Au sommaire de ce numéro :
- Vous passerez derrière le petit écran, dans la cuisine interne des téléréalités japonaises destinées à trouver le grand amour.
- Peut-on encore trouver l'amour passé 70 ans ?
- Vous comprendrez comment les relations affectives dans les espaces virtuels défient les normes de genre et les carcans sociaux.
- Vous infiltrerez les groupes d'incels japonais, ces « célibataires involontaires » qui refusent la masculinité normative.
- Vous vivrez une date à la japonaise comme si vous y étiez.
Sans oublier :
- Ryoko Sekiguchi inaugure une nouvelle chronique littéraire et poétique qui décortique les mots-valises japonais.
- Nous vous embarquons dans le monde feutré des Jazz Kissa, ces cafés d'audiophiles où chaque décibel compte.
- À Bizen, le céramiste Hiroshi Toyofuku joue avec le feu et les émaux pour se forger un style qui transcende la tradition.
- Alissa Descotes-Toyosaki a rencontré un ancien membre des chicanos japonais, entre guerre de gangs et case prison.
- Le pianiste et compositeur Keiichiro Shibuya s'est confié à Tempura le temps d'un entretien inédit.
Dans l'intimité du phare de Cordouan Le phare de Cordouan protège les marins des dangers de l'estuaire de la Gironde depuis plus de quatre siècles. Soumis à la violence des éléments, il est aujourd'hui entièrement restauré, au terme de 10 années d'un chantier colossal. Après la reconstruction, en 2005, d'une cuirasse en béton armé à l'extérieur du bâtiment annulaire abritant les locaux techniques et le logement des gardiens, les dernières années ont été consacrées à la tour centrale et à la restauration des intérieurs. Les équipes ont mené un important travail de préservation des pierres dégradées par le sel tandis que dans la chapelle, les couches de peinture à l'huile qui étouffaient les murs ont été retirées.
Construit au XIXe siècle sur les ruines d'un ancien hôpital, le château Descas a d'abord été dédié au commerce du vin. Son propriétaire, Jean Descas, vendait des vins aux marchés français, des produits abordables plutôt que des bouteilles destinées aux élites et à l'export. Ainsi le château a-t-il accueilli jusqu'à 1,5 million de bouteilles. En 1979, la famille Descas quitte les lieux. Cabaret, club puis bar à cocktails, l'histoire du château a connu de nombreux épisodes. Le dernier en date, le Point Rouge, offre au visiteur l'opportunité de découvrir une partie de l'aile droite tandis que le reste des 10 000 m2 attendent de pouvoir ouvrir au public.
L'invraisemblable construction de Fort Boyard Devenu le fort le plus célèbre de France grâce à l'ingéniosité de ses bâtisseurs et l'imagination d'hommes de télévision, son incroyable histoire est finalement peu connue. 66 000 m3 de moellons furent nécessaires à en créer la base sous Napoléon Ier. Mitraillé par les Anglais, le chantier reprit finalement en 1842, mais de nombreuses difficultés durent encore être résolues : l'approche par bateau demeurait notamment plus que périlleuse. Terminé sous Louis-Philippe, le fort renaîtra bien plus tard, dans les années 1960, grâce au cinéma puis au petit écran et à l'intuition de Jacques Antoine. En 32 ans, plus de 350 émissions y ont été tournées et 70 pays en ont diffusé les épisodes ou des répliques tournées à l'étranger, où le fort est presque aussi connu que la Tour Eiffel.
Sur la passerelle d'Holzarte Entre la France et l'Espagne, dans l'arrière Pays Basque, la Haute-Soule déploie ses paysages de forêts, de pâturages, de rivières et de gorges vertigineuses. La commune de Larrau y abrite un site particulièrement spectaculaire : celui des gorges d'Olhadubi traversées par la passerelle d'Holzarte, longue de 70 m et suspendue à 180 m au-dessus du sol. L'histoire de la passerelle remonte à 1920. Jusqu'alors, les bûcherons et les ouvriers du bois devaient contourner les gorges pour acheminer les troncs d'arbres à travers la vallée. Traversée par les hommes et leurs mulets chargés de bois, elle facilita toute l'activité de la filière, avant d'être prisée des contrebandiers cherchant un passage entre la Fr
Avec le tout nouveau guide Québec L'Essentiel, l'équipe de Québec le Mag' partage ses adresses préférées et ses conseils d'experts pour des vacances réussies au Québec.
52 thématiques, une sélection par saison pour le thème nature et plein air, et pour chaque catégorie, 5 coups de coeur vécus : des randonnées en raquettes à ne pas manquer, aux tops des excursions en traîneaux à chiens, au « musts » des chalets, des hôtels urbains et autres hébergements insolites, en passant par les spas, les croisières aux baleines, les îles du Saint-Laurent, les musées et sites autochtones, les microbrasseries, les vols en hydravion... En prime, une belle sélection de circuits, des hors-tops, les infos essentielles et notre touche personnelle, soit 260 adresses essentielles à glisser dans le carnet de voyage !
Tout pour se « déconfiner » vraiment les sens, respirer, se reconnecter à la nature et aux humains !
Les rédacteurs de Québec L'Essentiel ont longtemps partagé leurs découvertes sur les pages du magazine trimestriel Québec Le Mag' avant de développer le média en ligne quebeclemag.com. Un travail à quatre mains très complémentaires : deux mains françaises et deux mains québécoises, deux regards cousins sur la destination qui cumulent à eux deux plus de 40 ans de découvertes en tant que journalistes et auteurs spécialisés sur le Québec.
Réalisé par les meilleurs artistes de l'époque (Le Vau, Le Brun et Le Nôtre) et destiné au Roi-Soleil, Versailles est le symbole du rayonnement français. La pierre, le marbre, la peinture servent tous à magnifier la « personnalité royale », de Louis XIV à Marie-Antoinette.
Le hors série Terres Insulaires est une invitation à la découverte de la revue îL(e)s et des univers si particuliers que sont les îles du Ponant.
Du Médoc aux Graves, en passant par le Pessac-Léognan jusqu'au Sauternais, cette route des châteaux vous dévoile un patrimoine oenotouristique et architectural exceptionnel avec ses propriétés viticoles, châteaux et demeures anciennes, enrichi récemment de chais contemporains signés de grands noms de l'architecture.
Le Festin vous propose ici un véritable guide à travers l'histoire, les appellations et les grands crus de la rive gauche. Chaque château s'accompagne d'un focus sur le vin produit et des conseils sur les sites d'intérêt patrimonial avoisinants. Il sera suivi en octobre 2019 par un hors-série consacré au patrimoine viticole de la rive droite.
Un tour d'horizon en 101 châteaux à (re)découvrir sans modération !
Au sommaire de ce numéro :
Rencontre : La route du futur, selon Marc Atallah de la Maison d'Ailleurs Focus : Le domaine des jeux vidéo investit l'univers de la route Avenir : Mythologie La Route de Cormac McCarthy Mythe : La Route de Cormac McCarthy Dans le rétro : Halliburton, en éléphant à travers les Alpes Marquage : Harley et les femmes Road trip : Alaska, The Top of the World Highway Carnet de route : l'actu du bitume Fiction : Une nouvelle originale de Fanny Desarzens, illustrée par Maeva Rubli
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
L'exploration a longtemps été une affaire de drapeau. à chaque retour au pays, on réservait à ces aventuriers accueils triomphaux et légions d'honneur pas forcément pour les meilleures raisons. «?Parmi tous les voyageurs qui ont parcouru la Haute-Asie, nombreux sont ceux qui ont vu leur récit controversé, leur entreprise condamnée : entre exploration et espionnage, archéologie et pillage, ethnologie et colonialisme, la frontière est souvent ténue?», écrit ainsi Louis-Marie Blanchard dans Les Explorateurs du toit du monde (Ed. La Martinière, 2010), parti sur les traces de Gabriel Bonvalot, chef de caravane téméraire et infréquentable.
Quel que soit le pédigrée de ces aventuriers d'antan, la fascination qu'exerce leurs expéditions a traversé les années. Ils sont nombreux les voyageurs du XXIe siècle à mettre leurs pas dans ceux de ces explorateurs. A l'origine de ces quêtes, il y a souvent un livre, une photo ou une rencontre. Me concernant, c'est cette image en noir et blanc de Paul Nadar, représentant un marché aux chevaux devant la mosquée en ruine de Bibi Khanoum à Samarcande. Et peu importe que la traversée du miroir ne soit pas toujours à la hauteur du rêve nourri par les vieux récits. L'essentiel, ce sont les jalons que l'on pose pour plus tard.
Constantin de Slizewicz a consacré une partie de sa vie à cette quête d'horizons perdus. Désireux de faire survivre le caractère romanesque des épopées d'antan, il a emboîté le pas de la caravane de Liotard et Guibaut, explorateurs de la première moitié du XXe siècle, partis chercher le mythe de Shangri-la sur les contreforts du Tibet.
Lors d'un périple entre Tripoli et Tombouctou, Vivi Navarro a écouté les histoires de son guide, qui l'ont invitée à suivre les pas d'Heinrich Barth, explorateur du Sahara au XIXe. A Tanger, Joël Alessandra a découvert, et ne l'a plus jamais quitté, le destin d'Ibn Battûta, voyageur hors norme du Moyen-Age négligé par la postérité. La vie d'Eliott Schonfeld a été bouleversée à jamais dans une librairie parisienne, quand son regard s'est arrêté sur Aventures en Guyane, de Raymond Maufrais, jeune aventurier français disparu en 1949 dans la forêt d'Amazonie. Parti sur ses traces pour achever son rêve, il a bien failli y laisser sa peau.
Que racontent ces explorations contemporaines alors que les GPS ont achevé de quadriller la planète?? Elles permettent de partager auprès du plus grand nombre les signes d'un monde en perpétuel changement où l'on devine l'évolution de la géographie et de ceux qui l'habitent. Avant d'être une quête intime d'aventure, elles sont aussi une nécessité scientifique : il faut des explorateurs pour scruter les déserts ou les glaciers d'Islande.
« L'exploration n'est pas morte, s'exclamait sur France Inter Olivier Archambeau, président de la Société des explorateurs français. Il n'y a plus d'Australie à découvrir, mais il y a des territoires qui redeviennent inconnus, des zones grises ou personne ne sait vraiment ce qu'il se passe?». Pierre-Antoine Guillotel ne savait pas très bien ce qu'il allait trouver au centre de l'Islande, qu'il a entrepris de traverser à la fin de l'année 2020. Seul, pendant 144 jours, il a écouté les souffrances de son corps et le souffle de la terre. C'est en voyageant que l'on prend conscience de sa fragilité et de celle de la planète.
William Mauxion
Au programme de ce numéro estival : Partirez à la rencontre des Bosozoku, les groupes de motards japonais à Osaka, entre violence et fraternité. Jake Adelstein revient sur sa carrière d'enquêteur criminelle le temps d'un entretien exclusif et sans tabous. Vous explorerez le passé trouble des « femmes de réconfort », que l'histoire tente d'effacer. Vous rencontrerez Satoru Takegaki, ex-yakuza repenti devenu star d'Instagram. Guillaume Loiret a enquêté sur les vols historiques de tableaux de maîtres... toujours exposés dans les grands musées du Japon. Yuta Yagishita s'est entretenu avec l'un des derniers membres de l'Armée rouge japonaise. Vous comprendrez pourquoi la petite délinquance ne concerne pas que les jeunes... Et pour couronner le tout, vous retrouverez des chroniques, reportages et portraits qui font notre marque de fabrique !
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
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