JePublie
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Sommaire
Mon enfance
Mon engagement
Ma carrière
L'ingratitude!
Mes interventions marquantes
Ma retraite
-
Table
AVANT-PROPOS
Correspondance
Engagements
Pratiques de la lettre
Rapport à l’Autre
Perspectives
INTRODUCTION
MOIS DE JANVIER 1962
Philippeville, le 2 janvier 1962
Philippeville, le 17 janvier 1962
Philippeville, le 18 janvier 1962
Alger, le 23 janvier 1962
Philippeville, le 24 janvier 1962
Philippeville, le 27 janvier 1962
Mondovi, le 28 janvier 1962
Philippeville, le 30 janvier 1962
Repères chronologiques Janvier 1962
MOIS DE FÉVRIER 1962
Bône, le 5 février 1962
Alger, le 6 février 1962
Philippeville, le 6 février 1962
Philippeville, le 9 février 1962
Alger, le 11 février 1962
Alger, le 11 février 1962
Philippeville, le 12 février 1962
PÉTITION « JE SUIS FRANÇAIS »
Philippeville, le 17 février 1962
Philippeville, le 20 février 1962
Alger, le 21 février 1962
Bône, le 22 février 1962
Philippeville, le 23 février 1962
Mondovi, le 23 février 1962
Tlemcen, le 27 février 1962
Repères chronologiques Février 1962
MOIS DE MARS 1962
Philippeville, le 2 mars 1962
Tlemcen, ce 3 mars 1962
Alger, le 3 mars 1962
Philippeville, le 6 mars 1962
Alger, le 9 mars 1962
Tlemcen, le 10 mars 1962
Philippeville, le 11 mars 1962
Philippeville, le 15 mars 1962
Philippeville, le 21 mars
Alger, le 23 mars 1962
Philippeville, le 23 mars 1962
Alger, le 24 mars 1962
TRACT OAS DU 25 MARS 1962
Tlemcen, le 27 mars 1962
Philippeville, le 29 mars 1962
Mondovi, le 30 mars 1962
Annexe à la lettre du 30 mars 1962
Repères chronologiques Mars 1962
MOIS D’AVRIL 1962
Tlemcen, le 1er avril 1962
Alger, le 3 avril 1962
Alger, le 5 avril 1962
Philippeville, le 6 avril 1962
Alger, le 15 avril 1962
Philippeville, le 18 avril 1962
Mondovi, le 19 avril 1962
Philippeville, le 20 avril 1962
Alger, le 24 avril 1962
TRACT : LES ATTENTAS AU PLASTIC
Philippeville, 24 avril 1962
Philippeville, le 28 avril 1962
Repères chronologiques Avril 1962
MOIS DE MAI 1962
Alger, le 2 mai 1962
Philippeville, le 2 mai 1962
Mondovi, le 3 mai 1962
TRACT OAS : N°106/VLA
Philippeville, le 5 mai 1962
Alger, le 8 mai 1962
Philippeville, le 8 mai 1962
Philippeville, le 11 mai 1962
Tlemcen, le 14 mai 1962
Alger, le 16 mai 1962
Philippeville, le 17 mai 1962
Philippeville, le 19 mai 1962
El Biar, le 20 mai 1962
Philippeville, le 22 mai 1962
Mondovi, le 26 mai 1962
Alger, le 30 mai 1962
Repères chronologiques Mai 1962
MOIS DE JUIN 1962
Tlemcen, le 14 juin 1962
TRACT OAS : CONSIGNES POUR LES VACANCES
Repères chronologiques juin 1962
TRACT : L’OAS RAPPELLE UNE DERNIÈRE FOIS
Repères chronologiques Juillet - Août 1962
AUTOMNE 1962
Bône, le 15 septembre 1962
PHOTOGRAPHIE : BÔNE
Tlemcen, le 1er octobre
PHOTOGRAPHIE : TLEMCEN
Mondovi, le 4 octobre 1962
(A la suite de la lettre du 4 octobre 1962)
PHOTOGRAPHIE : AU DOMAINE
Philippeville, le 9 octobre
PHOTOGRAPHIE : AU
Philippeville, le 27 novembre 1962
PHOTOGRAPHIE : PHILIPPEVILLE
PHOTOGRAPHIE : PHILIPPEVILLE
Repères chronologiques Automne 1962
ÉPILOGUE
LES JOURS HEUREUX
PHOTOGRAPHIE : BUGEAUD (BÔNE)
PHOTOGRAPHIE : SAINT CLOUD (BÔNE)
PHOTOGRAPHIE : AU DOMAINE
PHOTOGRAPHIE : AU DOMAINE
PHOTOGRAPHIE : CORNICHE
PHOTOGRAPHIE : BORD DE MER
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
PRÉSENTATION DES DOCUMENTS
LEXIQUE
RÉSUMÉ DE L’OUVRAGE -
études nietzschéennes Tome 1 ; Nietzsche penseur du futur
Philippe Granarolo
- JePublie
- 1 Janvier 2011
- 9782955052808
Sommaire
Le rêve dans la pensée de Nietzsche
Introduction
I. L’approche esthétique
II. L’approche généalogique
III. L’approche gnoséologique
IV. Conséquences métaphysiques
Conclusion : La fin du rêve ou son re-commencement ?
Nietzsche et sa vision du futur
Nietzsche : un prophète au tribunal du XXe siècle
Introduction
I. Les deux visages de la prophétie
II. Une prophétie erronée mais vite rectifiée et finalement enrichissante
III. Ambiguïtés du XXe siècle
IV. Passage à la limite (ou les prophéties hyperboliques)
Conclusion -
Table des mati?res
Premier contact
En voiture !
Fort Lamothe
Chamb?ry ? Alger
Chef de pi?ce
L?appro
PIM
Le pinard
No?l
L?inventaire
Derni?re lettre
Aller-retour
Le poste
Ma?tre d??cole
Mon b?b?
Distraction?
Transistors
Mascotte
Le marabout
Nuits agit?es
P?trole
Correspondantes
Mes respects, mon g?n?ral
Avril 61
Tornades
Tss, tss?
Cavalerie
Seigneurs
Ti mon fr?re !
Nativit? sous rire
Inqui?tude
Foie jaune !
Repos !
Vacances
Air de France
Le frangin
Case d?part
Et plus tard?
-
François Hollande a été élu à la présidence de la République le 6 mai 2012. Si l’on tient compte des près de 6 % de votes blancs ou nuls, c’est avec moins de 48 % des votants du 2e tour qu’il a gagné, ce qui en fait le président le moins bien élu de la Ve République. Si ce n’est pas le grand « OUF » de soulagement attendu, il n’en reste pas moins qu’on entend que la France est enfin passée de l’ombre à la lumière !
J’ai voulu par ces quelques lignes essayer de comprendre les ressorts de cette élection, peut-être la première du XXIe siècle. Pourquoi ce choix ? Parce que s’il est probable qu’il laisse une France en moins bon état qu’il l’aura trouvée, peut-être pouvons-nous penser qu’il n’aura fait qu’accélérer un mouvement amorcé avant lui. En d’autres termes, il aura sans doute été autant une conséquence qu’une cause dans une situation déplorable de la France et de son peuple. C’est ce que je vais tenter d’expliquer dans les pages qui suivent. -
Extrait
Du coup les amis, vous êtes prisonnier de cette machine infernale
qu’est devenue l’Union
européenne. Il serait d’ailleurs plus judicieux de
la
renommer l’UMNI, l’Union
marchande non identifiée, un monstre sans visage qui a fait
de
la vie un marché et de vous des consommateurs.
C’est donc votre nouvelle identité.
Aujourd’hui,
vous
êtes des consommateurs. Vous n’êtes plus
des hommes
et des femmes, des citoyens, des pères de famille qui avez
besoin
d’un travail et d’un salaire décents
pour élever vos enfants. Vous êtes juste des
êtres
consommant avec un seul droit, celui de payer vos achats le moins cher
possible. Ne protestez pas, c’est comme ça !
D’humanisme, de progrès social ou
de bien commun, il n’est plus question. Seuls le
marché et
la
concurrence trouvent grâce auprès des
autorités
européennes.
-
Le Roi Soleil et son frère ; la rivalité fraternelle
Claude Malandain
- JePublie
- 1 Janvier 2012
- 9782953191028
Table des matières
Prologue
Chapitre 1 : La mère en partage
Chapitre 2 : L'émancipation
Chapitre 3 : Le désir roi
Chapitre 4 : Les conquêtes
Chapitre 5 : La gloire
Chapitre 6 : Versailles
Chapitre 7 : La reine secrète
Chapitre 8 : Le dernier vivant
Chapitre 9 : Le désaveu
Conclusion : Les deux frères
Bibliographie
Repères chronologiques
-
Gilbert Bayard ; diplomate et secrétaire des finances de François Ier
Francis Thomas
- JePublie
- 1 Janvier 2007
- 9782952973007
Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE I. La famille de Gilbert Bayard
La famille Bayard
Les épouses
CHAPITRE II. La naissance de Gilbert Bayard et le contexte historique
La naissance
L'enfance
CHAPITRE III. Au service des Bourbon (1506-1521)
Le seigneur de La Font
Au service du duc de Bourbon
CHAPITRE IV. Au service du roi de France et l'entrée en diplomatie (1521-1528)
Au service du roi
Auprès de François Ier en Espagne
Le diplomate
CHAPITRE V. Le secrétaire des finances (1528-1531)
Le secrétaire des finances
La paix des Dames
Le général des finances
L'ambassadeur
CHAPITRE VI. Monsieur le général Bayard (1532-1540)
Le conseiller
L'ombre du connétable de Montmorency
CHAPITRE VII. Le secrétaire d'état (1541-1548)
La disgrâce de Montmorency
Le secrétaire d'état
Les sommets du pouvoir
La disgrâce
CHAPITRE VIII. Gilbert Bayard, l'homme
Le secrétariat d'Estat
La personnalité
Bayard et la Réforme
Fortune et patrimoine
L'homme de la Renaissance
CHAPITRE IX. Les Bayard après Bayard
Les filles de Gilbert Bayard
Les fils de Gilbert Bayard
Les descendants
CONCLUSION
SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE -
Un homme à part ; Edouard Vuillard, 1868-1940
Catherine Terrien
- JePublie
- 1 Janvier 2010
- 9782953654806
Table des matières
Portrait
Il fuit l'anecdote
Toute peinture n'est qu'un fragment
La naissance d'Edouard Vuillard
Un monde clos
La Revue Blanche
Une revue engagée
Une revue d'artistes
Le déclin
La Foire Universelle
1889 : les débuts de Vuillard
Les nabis
A la recherche de la beauté pure
L'influence de Gauguin
Intégrer l'art dans la vie quotidienne
Audace et timidité de Vuillard
Lieux et contexte historique
Misia
Muse de la Belle Epoque
Formes et jeux de matières
Vuillard scénographe et décorateur
Tendance naturaliste
Les nabis et le japonisme
Chez les Natanson à Valvins
Parcours
1897-1899
1900-1909 : la grande période
1910- 1920 : réorganisation picturale
1920-1940
Hommages
La mort de Misia
Extrait du journal, 22 novembre 1888
-
L'enfant roi et sa mère ; Louis XIII et Marie de Médicis
Claude Malandain
- JePublie
- 1 Janvier 2008
- 9782953191004
Un nourrisson
fétiche
Le jeune Louis, privé
d'affection maternelle au sens où nous l'entendons
aujourd'hui, fait l'objet de l'idolâtrie de l'entourage. Il y
a foule pour le voir passer lorsqu'il est
transféré à Saint-Germain et, au
château, on vient le guetter à la
fenêtre. Les visites protocolaires se multiplient et les
visiteurs veulent toucher le Dauphin, le caresser. L'objet de toutes
les convoitises des visiteurs est son sexe, (sa guillery). Le sexe du
Dauphin est en effet le symbole de la puissance dynastique, porteur du
salut de la communauté. Un bon sexe fait un bon roi. C'est
pourquoi on pardonne à Henri IV ses frasques amoureuses,
parce qu'elles sont censées être le signe d'une
capacité sexuelle hors du commun.
En ce qui concerne le
Dauphin, l'idolâtrie du sexe royal a pour
conséquence d'activer la sensibilité
érotique du nourrisson et de développer chez lui
des jeux sexuels précoces comme le relate le Journal
d'Héroard, le médecin du Dauphin. Ainsi, le 28
septembre 1602, le futur roi a tout juste un an, le médecin
note : Se réjouit à manier sa guillery. Le 30, il
montre sa guillery à ses visiteurs : À douze
heures et demie, arrive le baron de Prunay, il y avait en sa compagnie
une damoiselle, il a retroussé sa cotte, luy monstre sa
guillery avec une telle ardeur qu 'il en estoit tout hors de soy...
Plus tard il fait baiser sa guillery par les visiteurs. Le
nourrisson a le même comportement exhibitionniste pendant des
semaines et l'entourage non seulement n'est pas choqué, mais
se fait complice. Héroard note par exemple que la Marquise
de Verneuil lui mettait la main souvent sous la cotte.
Avec la complicité
de l'environnement, ces jeux d'exhibition vont se développer
pendant la seconde année. Ainsi adulé, on peut
comprendre que l'enfant devienne insupportable et tyrannique. Il a des
accès de colère et l'entourage sévit
en ayant recours au fouet. Il n'est pas encore sevré qu'il
est déjà fouetté parce qu'il s'est mis
en colère au départ du Roi (novembre 1603). Les
colères de l'enfant sont fréquentes. Ainsi, le
Journal d'Heroard relate pour l'année 1604 :
7
janvier - On met le Dauphin en si mauvaise humeur qu 'il
fault de crever à force de crier, et tout fut en si grande
confusion jusqu 'à 6 heures que je n 'eus point le courage
de remarquer ce qu 'il fit, sinon qu 'il voulait battre tout le monde,
criant à outrance, fouetté longtemps
après.
22
février - Mené dans la chambre du Roi ;
le Roi le menace du fouet, il s'opiniâtre, veut aller dans sa
chambre ; mené en celle de la Reine, il continue. Le Roi
commande qu'il soit fouetté ; il est fouetté par
Mme de Montglat, au cabinet. Il est apaisé par de la
conserve que la Reine lui donne, mais non autrement, ayant voulu battre
et égratigner la Reine.
-
« Moi, je ne regrette pas que la France ait encore perdu la dernière Coupe du monde de football. Je ne m'associe pas aux regrets, et je ne déplore pas plus le sort des journalistes sportifs, des champions et de la Marseillaise (qui ne retentira pas) non plus que celui des millions de cerveaux écrabouillés par cet évènement - que celui des milliers de SDF qui hantent les rues de Paris, de Montréal et de New York. Je ne souhaite rien de particulier aux présentateurs vedettes des chaînes de télé, au Président et aux autres supporters, à toutes ces majorettes, ces fans et ces demoiselles viriles et distinguées du ballon rond.
Plus tard je ne veux pas être journaliste sportif, ni footballeur, ni supporter.
J'aime bien les gens.
Et c'est pourquoi je précise tout de suite que ce livre est absolument déconseillé aux lecteurs exclusifs des Public, People.com, Gala, Closer, et ceux plus cultivés (si on veut) du Sun. Cet essai risque de leur faire mal à la tête, et ne leur apprendra rien de plus sur les best people Karl Lagerfeld, Michou et Lady Diana.
Je connais les tabloïds et les dorures de nos célébrités. Je me tiens aussi au courant de ce qui préoccupe ces concitoyens. »
-
Heurt(s) et malheur(s) des Comores ; l'assassinat d'Abdallah
Jean-Mba
- JePublie
- 1 Janvier 2008
- 9782953234909
ÉTRANGLONS-LES
Tout
se tient. Au bout d'une semaine, Said Hassan a imposé ses vues pour qu'il n'y ait pas de dérapages susceptibles de gêner Mjomba pour son deuxième mandat. Pourtant, celui-ci redoute quelque chose. Au début du mois de septembre 1983, il dit à son poulain :
- Veille bien cher ami car, si certains parmi vous s'y opposent, je ne me représenterai pas.
- Mais si, monsieur le Président, répond Said
Hassan, j'en fais mon affaire. Ils ont tous accepté de marcher
au même pas que vous. Oui, ils savent que la route est longue et
que seuls les résultats de leurs efforts vous permettront de
mieux les classer et les considérer.
Le 10 septembre 1983, Said Hassan Said Hachim approfondit la
solidarité, en rassemblant tous les jeunes de sa province de
Badjini pour défiler dans la capitale et ovationner le
président Ahmed Abdallah. Un seul slogan est suffisant ce
jour-là : « Lui, Abdallah, pas d'autres que lui ».
Et finalement, toutes les provinces des trois îles en font autant.
Suivent les réceptions. Chaque canton mobilise ses notables, les
femmes avec leurs youyous, afin de prouver leur soutien au
président Ahmed Abdallah. Ce dernier vient personnellement
remercier en quelques mots très aimables les habitants. Pour
lui, c'est un honneur qui est rare et donc particulièrement
précieux.
Toujours d'une loyauté sans faille envers Mjomba, le petit-fils
du sultan de Badjini Hachim a su démontrer que le
président Abdallah était celui sur lequel reposaient les
espoirs des Comoriens, et qu'il entendait bien continuer à jouer
son rôle clé après les élections. -
PREMIÈRE PARTIE - INTRODUCTION, INVENTAIRE ET OUTILLAGE
1 - Installer un logiciel
2 - Devant les miroirs
3 - "Les voyages forment la jeunesse"
4 - Le religieux et ses institutions
5 - Les tatouages de l'âme, empreinetes laissées par les institutions
DEUXIÈME PARTIE - LA PENSÉE HUMAINE, SES ORIGINES
1 - Les préalables
2 - La longue émergence de l'esprit
3 - Sapiens et ses premières oeuvres
TROISIÈME PARTIE - SON DÉROULEMENT HISTORIQUE (1)
1 - La néolithisation
2 - La période mythologique
3 - Incrédulité sur l'existence des dieux. Remise en cause du mtyhe
4 - Les événements fondateurs
5 - Le christianisme
QUATRIÈME PARTIE - SON DÉROULEMENT HISTORIQUE (2)
1 - Les composantes de l'inconscient collectif occidental
2 - L'oeuvre du passé se manifeste aussi dans la structuration du monde visible
3 - La laïcité
4 - Réflexions sur le judéo christianisme
5 - Réflexions sur l'Islam
CINQUIÈME PARTIE - QUEL AVENIR POUR LA PENSÉE?
1 - Pas de feuille de route pour la pensée
2 - Arrêt sur la pensée occidentale
3 - En l'absence d'une feuille de route qui la guide, la pensée subirait-elle les effets d'un pôle d'attraction?
-
Prologue
Paris, novembre 1931.
Mon cher Georges,
Mon fils, depuis ton mariage à la fin de l'année dernière,
et plus encore, depuis la grossesse de Marcelle, s'est insinué
en moi l'idée de te parler, enfin, de ma vie et de tes origines.
Les seules personnes encore vivantes aujourd'hui, au courant
de l'histoire, sont ton grand-père Benoits et ta grandtante
Bredrel, mais sans connaître les détails, et puis mon
amie Mimi, qui n'a jamais rien dit et, sans mon autorisation,
ne dira jamais rien. Par ailleurs, je n'ai révélé à David que ce
qu'il devait savoir et il ne m'a jamais questionnée plus avant.
Je sais que quand tu étais enfant, une infirmière, qui
m'avait jadis connue, t'a charitablement révélé que « ton
père n'était pas ton père », mais je l'ai appris indirectement
car tu ne m'en as jamais rien dit. La pudeur et la retenue,
qui sont fortes entre nous, et la distance que, malgré moi,
j'ai toujours maintenue, m'empêchent encore de te parler.
Mais au moins, par ces lignes, tu seras instruit complètement
de l'histoire, et de la plume même de celle qui l'a
vécue.
Andrée
-
Table des matières
PREMIÈRE PARTIE : HISTOIRE DE MONTREGARD
1. Quelques grandes dates
2. Retour sur plusieurs événements ayant marqué l'histoire de la commune
3. Les principaux monuments
4. Les villages
DEUXIÈME PARTIE LA VIE QUOTIDIENNE À MONTREGARD
AU MILIEU DU XXe SIÈCLE
1. Quelques métiers présents à Montregard
2. Quelques lieux de travail de Montregard
3. La vie à la ferme
4. Le travail de la terre et le bois
TROISIÈME PARTIE ENFANCE ET APPRENTISSAGE DE LA VIE PROFESSIONNELLE
1. La vie des enfants à l'école
2. Bêtises d'enfance
3. Vie des enfants à la ferme
4. L'émancipation
CAHIER PHOTOS
QUATRIÈME PARTIE LES GRANDS MOMENTS DE L'ANNÉE
1. Les tuailles
2. La foire annuelle du village
3. Quelques autres moments incontournables dans l'année
CINQUIÈME PARTIE RELIGIONS, CROYANCES ET TRADITIONS
1. L'importance de la religion
2. Naissance, communion, mariage et enterrement
3. Croyances et traditions
SIXIÈME PARTIE MONTREGARD FACE À L'HISTOIRE : GUERRES, ARRIVÉE DU PROGRÈS
1. Les années 1940 : la Seconde Guerre mondiale et les restrictions
2. L'arrivée du progrès
3. Les guerres d'Afrique du Nord
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
-
Chroniques saïdéennes (1960-1961)
Robert Jesenberger, Arthur Smet
- JePublie
- 1 Janvier 2010
- 9782952224802
Pourquoi ces dix huit mois avec l'Echo d'Oran ? Parce qu'ils vont permettre, documents
à l'appui, de décrire ce qu'était la vie d'une petite « ville à la française » en cette période
si troublée.
Ils vont montrer que les Saïdéens et Saïdéennes - qui savaient déjà que le sort de l'Algérie était
joué et, par voie de conséquence, leur avenir qui serait fait de déchirures et de difficultés -
continuaient à vivre, c'est-à-dire à travailler, à se cultiver, à animer, à développer le tissu associatif
que leurs grands-parents et parents avaient su créer, à élaborer des projets comme l'avaient
fait leurs arrières grands-parents à leur arrivée sur ce sol et comme ils le faisaient eux-mêmes,
riches de leur expérience.
Vous y trouverez aussi quelques réflexions personnelles sur ce que l'on appelait pudiquement
les « événements d'Algérie » qui ont causé tant de drames dans les familles des Français
d'Algérie, européens et musulmans, livrées à un terrorisme aveugle.
Cette période je l'ai vécue avec mon ami Arthur Smet, photographe au 8e R.I.M., qui a fixé
sur ses pellicules tous ces moments de vie. Son talent m'a permis d'illustrer les nombreux
reportages qui m'ont conduit à parcourir le vaste département de Saïda (...)
-
Le Dahir du 16 mai 1930 dit "Dahir berbère" au Maroc
Lahoucine Outachfit
- JePublie
- 1 Janvier 2010
- 9782953578805
Sommaire
Introduction
PREMIÈRE PARTIE La situation du Maroc avant le Protectorat
1. Un aperçu du Maroc de Moulay el-Hassan I
2. Bled siba (pays de la dissidence) et bled al-makhzen
3. La politique dite berbère de la France au Maroc
DEUXIÈME PARTIE La société berbère et le droit coutumier
1. Le groupement dans la société berbère
2. Les institutions politiques et économiques dans les tribus berbères
3. Azref ou le droit coutumier berbère
4. Exemple d'un azref du sud du Maroc
TROISIÈME PARTIE Autour du Dahir du 16 mai 1930
1. Les réformes de la justice marocaine entre 1912 et 1930
2. Le texte intégral du Dahir du 16 mai 1930
3. Le sens de ce texte juridique
QUATRIÈME PARTIE Les manifestations contre le Dahir
1. À l'intérieur du Maroc
2. Le message du sultan sur la justice berbère lu dans les mosquées du royaume le 2 août 1930
3. Les manifestations à l'extérieur du Maroc
4. Les journaux français et le Dahir « berbère »
CINQUIÈME PARTIE Les conséquences du Dahir sur le Maroc après l'Indépendance
1. Les réformes du gouvernement après l'Indépendance
2. La place du tamazight, « le berbère », au Maroc
Conclusion
ANNEXES
Bibliographie
-
Chapitre 1
GBÈLA-MBOKO
Bazé [Clair de lune]
Là-bas,
très loin, une grosse boule rouge descend lentement sur le grand
pays de Gazagazaté comme pour mettre le feu à la
forêt.
À ce moment, sur la place du marché de Rosine, de
légers sons de tam-tams résonnent de temps en temps.
C'est un signal d'appel. Un appel lancé aux jeunes
filles qui dansent le naworo, pour qu'elles se préparent à aller rejoindre les autres filles.
Une heure après, le son des tam-tams devient beaucoup plus
rythmé, plus cadencé ; cela signifie que toutes les
jeunes filles sont présentes, et qu'elles dansent sous
l'oeil vigilant de Naworo, la maîtresse de danse.
Je ne peux pas vous décrire ces jeunes filles. Il n'y a
que des images qui peuvent vous montrer comment ces jeunes filles
habillées et maquillées dansent.
Hommes, femmes et enfants viennent voir ou admirer ces jeunes danseuses
qui sont toutes belles. À la fin de la danse,
c'est-à-dire avant que la boule rouge ne disparaisse
complètement dans la forêt, Naworo la maîtresse de
danse va dans chaque famille, soit pour savoir pourquoi telle ou telle
fille n'est pas venue danser, soit pour donner quelques conseils
à la jeune fille devant sa mère afin que la jeune
danseuse puisse bien remuer ses seins lors de la fête de la
danse, qui se passe traditionnellement à la fin de la saison
sèche.
Lentement, cette boule rouge disparaît totalement dans la
forêt. Comme le soleil au zénith, la lune éclaire
le pays de Gazagazaté. Le silence règne dans le quartier
des blancs, situé sur la montagne de la Cemo.
Plus à l'ouest, les missionnaires et les religieuses de la
mission Sainte-Anne sont plongés soit dans un sommeil profond,
soit dans une grande méditation.
Dans les quartiers populaires comme Rosine, Ndembo, Djambala, Potopoto,
Samgbanda, résonnent des sons de tam-tams de
mérengué. Le mérengué est une danse
populaire. C'est là que se rencontrent les jeunes hommes
et jeunes femmes en âge de se marier.
Falassami, ce petit garçon qui vient à peine
d'avoir un an, habite avec son grand-père dans le quartier
de Rosine, dans la dernière rue avant le carrefour de la croix.
Falassami ne sait pas où mène la route qui tourne
à gauche. Pour lui, celle qui continue tout droit
s'arrête chez les mis-sionnaires. De temps en temps, le son
des tam-tams envahit tous les quartiers.
Les jeunes filles qui ne veulent pas aller danser s'amusent au
gbagba en chantant. Dans ce chant, chaque fille dit le nom ou le
prénom de son prétendant.
Dans la concession du grand-père de Falassami, les enfants sont
réunis autour du feu avec quelques oncles, tantes et autres
adultes qui ne veulent pas sortir. Ils écoutent
Gbèla-Mboko. Celle-ci commence ses contes toujours avec les
mêmes rituels :
Gbèla-Mboko : « Ba toé (écoutez le conte) ! »
Adultes et enfants : « To lé (le conte du pays) ! »
Gbèla-Mboko : « Ba toé (écoutez le conte) ! »
Adultes et enfants : « Pi to (raconte le conte) ! »
-
Table des matières
Avant-propos
Prologue
Ma période d'enfant
Mon adolescence
Ma vie de célibataire
Mon premier mariage
Un changement de cap radical
Mon deuxième mariage
Ma retraite en Espagne
Épilogue
-
17. Le tournoi de l'épinette
Pendant que la France était désolée par la guerre et l'anarchie, Arras parvenait au point culminant de sa prospérité. Philippe le Bon y faisait de fréquents séjours et y célébrait des fêtes splendides. Pour ré pondre aux intentions de son souverain, Arras ne cessait de donner des joutes et des tournois. Plusieurs restèrent célèbres et sont décrits dans les mémoriaux de la ville ; Harduin dans sa belle langue française et royale de 1763, puis Lecesne nous les racontent par le détail.
On parle pour la première fois de ce genre d'exercices à l'occasion des joutes de l'Épinette qui se firent à Lille le 21 février 1423, jour du Behourdi qui signifiait joute ou course de lances. -
Adaptation
Ce concept n'est absolument pas pris ici dans le sens de « conformisation », qui est l'adoption en superficie de comportements souhaités par l'environnement.
Ce concept est pris dans le sens d'harmonisation de la personne avec son environnement.
Rappelons que « harmonisation » est pris ici au sens platonicien du terme, à savoir l'unité réalisée d'éléments antagonistes. La personne, tout en restant différente, parvient à créer une unité avec l'environnement dans lequel elle se trouve. Il n'est donc pas question de conformisation !
Il s'agit là d'un idéal rarement atteint mais dans lequel les psychanalystes ont mis leurs espoirs... Lacan fait exception, la « psychanalyse » lacanienne rejetant le concept d'harmonie, considérant ce dernier comme une dangereuse illusion. Il en découle que les lacaniens donnent au concept d'« adaptation » une connotation très négative... -
Demi-brigade de fusiliers marins, 3e bataillon : histoires vécues de 1956 à 1962
Christian Teste
- JePublie
- 1 Janvier 2010
- 9782746623095
TABLE DES MATIERES
Liste des commandants du 3e bataillon de la DBFM de 1956 à 1962
L'avant DBFM
La demi-brigade de fusiliers marins 3e bataillon 1956 à 1962
Les postes du 3e bataillon
35e compagnie Port-Say
35e compagnie Poste de Tizza
Poste secondaire Bridel
35e compagnie Poste Les Perdreaux
31e compagnie Poste de Signal côte 200
31e compagnie Poste de Méchour
31e compagnie Poste de Gabriel
31e compagnie Poste de Alazetta
31e compagnie Poste de Névot
31e compagnie Poste de Napo
31e compagnie Poste de Munck
31e compagnie Poste de Bou-Renam
31e compagnie Poste de Beaumont
31e compagnie Poste secondaire de Beaumont
31e compagnie Poste de Bab-el-Assa
31e compagnie Poste de Bab-el-Youdi
31e compagnie Poste de Balina
31e compagnie Poste de Ben-Kerrama
31e compagnie Poste d'Azzouna
31e compagnie La Plage du Sel
34e compagnie Poste de Sebabna Mine
32e compagnie Poste de Sebabna Souk
36e compagnie Le Tekmout km 24, poste de Bled-es-Souami
36e compagnie Poste de Sidi-Bou-Djenane
36e compagnie Poste de Birrou
Section administrative spécialisée - SAS
La côte 518
Anecdotes hors postes
Armement des fellaghas
Armement des fusiliers marins
Nos postes radio
Les appuis blindés mobiles
Les appuis d'artillerie mobiles
Les aides du génie
Remerciements aux auteurs
Nécrologie
Bibliographie -
Amable de Baudus, 1761-1822 Tome 4 ; 1820-1822
François Richard
- JePublie
- 1 Janvier 2010
- 9789999991650
Amable de Baudus : ruptures et fidélité
Dix-huit ans ! Amable sort de l'Université de Toulouse. Diplôme de droit en poche, tout naturellement il va prendre la suite d'une longue lignée familiale de juristes : son père était docteur en droit, son grandpère était avocat et capitoul de Toulouse, son arrière-grand-père était Conseiller du roi au Présidial, son arrière-arrière-grand-père était conseiller au Sénéchal et conseiller au Présidial, etc.
Vingt et un ans, Amable est avocat du roi. Il s'apprête à reprendre, l'année suivante, une charge de Lieutenant général à Cahors. Sa vie est toute tracée.
Vingt-trois ans : il épouse, en 1784, Dauphine Forien de la Rochesnard. Puis trois enfants naissent en trois ans : Delphine, Elie et Charles.
C'est alors une première rupture dans la vie d'Amable. Il se rallie aux magistrats du Parlement qui s'opposent au roi, exigeant que Louis XVI convoque les Etats-généraux en 1788. Amable, juriste et fondamentalement royaliste, se retrouve aux arrêts à Versailles pendant deux mois, avec interdiction d'en sortir ! Cet événement de la vie d'Amable nous révèle un aspect important de sa personnalité : il est un homme modéré. Royaliste mais à condition que soit respecté le pouvoir du Parlement. Trente ans plus tard, on reverra Amable soutenir son roi, Louis XVIII, mais en lutte contre l'extrémisme des Ultras.
Il revient à Cahors, et c'est une nouvelle rupture dans la vie d'Amable, cet homme du droit : la révolution est en marche. C'est d'abord une effervescence due à la crise économique, à la rédaction des cahiers de doléances et à l'élection des députés des trois ordres aux Etats-généraux. Puis, dès 1789, on pille les armes dans les casernes, on envahit l'évêché, on incendie des châteaux.
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Des Gilletta aux Gilletta de Saint Joseph
Philippe Gilletta De Saint Joseph
- JePublie
- 1 Janvier 2010
- 9782953802207
Table des matières
LÉGENDE DES GRAPHIQUES
PRÉAMBULE
LES PREMIERS DES GILLETTA
LE PRIEURÉ DE SAINT-JEOIRE
La Sainte-Maison
Le prieuré de Saint-Jeoire
Le prieur Don Pietro
Les principaux personnages
Le retour au catholicisme de don Pietro
Don Pietro, prieur de Saint-Jeoire
Le retour de Ponzio à Levens
Filippo poursuit sa vie à Savigliano
Don Pietro : un prêtre soldat
Le départ de don Pietro de la Sainte-Maison et la nomination de son neveu Ludovico
Le retour de Don Pietro dans le Piémont
Don Pietro procureur du Trésor royal
L'attribution des armes de gentilhomme de famille
Don Pietro est toujours soldat
Le révérend Ludovico poursuit son ascension
Don Pietro et Levens
Filippo finit ses jours à Savigliano
Gio Pietro, fils de don Pietro
Ascanio préfet de la ville et du comté de Nice
Don Pietro : un homme d'influence
L'inquisition : arrestation et excommunication de don Pietro
Les prieurs Ludovico et Gio Giacomo
Les remariages de Gio Pietro
Le décès de don Pietro
D'étranges pillards nocturnes
La descendance d'Ascanio
Les autres enfants de Ponzio Gilletta
Verano
Les ennuis du révérend Ludovico
Le décès de Verano
Les oeuvres du révérend Ludovico
Le décès de Gio Pietro
Don Ludovico et la chapelle de Saint-Joseph
Le décès du révérend Ludovico
Gio Giacomo, prieur de Saint-Jeoire
LA CHAPELLE DE SAINT-JOSEPH
Dotation de la chapelle
Don Ludovico : seconde dotation de la chapelle Saint-Joseph
Federico
Les autres enfants de Verano
Le patrimoine de Federico
Federico : troisième dotation de la chapelle Saint-Joseph
Claudia Maria et Cattarina
Le bref de Benoît XIII
Le décès de Federico
La plainte au vicaire général
L'assignation Peyrani
La consegna de 1734
Le procès Lascaris
Le début du procès
Le décès de Gio Antonio
De Nice à Turin par la route du sel
Vittore
La réunion de la totalité du patrimoine familial
Le procès Lascaris (suite et fin)
COMTE DE SAINT JOSEPH
La Révolution française
Les hordes révolutionnaires
Le retour de Nice à la Savoie
L'alliance avec la famille Anelli
L'attribution du titre de comte
L'intendant général du comté
Le comte de Saint-Joseph
Le décès du colonel Carlo Giuseppe
Le mariage d'Ange
La succession
L'institution d'un majorat
Le procès pour le legs à la commune
Le rattachement de Nice à la France
La situation des trois frères
Des choix divergents
La fin du siècle pour la branche italienne
La fin du siècle pour les branches françaises
MORCELLEMENT DU PATRIMOINE ET NOTABILISATION DES ENFANTS
Le morcellement
La succession d'Ange Gilletta de Saint Joseph
Les successions Montolivo et Conte
La situation des enfants d'Ange en cette fin de siècle
Le comte Joseph
Emma Meusnier
Louise Bonnefoy
Le comte Charles
Auguste
Marie Sauvan
Caroline Cappatti
Jean
L'AFFAIRE DU GÉNÉRAL GILLETTA DE SAINT JOSEPH
Les faits
La tentative d'étouffement
Les fuites dans la presse
L'arrestation du général
La réaction du gouvernement italien
La réaction du gouvernement français
La presse internationale se déchaîne
La coopération franco-italienne
La défense du général
Le lien avec l'affaire Dreyfus
La réaction de la famille Gilletta de Saint Joseph
L'accélération de la procédure
Le procès
Le verdict
Les réactions
La grâce
La libération
Les élucubrations de la presse
Le retour en Italie du général
L'interdiction secrète de territoire
Le traumatisme familial
LA GRANDE GUERRE
Jean : un notaire dans la cité
L'achat de l'étude Sajetto
Le second mariage
Les Traverses
Le maire de Levens
La jeunesse de Joseph
La jeunesse de Louis
La France entre en guerre
La mobilisation de Joseph
Le départ au front
La disparition de Joseph
La mobilisation de Louis
La poursuite des recherches
Le départ pour le front de Louis
La confirmation de la mort de Joseph
LES ANNÉES FOLLES ET L'ENTRE-DEUX-GUERRES
L'extinction du nom dans les deux branches cadettes
Le décès sans postérité des deux fils de Luigi
Le décès sans postérité mâle de Victor
L'extinction du nom dans la branche de Charles
Le décès du comte Charles Gilletta de Saint Joseph
Le décès du comte Léon Gilletta de Saint Joseph
Le décès du comte Auguste Gilletta de Saint Joseph
Annette, Jean et Mathilde
La branche de Jean
Le mariage de Marie-Louise
L'échec de Jean aux élections cantonales et la perte de la mairie
Le mariage de Louis et Mireille
Jean et tante Lili
Jean cède son office à son fils Louis
Le verascope
La vie de Louis et Mireille
Le décès de Jean
Le partage de la succession
LA SECONDE PARTIE DU XXE SIÈCLE
La Seconde Guerre mondiale
Le début de la guerre
L'arrestation des Boutiny
La Libération
L'après-guerre
Le notariat
Les Traverses
Le 28 rue de l'Hôtel-des-Postes
Le faux Rembrandt
La Légion d'honneur
Louis, comte de Saint Joseph
Le décès du comte Louis Gilletta de Saint Joseph
Mireille
L'histoire continue
ANNEXES
Les comtes Gilletta de Saint Joseph
Chronologie sommaire de l'histoire du comté de Nice
INDEX
