Culture commune
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L'Art de la guerre
Sun Tzu
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
La tradition associe l'Art de la guerre, à un général nommé Sun Tzu, qui aurait vécu à la fin du vie siècle av. J.-C. Sun Tzu aurait fait lire ses Treize chapitres au roi, avant de le conseiller lors de ses campagnes contre l'État de Chu.
L'ouvrage est fondé sur le principe suivant : gagner ou perdre une guerre ne se fait pas par hasard, ni par l'intervention des dieux ou des esprits. C'est une question de méthode et de stratégie. De bons principes stratégiques conduisent à la victoire, il est donc important de les étudier.
Il y a deux concepts de base dans ce traité :
D'abord, « prendre les possessions de l'adversaire en entier », et les conserver - si possible - intactes, en particulier les civils, car l'ennemi d'aujourd'hui est le sujet de demain.
Ensuite, le shi : ce mot renvoie au concept de l'engagement de forces anodines pour faciliter la victoire. Ce déploiement repose sur la préparation, le travail, la bonne connaissance du terrain et des forces en présence (par l'espionnage), et l'adaptation aux circonstances. Source Wikipédia.
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La République
Platon (traduction Victor Cousin)
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
La République porte principalement sur la justice dans l'individu et dans la Cité. Il s'agit de l'ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Formes que Platon y expose et défend.
C'est l'un des ouvrages les plus étendus de Platon. Le livre est divisé en 10 parties ; cette division est peut-être due à des critiques d'Alexandrie. Selon Cicéron, la République de Platon est le premier livre de philosophie politique grecque. La première édition des dialogues réunis de La République date de 315 av. J.-C., à l'initiative de l'Académie. Du « naturel philosophe », Platon donne le trait caractéristique dans La République : il y a « désir de connaître et amour du savoir, ou philosophie ». Et cette activité consiste à chercher le Vrai, le Beau, le Juste, donc des valeurs, des normes, des principes, des idéaux, par-delà les choses sensibles, cela avec une sagesse et dans une perception globales. D'une part, « le philosophe a envie de sagesse, non d'une sagesse et pas d'une autre, mais de la totalité de ce qu'elle est ».
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La désobéissance civile
Henry David Thoreau
Note de l'éditeur : pour connaître les actualités des Éditions Culture Commune, le spécialiste des grands classiques à petit prix, rendez-vous sur http://www.culturecommune.com/
Thoreau écrit sur le thème de la désobéissance civile en se fondant sur son expérience personnelle. En juillet 1846, il est emprisonné pour n'avoir pas, volontairement, payé un impôt à l'État américain. Par ce geste, il entendait protester contre l'esclavage qui régnait alors dans le Sud et la guerre contre le Mexique. Il ne passe qu'une nuit en prison, car son entourage paie la caution, ce qui le rend furieux.
Ce livre était originellement intitulé Resistance to Civil Governement (Résistance au gouvernement civil). C'est l'éditeur qui l'aurait renommé en Civil Disobedience lors de sa réédition posthume (1866) selon le terme inventé par Thoreau dans une correspondance.
Avec le Discours de la servitude volontaire d'Étienne de La Boétie, La désobéissance civile est un ouvrage fondateur du concept de désobéissance civile. Source Wikipedia. -
Du Contrat Social
Jean-Jacques Rousseau
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Du Contrat Social a constitué un tournant décisif pour la modernité et s'est imposé comme un des textes majeurs de la philosophie politique, en affirmant le principe de souveraineté du peuple.
Rousseau y établit qu'une organisation sociale "juste" repose sur un pacte garantissant l'égalité et la liberté entre tous les citoyens. Ce pacte est contracté entre tous les participants, c'est-à-dire l'ensemble exhaustif des citoyens. Dans le pacte social, chacun renonce à sa liberté naturelle pour gagner une liberté civile.
Ce contrat social, Rousseau le voit comme faisant suite à l'état de nature dans lequel règne le droit du plus fort : « Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. »
La dissolution du contrat social, c'est le retour à l'état de nature, primitif, présocial, « tyrannique et vain ». Une société qui rompt son contrat social ne serait plus une société ...
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Apologie de Socrate
Platon (traduction Victor Cousin)
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Dans l'Apologie de Socrate, Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès en 399 avant J.-C. à Athènes qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d'Athènes (composant le Tribunal de la Cité). Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, non-reconnaissance de l'existence des dieux traditionnels athéniens, et introduction de nouvelles divinités dans la cité. Il y eut 30 jours d'intervalle entre la condamnation de Socrate et sa mort, pendant lesquels il resta enchaîné dans sa prison. Ses amis lui rendaient visite et s'entretenaient avec lui quotidiennement.
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Discours de la méthode
Suivi de
Méditations métaphysiques
René Descartes
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Ce discours marque une rupture avec la tradition scolastique, jugée trop « spéculative » par Descartes, et se présente plutôt comme un plaidoyer pour une nouvelle fondation des sciences, sur des bases plus solides, et en faveur du progrès des techniques. Il a été rédigé directement en français, langue vulgaire, Descartes voulant par là s'opposer à la tradition scolastique (qui avait pour habitude d'écrire en latin) et s'adresser à un public plus large que les savants et les théologiens.
Dans ce discours, Descartes expose son parcours intellectuel de façon rétrospective, depuis son regard critique porté sur les enseignements qu'il avait reçus à l'école, jusqu'à sa fondation d'une philosophie nouvelle quelques années plus tard. Il y propose aussi une méthode pour éviter l'erreur, et y développe une philosophie du doute, visant à reconstruire le savoir sur des fondements certains, en s'inspirant de la certitude exemplaire des mathématiques - la célèbre phrase « je pense donc je suis » (cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donnera une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre ans plus tard. Source : Wikipédia
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Gorgias
Platon (traduction Victor Cousin)
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Gorgias est un dialogue écrit par Platon. Il a pour sous-titre « De la rhétorique », mais il ne s'agit pas d'un traité sur l'art d'écrire, parler ou composer un discours : il s'agit d'examiner la valeur politique et morale de la rhétorique. Deux thèses s'affrontent donc : celle de Gorgias, sophiste qui enseigne la rhétorique et considère que « l'art de bien parler » est le meilleur de tous les arts exercés par l'homme, contre celle de Socrate, qui dénonce la rhétorique comme un art du mensonge.
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Les Rêveries du promeneur solitaire
Jean-Jacques Rousseau
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Les Rêveries du promeneur solitaire tiennent à la fois de l'autobiographie et de la réflexion philosophique : l'auteur employant très généralement la première personne du singulier et apportant par digressions quelques détails sur sa vie.
Le livre se présente comme "un informe journal de mes rêveries" est composé de dix chapitres de taille inégale, ou promenades, comme autant de réflexions sur la nature de l'Homme et son Esprit. Rousseau, à travers cet ouvrage, présente une vision philosophique du bonheur, proche de la contemplation, de l'état ataraxique, à travers un isolement relatif, une vie paisible, et surtout, une relation fusionnelle avec la nature, développée par la marche, la contemplation, l'herboristerie que Rousseau pratique.
Mais si l'oeuvre fait historiquement suite aux Confessions, il serait également réducteur de ranger les deux livres dans la même catégorie : ces dernières, voulaient d'abord faire la lumière sur le citoyen Rousseau et sur sa vie. Ici, il ne s'agit bien que d'une invitation au voyage... Une réflexion générale sur son mode de pensée. Source Wikipédia.
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L'origine des espèces
Charles Darwin
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail d'édition en vue d'une édition numérique.
Darwin se fait engager comme naturaliste à 22 ans sur le Beagle pour une expédition océanographique de cinq ans autour du monde. En Patagonie, il observe des fossiles et des squelettes d'espèces disparues alors que des individus semblables, mais plus petits, sont encore visibles. L'expédition fait relâche plusieurs semaines aux îles Galapagos, dans l'Océan Pacifique, au large de l'Équateur. Là, le jeune savant est frappé par la coexistence d'espèces voisines de lézards (iguanes) et d'oiseaux. Il porte un intérêt particulier aux 13 espèces de pinsons qui s'y trouvent. Bien plus, il rapproche ces découvertes de celles réalisées sur des mammifères et des insectes par d'autres naturalistes avant lui. De retour en Angleterre, Darwin rassemble les preuves de la non-fixité des espèces. Il publie enfin, au bout de trente ans, le fruit de ses travaux. Dans L'Origine des espèces, Charles Darwin présente ses observations et conclut à une évolution naturelle des espèces : les individus qui ont hérité de caractères bien adaptés à leur milieu ont tendance à mieux se reproduire que leurs congénères et à prendre le pas sur eux. En quelques générations, une espèce peut ainsi se transformer jusqu'à donner naissance à une nouvelle espèce. Source : http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=254
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Paul et Virginie
Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre
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Écrit en 1787, Paul et Virginie connut un immense succès qui dépassa les frontières. Ce roman décrit l'histoire de deux enfants vivant sur l'île de France (future Île Maurice). Issus de deux familles différentes, Paul et Virginie sont élevés en commun comme frère et soeur, dans la splendeur naturelle des paysages tropicaux. Mais à l'adolescence, des sentiments amoureux naissent entre les deux personnages. La mère de Virginie, Madame de la Tour décide alors de l'éloigner de Paul en envoyant sa fille étudier en France, laissant Paul à son chagrin. Plusieurs années après, Virginie annonce son retour sur l'île, mais le navire qui la ramène de France est pris dans une tempête et échoue sur les rochers sous les yeux de Paul. Celui-ci ne tarde pas à succomber à la douleur de sa perte. Car après la mort de Virginie les deux mères ont eu un songe annonçant la mort de Paul, de sa mère et de Mme de la Tour.
Paul et Virginie décrit avec force les sentiments amoureux et la nostalgie du paradis perdu. L'auteur fut inspiré par ses amours déçues d'avec Françoise Robin. Au-delà du cadre exotique et de la description d'une société idyllique, Bernardin de Saint-Pierre expose dans ce roman sa vision pessimiste de l'existence. Ce roman est d'un registre pathétique. Source Wikipédia.
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Chez les fous
Albert Londres
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Ce qu'a vu Albert Londres dans les asiles est terrifiant. Son témoignage constitue un document capital pour pour l'histoire sociale du début du vingtième siècle : patients déshumanisés par les lieux qui sont censés les guérir. Albert Londres dénonce les mauvais traitements ou les carences alimentaires et sanitaires et rappelle que « notre devoir n'est pas de nous débarrasser du fou, mais de débarrasser le fou de sa folie »
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Tao Te King
Lao Tseu
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Le Tao Te King est un ouvrage classique chinois écrit autour de 600 av. J.-C. par Lao Tseu, le sage fondateur du taoïsme. Le titre est généralement traduit en français par Le livre de la Voie et de la Vertu.
Le terme Tao signifiant voie, chemin, est couramment employé dans son sens figuré de « voie spirituelle ou idéologique », ou « mode d'action » dans les textes de tous les courants, et ce dès l'époque du Lao Tseu légendaire.
Le Tao Te King a eu une influence considérable en Extrême-Orient et en Occident à travers ses très nombreuses interprétations et traductions. En 1988, on en recensait 250 versions en langues étrangères. Il n'existe pas encore de conclusion définitive quant à sa signification réelle. Selon certains, ce serait un recueil d'aphorismes provenant de plusieurs auteurs ; on y trouve d'ailleurs des propositions contradictoires. D'autres au contraire y voient un texte cachant une cohérence profonde sous un style allusif et elliptique. En Chine, le texte a toujours été accompagné d'un commentaire. Par l'interprétation qu'ils suggèrent, ces commentaires ont contribué autant que le texte d'origine au sens de l'ouvrage et à sa place dans la philosophie et la religion. Source Wikipédia.
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Émile ou De l'éducation
Jean-Jacques Rousseau
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Émile ou De l'éducation est un traité d'éducation portant sur « l'art de former les hommes » de Jean-Jacques Rousseau publié en 1762. Il demeure, aujourd'hui encore, l'un des ouvrages les plus lus et les plus populaires sur le sujet, à tel point qu'au Japon, l'autorité du développement de l'enfant impose à tous les instituteurs d'écoles maternelles la lecture de l'Émile.
Les quatre premiers livres décrivent l'éducation idéale d'un jeune garçon fictif, Émile, et sont ordonnés chronologiquement, abordant, étape par étape, les questions éducatives qui émergent à mesure qu'il grandit. Le dernier livre traite de l'« éducation », ou plutôt le manque d'éducation des filles à partir d'un autre exemple fictionnel : Sophie, élevée et éduquée pour être l'épouse d'Émile. En effet, Rousseau s'oppose à l'éducation des jeunes filles et adopte une position très sexiste sur le rôle des femmes dans la société, à l'image de leur rôle dans la famille. Source Wikipédia.
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Le Rire
Henri Bergson
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Le Rire : essai sur la signification du comique est un ouvrage du philosophe Henri Bergson paru le 1er mai 1900. Le livre est composé de trois articles (les trois chapitres) qui avaient précédemment été publiés dans la Revue de Paris.
Comme Bergson le dit dans sa préface de 1924, son essai se concentre plus exactement sur « le rire spécialement provoqué par le comique ». La thèse défendue dans l'ouvrage est que ce qui provoque le rire est le placage de la mécanique sur du vivant. Le rire y est considéré comme une punition de la société envers les êtres qui s'écartent de la norme. Source Wikipédia.
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Phédon
Platon (traduction Victor Cousin)
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Phédon raconte la mort de Socrate et ses dernières paroles. On y apprend que Socrate a été condamné à boire son poison létal. Le dialogue se tient le dernier jour de Socrate. Il est la suite directe de l'Apologie de Socrate et du Criton. Quelques amis ont été autorisés à rendre visite à Socrate dans sa cellule avant qu'il n'avale le poison, suite à sa condamnation à mort. Une discussion s'engage alors sur la mort, et l'attitude qu'il convient d'adopter face à celle-ci, puis sur la possibilité de la survie de l'âme dans l'au-delà. Le dialogue se termine par un mythe eschatologique sur le jugement des âmes après la mort.
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Ménon
Platon (traduction Victor Cousin)
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Le Ménon est un des dialogues de Platon consacrés à la doctrine de la réminiscence dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? L'interrogation sur la vertu se poursuit dans un troisième temps, avec l'examen de la question posée initialement par Ménon, celle de l'enseignement de la vertu.
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Le Prince
Nicolas Machiavel
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Le Prince est un traité politique écrit au début du XVIe siècle par Nicolas Machiavel, homme politique et écrivain florentin, qui montre comment devenir prince et le rester, analysant des exemples de l'histoire antique et de l'histoire italienne de l'époque. Parce que l'ouvrage ne donnait pas de conseils moraux au prince comme les traités classiques adressés à des rois, et qu'au contraire il conseillait dans certains cas des actions contraires aux bonnes moeurs, il a été souvent accusé d'immoralisme, donnant lieu à l'épithète « machiavélique ». Cependant l'ouvrage a connu une grande postérité et a été loué et analysé par de nombreux penseurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Prince
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Protagoras
Platon (traduction Victor Cousin)
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Protagoras est un penseur présocratique et professeur du Ve siècle av. J.-C. (né vers -490 ; mort vers -420). Considéré par Platon comme un sophiste, il est reconnu comme tel par la tradition antique et récente. Déjà renommé de son vivant, Protagoras est resté célèbre pour son agnosticisme avoué et un certain relativisme. Ses deux citations les plus notoires sont : « Des dieux, je ne sais ni s'ils sont ni s'ils ne sont pas » et « l'homme est la mesure de toute chose ».
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Le Banquet
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Banquet est avec le Phèdre l'un des deux dialogues de Platon dont le thème majeur est l'amour. Dans ce texte, Platon fait entendre des voix différentes pour parler d'amour, et de beauté, qui sont affaires du Bien. Dans ce dialogue, Éros est représenté différemment en fonction des personnages du dialogue. Pour Phèdre, Éros est une divinité primordiale, « celui qui fait le plus de bien aux hommes, il inspire de l'audace, « est le plus ancien, le plus auguste, et le plus capable de rendre l'homme vertueux et heureux durant sa vie et après sa mort ». Pausanias fait la distinction entre deux amours et relations sexuelles.
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Théétète
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Théétète présente au moins deux qualités remarquables quand on le compare aux autres dialogues : c'est le seul des dialogues classé à partir de la maturité de l'auteur à être un dialogue aporétique. Autrement dit, le Théétète ressemble plus, de ce point de vue, aux dialogues que l'on regroupe sous le nom de socratiques et que l'on considère comme des dialogues de jeunesse (voir par exemple Lysis). Le Théétète est également l'avant-dernier dialogue à mettre Socrate en scène comme interlocuteur principal - le dernier étant le Philèbe.
Le Théétète est un dialogue de Platon dans lequel Socrate discute avec le jeune Théétète d'Athènes, mathématicien contemporain de Platon et disciple de Théodore de Cyrène, de la définition de la science. Ce dialogue est le premier d'une série de trois (avec Le Sophiste et Le Politique), ou de quatre, si l'on compte Le Philosophe.
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Parménide
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Parménide est un dialogue écrit par Platon dans la dernière partie de sa vie. Correspondant à un refus du système philosophique qu'il avait soutenu jusqu'alors, cette oeuvre représente un tournant majeur dans la philosophie platonicienne et occidentale en général.
Introduisant au centre de sa réflexion philosophique les termes majeurs de l'Être et de la Participation, futures notions centrales de la philosophie occidentales, Platon souhaite opérer une réflexion sur l'origine véritable des objets réels. Les personnages de ce dialogue sont, dans le prologue : Céphale, Adimante, Glaucon et Antiphon ; dans le dialogue proprement dit : Socrate, Pythodore, Zénon, Parménide, Aristote (ce dernier est qualifié dans le dialogue de « jeune Aristote » et n'a strictement aucun lien de parenté avec Aristote de Stagire (né près de quinze ans après la mort de Socrate) : Ce « jeune Aristote » du Parménide deviendra l'un des Trente lors de la courte tyrannie qui suivit la défaite d'Athènes contre Sparte au terme de la Guerre du Péloponnèse.
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La guerre des Gaules
Jules César
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Le terme de guerre des Gaules ou conquête de la Gaule se réfère à la campagne d'assujettissement des peuples de la région qui forme aujourd'hui la France (à l'exception du sud, la Gaule transalpine, déjà sous domination romaine depuis 121 av. J.-C.), la Belgique, le Luxembourg et une partie de la Suisse, des Pays-Bas et de l'Allemagne. Cette guerre est menée par Jules César de 58 à 51/50 av. J.-C., et il la narre dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules (De bello gallico), qui reste la principale source de ces événements. http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_des_Gaules
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Le Politique
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Politique est un dialogue de Platon, il est la suite du Sophiste qui est lui-même la suite du Théétète. Il a pour interlocuteurs principaux l'Étranger d'Élée et Socrate (un homonyme plus jeune que le maître de Platon). Il s'agit d'un dialogue entre Socrate Le jeune et l'étranger. Platon fait une réflexion sur la législation. Il va développer l'idée selon laquelle le législateur ne doit subir aucune entrave dans l'exercice de son art. Il doit être totalement libre. Il va utiliser une métaphore médicale pour expliquer cette position : il utilise l'exemple du médecin qui est contraint de partir loin de ses patients et qui va consigner par écrit ses prescriptions. Avant son retour il se peut que ses prescriptions ne conviennent plus à ses malades. Le médecin sera alors obligé de modifier ses prescriptions. Il en est de même pour le législateur selon Platon parce que les conditions du peuple ont changé.
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Le Sophiste
Platon (traduction Victor Cousin)
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Le Sophiste est un dialogue de Platon traitant de la nature du sophiste, et de celle de l'être. Ecrit aux environs de 360 avant J.-C., il est la suite du Théétète, dont il prolonge la discussion. Théodore et Socrate s'étaient donné rendez-vous la veille pour continuer la discussion avec Théétète, accompagné d'un étranger qui vient d'Élée. Socrate et Théodore écoutent dialoguer l'étranger qui interroge et Théétète qui répond. Comme dans les derniers écrits de Platon, Socrate n'intervient pas, car le sophiste critique la position traditionnelle que Platon donne à Socrate : la Théorie des Idées, ici désignée sous la théorie des formes (« les amis des formes »). Le Sophiste fait partie de la série chronologique Parménide, Théétète, le Sophiste, le Politique. Platon y critique et assouplit son ontologie primitive des Idées pour lui substituer une théorie de la participation à l'Idée, au divin. Voir aussi le Cratyle et le Philèbe.
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