« J'avais toujours détesté le courrier du coeur des journaux féminins... J'avais peur de ce qui pourrait remplir la rubrique, peur de devenir une « Madame Bonheur » de gauche. Je sous-estimais ainsi, et de beaucoup, ce que les femmes pourraient me dire, l'obligation où je serais de réfléchir à parti...