Henk van Rensbergen is a Boeing 787 pilot who flies around the globe. While his crew rests at the swimming pool, he goes out to explore abandoned places in our world. From the breakaway state of Abkhazia, a floating warship cemetery in France, a forgotten love hotel in Japan to an abandoned rail depot in Detroit, van Rensbergen searches for the beauty of their desolation and pinpoints the richness of their decay. Van Rensbergen is a pioneering urban explorer. His Abandoned Places photo books (1, 2, 3 and The Photographer's Selection) have been highly successful. This complete revised edition shows his most iconic photos of the past 25 years, including new unpublished material and anecdotes.
Entre 1978 et 1981, Sophie Calle explore clandestinement l'hôtel du Palais d'Orsay, alors désaffecté. Elle choisit la chambre 501 comme point d'ancrage et, sans méthode préétablie, photographie les lieux abandonnés depuis cinq ans. Au fil de ses incursions, elle collecte des objets : numéros de chambres, fiches des clients, messages adressés à un certain "Oddo"...
40 ans plus tard, la chambre 501 a disparu : un ascenseur a pris sa place. Sur l'invitation de Donatien Grau, conservateur au Musée d'Orsay, Sophie Calle retourne explorer les lieux pendant le temps suspendu du confinement. Elle traque ici les fantômes du Palais d'Orsay avec l'archéologue Jean-Paul Demoule, qui livre ici deux interprétations de cette archive, l'une scientifique et l'autre, imaginaire.
Depuis les années 1970, Samuel Fosso s'est affirmé comme un maître de l'autoportrait. Grave lorsqu'il incarne des héroïnes et héros panafricains dans sa série « African Spirits » ; flamboyant lorsqu'il détourne les codes de la mode occidentale pour rendre hommage à Tati ; sensible lorsqu'il se met à nu pour « Mémoire d'un ami » ; satirique lorsqu'il se transforme en Mao Zedong dans « Emperor of Africa »... Samuel Fosso se raconte à travers une myriade de personnages. Son oeuvre versatile bouscule les assignations identitaires dans une quête d'auto-représentation sans cesse renouvelée.
Qu'est-ce que je ressens, moi, décolonisé, quand je contemple une photo de cette époque, de ce passé qui, sur injonction, a été décrété contemporain-pour-toujours ? Qui suis-je dans ce miroir qui devrait me refléter, et qui cependant m'efface pour toujours au présent ?
Il me faut scruter les détails, objets, silhouettes, bosquets, magasins, automobiles, qui peuplent l'arrière-plan ; les ombres aussi. Je tente d'aileurs de faire irruption dans celui-ci. Je m'imagine réincarné en 1961 : debout dans un angle mort, penché à une fenêtre, traînant dans une rue d'Alger, jetant un regard anxieux sur une « roumia », crapahutant sur la colline pelée... J'invente ma propre possibilité de vivant à cette époque.
Raymond Depardon photographie ce qu'il voit à la jonction de ce qu'il ne voit pas. Je regarde ce que je ne vois pas, en croyant savoir ce que cela signifie. Son oeil dans ma main. Son corps est ma mémoire.
Ce qui m'intéresse chez le photographe, c'est son corps, son errance, son voyage : je me glisse en lui, j'épouse ses mouvements, son regard, sa culture, ses préjugés peut-être, mais aussi sa singularité. Errance de déclic en déclic.
Je deviens une monstrueuse et fascinante coïncidence. Une possibilité, même brève et limitée, d'omniscience.
Ne devrais-je pas, alors, éprouver un sentiment proche de la frayeur ?
En parcourant ces photos, arraché à mon millénaire, transporté vers un autre, je pourrais tressaillir violemment. Je pourrais hurler à la possession - hurler d'effroi et de gratitude.
« J'aime le soleil ; il n'y en a plus à Paris », aurait déclaré Helmut Newton à l'officier monégasque en charge d'instruire son dossier. Nous sommes en 1981, et c'est sur un trait d'humour que le photographe d'origine allemande arrive à Monte-Carlo, après vingt ans passés à Paris.
Son installation à Monaco n'a rien d'une retraite. Cette période est même une des plus prolifiques et, sans conteste, la plus libre de sa carrière. Il s'essaye ainsi au paysage et développe une de ses séries les plus personnelles, « Yellow Press », images étranges, d'un glamour inquiétant, inspirées de scènes de crimes.
Naturellement, Monaco offre à Newton un cadre original à ses photographies de mode. C'est là aussi qu'il réalise de très nombreux portraits de beautiful people. Ils ont pour noms David Bowie, Michael Cimino, Isabelle Huppert, Paloma Picasso, Robert Evans, etc. Il portraiture également les danseurs des Ballets de Monte-Carlo et la famille princière, notamment la princesse Caroline dont il est proche.
L'exposition « Newton, Riviera » laisse apparaître, d'image en image, un Newton solaire portant un regard à la fois ironique et fasciné sur un mode de vie élégant et facile, un monde d'apparences et de faux-semblants, dont il était à la fois l'acteur et le témoin privilégié.
Devenue une référence dans l'histoire du livre de photographie, la collection Photo Poche poursuit son travail de dévoilement des grands noms, courants et écoles de l'histoire de la photographie. Première collection de livres de photographie au format de poche, elle propose des ouvrages soigneusement imprimés, maniables par leur format, accessibles par leur prix, à tous ceux que passionne un moyen d'expression dont on reconnaît aujourd'hui l'importance. Ses différentes déclinaisons (histoire, société...) couvrent tous les champs de la photographie et constituent une iconographie d'une exceptionnelle richesse et diversité.
En cent quarante-quatre pages et soixante-quatre photographies reproduites en couleur et duotone, Photo Poche donne à voir l'essentiel d'une oeuvre de Nadar à Henri Cartier-Bresson, des pictorialistes aux grands noms du photoreportage. Les monographies des grands maîtres du médium alternent avec les sujets thématiques essentiels qui de La Nature morte au Nu déploient les différentes approches d'une esthétique du XIXe siècle à nos jours. Chaque titre est préfacé de manière didactique par un spécialiste du sujet abordé et enrichi de notices biographiques et bibliographiques régulièrement remises à jour.
Chez Raymond Depardon, photographies et films sont au service d'une écriture unique et d'une interrogation sur l'éthique, le rôle et l'essence du reportage.
Leurs oeuvres sont provocantes, radicales, poétiques ou ironiques... Présentant les travaux de 64 femmes artistes, ce livre dévoile comment, dans les années 1970, celles-ci ont repris contrôle de la représentation féminine dans la photographie, la vidéo et l'art de la performance.
Opérant un changement drastique dans la perception des femmes dans l'art, et à rebours de la projection traditionnelle des fantasmes masculins, ces artistes ont donné à voir une nouvelle « image de la femme ». L'ouvrage, à travers cinq thématiques phares (Femme au foyer/Mère/Épouse ; Enfermement/Évasion ; Dictat de la beauté/Corps féminin ; Sexualité féminine ; Identité/Jeu de rôle), présente ainsi une large variété d'oeuvres, qui tour à tour dénoncent le sexisme, les inégalités sociales ou les structures du patriarcat.
La conservatrice et fondatrice de la Collection Sammlung Verbund, Gabriele Schor, se réfère à ce moment charnière comme à l'« avant-garde féministe », soulignant le rôle pionnier joué par ces artistes qui ont rejeté ce qui avait toujours précédé. Donnant naissance à de nouveaux modes d'expression dans tous les domaines artistiques, celles-ci ont porté une voix émancipatrice qui continue encore aujourd'hui à inspirer la génération contemporaine.
Artistes présentées dans l'ouvrage : Helena Almeida, Sonia Andrade, Eleanor Antin, Anneke Barger, Lynda Benglis, Renate Bertlmann, Tomaso Binga, Dara Birnbaum, Marcella Campagnano, Judy Chicago, Veronika Dreier, Orshi Drozdik, Lili Dujourie, Mary Beth Edelson, Renate Eisenegger, VALIE EXPORT, Esther Ferrer, Marisa Gonzalez, Eulalia Grau, Barbara Hammer, Leeson Lynn Hershman, Alexis Hunter, Sanja Ivekovic, Birgit Ju¨rgenssen, Kirsten Justesen, Kutera Anna, Ketty La Rocca, Leslie Labowitz, Suzanne Lacy, Katalin Ladik, Suzy Lake, Natalia LL, Léa Lublin, Karin Mack, Ana Mendieta, Annette Messager, Rita Myers, Senga Nengudi, Lorraine O'Grady, ORLAN, Gina Pane, Ewa Partum, Friederike Pezold, Margot Pilz, Howardena Pindell, Angels Ribé, Ulrike Rosenbach, Martha Rosler, Brigitte Roth, Victoria Santa Cruz, Suzanne Santoro, Carolee Schneeman, Lydia Schouten, Elaine Shemilt, Cindy Sherman, Penny Slinger, Annegret Soltau, Gabriele Stötzer, Regina Vater, Marianne Wex, Wilke Hannah, Martha Wilson, Francesca Woodman, Nil Yalter.
Elle se tient là, couchée au pied de la falaise, présente et invisible, discrètement dominatrice.
Sa robe est mouchetée d'ivoire et de poussière.
Taches de nacre, ombres d'obsidienne, larmes d'or.
Le ciel et la terre, le jour et la nuit sont fondus dans son pelage.
On braque la lunette sur son corps mais l'oeil met un moment à le discerner.
L'esprit tarde à accepter ce qu'il n'attendait pas.
Le regard peine à voir ce qu'il ne connaît pas.
Notre raison, soudain, comprend que la bête se tient là, postée de pleine face.
Le paysage, par une étrange illusion d'optique, semble se résorber tout entier dans son corps.
Ce n'est plus la panthère qui est camouflée dans le paysage, mais le monde qui s'est incorporé à elle.
Sylvain Tesson.
Le photographe Vincent Munier nous entraîne sur les traces de la panthère des neiges. La trouver est un graal pour bien des voyageurs. Sa quête ensorcelle : il faut se briser les yeux sur la roche, sur la neige, sur le dos de chaque montagne pour espérer l'apercevoir. Et rencontrer, avec un peu de chance, les autres habitants du majestueux plateau tibétain : minuscules pikas, grands rapaces, renards du Tibet, rares yacks sauvages, étonnants chats de Pallas, troupeaux d'ânes kiangs...
Sylvain Tesson l'a accompagné dans son dernier périple et lui prête sa plume d'écrivain voyageur pour la première fois.
When it comes to foreign visitors or artists, North Korea must be the most restrictive country in the world. Nevertheless, Carl De Keyzer managed to cross the entire country in 42 days, divided into three journeys. In his latest book, Magnum photographer Carl De Keyzer points his lens at North Korea, officially the Democratic People's Republic of Korea, the last communist state in the world from an ideological, political and cultural perspective.
De Keyzer is one of very few photographers who get almost-unlimited access to the country. He photographed more than 200 different locations, many of which had never been captured on camera before. The 250 photos that form his 'Grand Tour' - taken on marches, at the shooting range, in the subway and in family homes - are a testament to this country's uniqueness.
Instagram est plus populaire que jamais. Chaque jour, la moitié du monde poste en moyenne 80 millions de nouvelles photos sur ce réseau social. Insta Grammar en fait une sélection.
Dans City, vous découvrirez les photos et les panoramas les plus originaux capturés dans les villes du monde entier. Le tout réuni dans un sympathique petit livre. Un vrai bijou !
Instagram est plus populaire que jamais. Chaque jour, la moitié du monde poste en moyenne 80 millions de nouvelles photos sur ce réseau social. Insta Grammar en fait une sélection.
Nordic vous emmène dans le Grand Nord à travers de magnifiques photos. Le tout réuni dans un sympathique petit livre. Un vrai bijou !
Instagram est plus populaire que jamais. Chaque jour, la moitié du monde poste en moyenne 80 millions de nouvelles photos sur ce réseau social.Insta Grammar en fait une sélection.
Inside the writing rooms of the greatest authors Where did Connie Palmen write Whatever You Say, Midas Dekkers The Way of All Flesh and Herman Brusselmans Fear of Water During Drowning? Writing rooms provides the answer through text and image, and allows readers a glimpse of the working environments of forty-five of the most illustrious names in Dutch and Flemish literature. Surprising, poetic, bibliophilic and occasionally demystifying... a literary photography book.
«Communes» est un essai photographique de Raymond Depardon sur les villages de l'arrière-pays méditerranéen. Ce nouveau livre rassemble la plus récente série de photographies de Raymond Depardon : les 80 photographies noir et blanc qui le composent ont été réalisées après le premier confinement, au cours de l'été 2020, au sud du Massif Central, dans les départements de l'Aveyron, de la Lozère, du Gard et de l'Hérault. L'ouvrage comprend un texte de Salomé Berlioux, présidente de l'association Chemins d'avenirs, première association qui accompagne dans leur parcours des milliers de jeunes issus de zones rurales.
L'écriture photographique de Klavdij Sluban, empreinte de références littéraires, installe une distance vis-à-vis de son sujet et de l'actualité immédiate. L'évènement est un prétexte : il traduit un moment qui reflète tant la réalité rencontrée que le sentiment de l'auteur. Toujours orienté vers l'Est, le photographe franco-slovène emplit de son regard des endroits désertés, voire inhabitables. Il exprime son point de vue avec une éthique artistique sans compassion ni complaisance. Ses images sont fortes car elles sont habitées.
Mathieu Pernot livre ici une nouvelle vision de l'exil où des « migrants » retrouvent leur identité et leur humanité. Une partie des oeuvres présentées sont en effet nées d'une collaboration directe avec les exilés eux-mêmes : un astrophysicien syrien reconstitue la voute céleste de son trajet, un botaniste commente les planches de botanique de végétaux du pourtour méditerranéen etc... À la grande diversité des documents (photos, cahiers, vidéos, gravures, dessins) viennent s'ajouter deux textes signés par des plumes de renom : l'historien de l'art Roland Recht et l'historien Patrick Boucheron.
En 18 chapitres, largement illustrés de photographies, l'auteur mène l'enquête pour percer le(s) secret(s) de la plus mystérieuse des femmes photographe, dont l'oeuvre fut découverte par hasard lors de l'achat d'un lot de photographies anonymes au cours d'une vente aux enchères.
Après le succès du film Finding Vivian Maier, réalisé par John Maloof qui a découvert cette photographe, Ann Marks a ressenti le besoin irrépressible de répondre à toutes les questions qu'il posait.
Formée à la généalogie, elle s'est lancée sur les traces de son héroïne, patiemment, en décortiquant avis de décès, livret militaire, certificats médicaux et en obtenant l'accès à l'ensemble de ses archives. Ann Marks est aujourd'hui la seule personne à avoir analysé 140 000 images de la photographe, mais aussi ses enregistrements sonores et vidéo, ses lettres et journaux intimes. Elle a également interviewé 60 personnes qui connaissaient Vivian Maier et sa famille et en a découvert une trentaine d'autres.
Résultat : cette biographie se dévore comme un polar. On y découvre notamment comment, contrairement aux idées reçues, Vivan Maier a tenté de s'établir comme photographe professionnelle. Ann Marks répond à la question qui hante tous les fans de la photographe : « Qui était-elle vraiment et pourquoi n'a-t-elle pas partagé ses photographies ? »
Étrange de se demander ce que font mes proches au moment même où je les prends en photo depuis l'espace... C'est sous un angle délibérément artistique que Thomas Pesquet a souhaité envisager ce beau livre. En effet, au-delà de sa mission scientifique, c'est un artiste d'une rare sensibilité qui s'est révélé au grand public 6 mois durant. Un photographe hors pair. Le sujet, lui, ne s'était encore jamais montré à la fois si distant et si proche, riche de tant de nuances. La Terre, notre planète, notre fragile et ultime bien commun, comme une femme coquette s'est dévoilée au fil des jours sous de très multiples atours : d'étendues désertiques en parcelles cultivées par l'homme, d'îles émergeant de mers azuréennes en mégalopoles parées de leurs éclats nocturnes ; nous sommes restés saisis par l'infinie variété de ses reliefs, l'étendue de sa palette de couleurs. Sous l'oeil de Thomas Pesquet, la Terre n'était plus seulement une oeuvre d'art, elle était le chef-d'oeuvre absolu.
TERRE(S), donc, tant elle apparaît plurielle, tour à tour minérale et végétale, aride et aquatique, sauvage et domestiquée, déserte et surpeuplée.
Inclassables paysages surgis au fil de la mission Proxima et desquels l'ouvrage conserve l'ordre chronologique, plus propice que tout vain classement thématique à la restitution de cette impression de variété.
Mais aussi la façon la plus fidèle de conserver, jour après jour, heure après heure, le périple de l'ISS tel que l'ont suivi des millions d'internautes !
Un livre unique !
Et parce que Thomas représentait aussi nos couleurs, 3 jaquettes différentes seront proposées en librairie :
Une bleue, une blanche, une rouge !
Une grâce absolue se dégage de ce nouvel opus consacré à Saul Leiter, maître de la photographie couleur. Ce nouveau volet prolonge l'émotion du premier, "All about Saul Leiter", déjà réimprimé deux fois. Un prix très accessible pour un "petit beau-livre" généreux en images : 250 reproductions.
À travers plus de 250 images, ce livre propose une histoire ambitieuse du portrait en photographie du daguerréotype à l'ère du numérique. Le corpus remarquable inclut les plus grands photographes : Man Ray, Diane Arbus, Cindy Sherman, Todd Hido, Zanele Muholi... Un livre de référence sur un thème aussi recherché qu'absent des rayons des librairies signé de Phillip Prodger, directeur de la photographie à la National Portrait Gallery de Londres.
Toujours en activité à 96 ans, Sabine Weiss a contribué de manière majeure au courant de la photographie humaniste française, qui rassemble des photographes comme Robert Doisneau, Willy Ronis ou encore Brassaï. Le goût de la rencontre, le souci de la technique et une curiosité vive et constante pour l'observation des gens - anonymes ou personnalités publiques - apparaissent comme les fils conducteurs d'une oeuvre très diverse.
À quoi ressemblerait la terre si l'homme disparaissait subitement ?
Romain Veillon parcourt le monde pour photographier les lieux abandonnés. Il montre et détaille comment ils se dégradent et pourrissent, retournant petit à petit à la nature. Ces images fascinent comme les grands tableaux de ruines du XVIIIe siècle car elles reflètent notre propre finitude et la fragilité de nos civilisations, rappelant ainsi la nécessité d'une vie harmonieuse avec notre habitat, qui ne pourra résister longtemps à la pression écologique que l'Homme lui fait subir.
Un texte très documenté accompagne les trois grandes parties du livre - 1. Au commencement, l'abandon / 2. Le pourrissement s'installe / 3. La nature reprend le dessus -, décrivant de manière très précise, sur la base des études les plus récentes, ce que deviendrait le monde... « sans nous ».
« Vive l'éternel retour ! Vive le Green Urbex !
Il y a bien une vie après la mort : les pissenlits. ».
Sylvain TESSON