitions politiques, ébauchant un programme pour le retour d'une Amérique forte.
« La faiblesse me fait horreur et me donne parfois la nausée. » « En affaires, la force de caractère, c'est jouer selon les règles, mais aussi savoir les tourner à son avantage... » Ces phrases issues de Survivre au sommet prennent aujourd'hui une résonance singulière, voire prémonitoire. À la fois arrogant, obstiné, brutal, possédant l'art de convaincre et de se convaincre qu'il a raison contre tous, Donald Trump y apparaît comme un homme impulsif, parfois contradictoire et pourtant fin stratège.
Mêlant confessions, journal de bord, conseils et réflexions, Survivre au sommet permet de comprendre comment raisonne et agit le 45e président américain.
1923, San Francisco. Carter le Grand, l'un des prestidigitateurs les plus célèbres du pays, donne ce soir-là un spectacle exceptionnel devant le président des Etats-Unis, Warren G. Harding, qu'il invite sur scène pour participer à l'un de ses stupéfiants numéros. La représentation est un triomphe mais, quelques heures plus tard, le président meurt mystérieusement dans sa chambre d'hôtel. Sachant qu'il va être suspecté, Carter disparaît afin de mener sa propre enquête.
Aurait-il eu des raisons de se débarrasser du locataire de la Maison Blanche ? L'agent Griffin, des services secrets, se lance alors à ses trousses. Mais affronter un génie du trompe-l'oeil et de l'illusion tel que Carter ne va pas être chose aisée.