C'est en 1998, avec The Art of Pleasure, que TASCHEN a fait découvrir au monde l'art remarquable de Touko Laaksonen. Avant cela, Laaksonen, alias Tom of Finland, artiste culte de la communauté gay internationale, était pratiquement inconnu du grand public. En 2009, TASCHEN poursuit l'entreprise avec l'ouvrage ultime retraçant l'oeuvre de Tom, Tom of Finland XXL, une magnifique édition collector grand format réunissant plus de 1.000 illustrations et couvrant 60 ans de carrière de l'artiste. Son oeuvre a été réuni avec l'aide de la Tom of Finland Foundation, à partir de collections conservées aux États-Unis et en Europe, et comporte de nombreux dessins, peintures et études préparatoires qui n'avaient encore jamais été publiés. D'autres n'avaient jusqu'alors été vus qu'isolément et sont montrés ici dans l'ordre séquentiel prévu par Tom, gagnant ainsi toute leur valeur artistique et leur charge érotique. Cet élégant volume grand format présente toute l'étendue du talent de Tom, de ses portraits sensibles à ses descriptions explicites du plaisir sexuel et à ses hommages pleins de tendresse rendus aux jeunes hommes emportés par le sida, et il inclut, en complément, huit essais écrits pour l'occasion par Camille Paglia, John Waters, Armistead Maupin, Todd Oldham, entre autres, qui reviennent sur l'influence sociale et personnelle de Tom, ainsi qu'une étude approfondie de ses dessins par l'historien d'art Edward Lucie-Smith. Jusqu'à maintenant, la seule chose qui manquait à Tom of Finland XXL était un prix accessible au plus grand nombre. Le nouveau Tom of Finland XXL est toujours aussi gros, fera autant travailler vos biceps et reprend tout du contenu original, mais ne coûte qu'une fraction du prix d'origine. Il vous souhaite la bienvenue.
Through blood, sweat, tears, and writhing, bikini-clad bodies, this book compiles the best images of Theo Ehret, an unsung giant of sports photography. From the mid-1960s through the early 1980s, Ehret chronicled the matches at the Grand Olympic Auditorium in L.A., as well as the erotic sub-genre of «apartment wrestling.» Through the weigh-ins, the injuries, the backstage brawls, and the captivated crowds, Ehret's images capture all the action and the atmosphere of the Grand Olympic Auditorium, where the likes of Andre the Giant, Killer Kowalski, The Sheik, Gordman and Goliath, and Jesse «The Body» all punched their way to stardom. Alongside the Grand Olympic shots are the dramatic apartment wrestling images, a male fantasy phenomenon of bare breasts and buttocks, long, strong limbs and staged passions.
An interview with Ehret adds his personal commentary to both sides of the wrestling scene, the legends he met along the way, and the interplay of fantasy, reality, and photography.
New York Girls, dont la première parution remonte à 1995 et que TASCHEN a édité en 1996, caractérisait une époque, un lieu et l'esthétique crue du photographe et réalisateur Richard Kern. Figure majeure du cinéma transgressif des années 1980, Kern a réalisé les films emblématiques You Killed Me First, Fingered et Submit to Me Now. Il a également dirigé le clip de Death Valley 69 du groupe Sonic Youth et de Lunchbox de Marylin Manson, et fut l'éditeur des fanzines pionniers The Heroin Addict et The Valium Addict.
Après s'être débarrassé de son addiction à l'héroïne, Kern s'est tourné vers la photographie posée, prenant pour modèles les filles de son quartier et de son cercle de connaissances new-yorkais influencé par le mouvement punk. Elles apparaissent nues, voluptueuses, montrent leurs tatouages, leurs piercings, et posent avec désinvolture dans des tenues plus que légères, la plupart du temps dans l'appartement miteux de Kern. Les « Girls » étaient jeunes, mais pas innocentes, pleinement complices des scènes de bondage, des poses l'arme à la main et des fameuses « introductions » de bougies. En guise de texte, l'ouvrage proposait une interview de Kern par Kim Gordon. Cette série précédait SuicideGirls de six ans et était déjà totalement, infiniment cool.
Pour célébrer le 20ème anniversaire de l'oeuvre le plus connue de Kern, TASCHEN fait paraître une édition mise à jour, enrichie de photos jamais publiées auparavant et puisées dans les séances originales, ainsi que des clichés refusés pour le premier livre car jugés trop crus et des instantanés tirés de ses 25 films. Monica, Erin, Jaiko, Jen, Susan, Amy et Sam vous manquaient? On a pensé que vous aimeriez les revoir encore un peu.
The title means «the little death,» a euphemism for orgasm, but the women who exuberantly masturbate for Toronto photographer Will Santillo in this book are as lively a bunch as you'll ever meet. Santillo conceived the project eight years ago to include a thorough cross section of women: young to old, slim to thick, perfect beauties to those not considered beautiful until seen through his lens. The one constant would be that each would decide and direct how she masturbated to climax while he captured the moment.
From previous projects with amateur subjects Santillo had come to believe that masturbation is a far more personal act than most sex play because it is conducted almost exclusively in private. He set out to reveal the diversity and creativity with which women approach self-stimulation, and to portray the beauty of ordinary women in the throes of orgasm-a beauty far richer than the male oriented depictions seen in pornography. Santillo says he seeks to uncover the hidden face of his subjects, and indeed, it's the faces that best show the intensity of response in these artfully explicit photos.
Framing these lush, sepia-toned pictures are Dian Hanson's interviews with 37 of Santillo' models. Their candid insights discuss overcoming inhibition, giving in to exhibitionism, and achieving orgasm in front of a stranger with a camera. For all who are curious about just what the woman next door-or one's own wife-gets up to in her private moments, La Petite Mort is a breath of life.