"De Leuctres à Massada, de Cannes à Gaugamèles, Hugues Perot et Gilles Haberey nous plongent au coeur de six batailles emblématiques de l'Antiquité.
A travers elles, découvrez comment ces chefs ont inventé, il y a deux millémaires, l'art moderne de la guerre...
Grâce à un récit très vivant, de superbes illustrations, des cartes inédites, mais également de nombreux encarts, percez les secrets des plus grands chefs de l'Antiquité."
"Savez-vous qui sont les vieux de la vieillle ? Et les affreux de la Sorbonne ? Connaissez-vous la mitrailleuse à vapeur, le fusil à vent, la rose de Maginot ? Voulez-vous découvrir l'histoire de René-le-con, ce résistant qui a permis aux alliés de débarquer ? Et celle de François de Civille, trois fois ressuscités ? Ou celle de ces redoutables crocodiles de l'armée britannique ?
Sur un ton léger, mais avec précision et rigueur, vous découvrirez toutes ces incroyables histoires et 1001 autres anecdotes militaires dans Drôles de guerres. Vous trouverez dans cette véritable mine d'informations non seulement de quoi alimenter de brillantes conversations, mais aussi les moyens d'approfondir votre culture historique et militaire, tout autant que matière à sourire et même à rire !"
Fruit de vingt années de travail, cet ouvrage analyse de façon systémique la Grande Armée : la première partie décrit de façon détaillée l'outil militaire organisé pour mettre en oeuvre les principes d'action retenus par l'Empereur aux niveaux opératif et tactique. L'étude va des structures de commandement aux unités élémentaires, en passant par les pions de manoeuvre (corps d'armée et divisions) et les éléments spécialisés (réserve de cavalerie, grand parc). La seconde partie est composée de fiches thématiques (effets du feu, organisation des différentes armes, logistique, organigrammes...) mêlant paragraphes de synthèse et données chiffrées détaillées. Un effort particulier de présentation des logiques d'interdépendance et de cohérence entre les diverses entités composant la Grande Armée permet d'offrir une sorte de manuel des forces napoléoniennes. Volontairement accessible aux profanes de la chose militaire, l'ouvrage vise à combler un vide des études historiques en ce domaine.
De juillet 1870 à juin 1871, le fusilier Fritz Fischer est en campagne : il se bat plusieurs fois, marche beaucoup et découvre un pays : la France ! 2 500 km à pied, une centaine de cantonnements différents, les uns le temps d'une nuit, d'autres interminables comme les deux mois passées dans la boue devant Metz, de grandes batailles ( Gravelotte, Orléans... ) et des escarmouches, des contacts rugueux ou amicaux avec les civils, les bons camarades et les pleutres, les conflits avec la hiérarchie, les chefs respectés et les officiers incompétents, autant d'occasions de multiplier les anecdotes...
En 1895, à partir des notes prises au jour le jour et des lettres envoyées à ses proches, le fusilier Fritz Fischer du régiment brandebourgeois n° 36 a reconstitué l'intégralité de sa campagne de France. Dans l'avant-propos il précise n'avoir pas du tout « songé à enjoliver ou à déformer quoi que ce soit, voire à attirer l'attention sur sa propre personne. » Ce dernier point est un petit mensonge, car notre homme a quelque tendance à fanfaronner, mais cela en fait un narrateur attachant et souvent drôle, qui nous fait vivre de l'intérieur et dans le camp des vainqueurs, cette guerre oubliée.
"De Geronimo à Rommel, de Napoléon à Giap, découvrez les 100 plus grands tacticiens de l'Histoire. Ces chefs extraordinaires capables, sur le champs de bataille, de renverser la situation et d'écrire l'Histoire. Réalisé sous l'égide de l'école de guerre - Terre, cet ouvrage réunit pour la première fois les 100 plus redoutables tacticiens. 4 pages illustrées (carte, tableau, portraits...) sont consacrées à chacun d'entre eux. Vous comprendez enfin pourquoi, des siècles après leurs disparitions, on se souvient encore des noms : Hannibal, Du Guesclin, ou Subotaï...
Au travers de deux doubles pages par tacticiens, l'Ecole de guerre - Terre présente conjointement les stratégies ainsi que leurs auteurs.
Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui jetèrent les bases d'une nouvelle arme au début de la Première Guerre mondiale : le camouflage. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, revivez l'invention du camouflage moderne et l'art de la dissimulation en 1914-1918.
Terrorisme, guerres civiles, insurrections, les guerres irrégulières semblent interminables. Elles font chaque jour l'actualité et font bien souvent davantage de morts que les guerres régulières entre États.
Après "L'ultime champ de bataille" sur la guerre en ville (avec Fréderic Chamaud en 2016) et "Triangle Tactique" (en 2019) sur la guerre conventionnelle, Pierre Santoni nous propose un nouvel essai pour conclure une véritable trilogie consacrée à l'histoire militaire et aux leçons de la tactique. Il s'intéresse ici aux aspects militaires et tactiques des guerres dites irrégulières. Comme à chaque fois, il cherche à expliquer de manière pédagogique ces affrontements afin de mettre en lumière leurs caractéristiques militaires fondamentales pour permettre une meilleure connaissance de ces guerres trop souvent réduits à quelques images stéréotypées.
Cette analyse inédite des guerres irrégulières s'appuie sur une réflexion approfondie et une documentation importante mais aussi sur l'expérience personnelle de l'auteur qui a participé à de nombreuses opérations extérieures. C'est après "L'Ultime champ de bataille" et "Triangle tactique", un troisième volet tout aussi passionnant d'une trilogie porteuse d'un éclairage pertinent sur les guerres contemporaines.
Abordant des conflits peu connus du public français et revisitant avec un oeil nouveau des affrontements plus célèbres, Pierre Santoni décrypte pour nous ces « guerres infinies ».
Surnommé le Vauban de Napoléon, Marescot fut, de 1800 à 1808 - date de sa chute spectaculaire - un lointain successeur du maréchal de Louis XIV, comme lui à la tête du Génie et des fortifications. Il a contribué à nombre des célèbres victoires de son chef, mais dans l'ombre. Il est aussi le grand « fortificateur » de l'Empire français.
Au sommet de la hiérarchie militaire et de la haute société impériale, il est un des supports du trône, sans être un proche de Napoléon. Mais rendu coupable de la catastrophe de Baylen en 1808, il est dégradé, humilié et paye sa prétendue faute de quatre ans de prison sans jugement.
Après la chute de Napoléon, il entame une carrière de libéral et devient pair de France sous la Restauration, jusqu'à sa mort en 1832.
Une telle existence chahutée, dramatiquement romantique, illustre ce que fut la vie de tant de jeunes officiers depuis les Lumières jusqu'aux premiers moments du « roi bourgeois » Louis-Philippe. Une époque terrible. L'Histoire roulait alors un train d'enfer. C'est aussi un des intérêts de cette biographie singulière que d'éclairer ce moment si particulier de notre histoire.
« Les sentinelles oubliées », ce sont ces hommes qui ont assuré, de 1947 à 1991, des missions de renseignement particulièrement risquées derrière le rideau de fer. Roland Pietrini était l'un d'entre eux. Il révèle les méthodes utilisées par la Mission militaire française de liaison près du haut commandement soviétique en Allemagne et par les postes militaires en ambassade. Son récit fait découvrir le quotidien de ces sentinelles oubliées, ces militaires opérant au coeur des pays alors ennemis : ceux du pacte de Varsovie. Experts du renseignement, ils sillonnaient ces territoires et observaient tout : les mouvements des troupes, l'arrivée de nouveaux matériels, toute activité inhabituelle sur les bases militaires... Et ces missions n'étaient pas sans risque. Ils étaient pourchassés par le KGB et furent souvent pris pour cible.
« Attendez ici - terminé. » résonne comme un ordre reçu à la radio.
Ce récit, inspiré de faits réels, retrace le quotidien de soldats japonais qui n'ont pas su que la Seconde Guerre mondiale était finie. Les derniers d'entre eux ont combattu dans la jungle de l'Asie du sud-est jusqu'en 1972 et se sont rendus en 1974. Hermétiques à la propagande américaine, ces soldats voient au contraire leurs convictions renforcées par les tentatives de conciliation et poursuivent leur mission de renseignement durant 30 ans.
Enrichi de l'expérience de l'auteur (du combat, de la troupe, de la jungle et de la culture japonaise), ce texte plonge le lecteur dans le quotidien de ces soldats en faisant ressortir leurs doutes, leurs peurs, leurs espoirs, la solitude de leur chef et leur amour les uns pour les autres.
Cet ouvrage vous donnera toutes les clés pour mener votre propre enquête et retrouver votre ancêtre : vous découvrirez, grâce à lui, s'il s'est battu à Verdun ou dans la Marne, s'il a été blessé ou tué dans les tranchées, s'il a participé à des actions héroïques, s'il a été décoré ; et mille autres informations passionnantes... Et vous retrouverez peut-être même des archives plus intimes : elles vous permettront de savoir comment votre aïeul a vécu la guerre, ce qu'il a pensé et ce qu'il a ressenti...
Partez sur les traces de votre ancêtre et découvrez qui était cet aïeul qui s'est battu en 1914-1918 !
Les mémoires inédites d'un artilleur de marine de Napoléon !
Pierre-François Le Maire s'engage en 1805. Après deux années passées à Rochefort à défendre les côtes, il est nommé sergent et embarque à bord de la Flore, qui le conduit en Méditerranée pour faire la course aux forceurs de blocus. En 1809, la Flore est envoyée en station à Corfou puis en 1811 prend part à la désastreuse bataille de Lissa avant de faire naufrage au large de Venise.
Sauvé de justesse, Le Maire rejoint Cherbourg. À peine nommé officier, il est affecté à l'armée d'Allemagne au début de 1813, combat à Lützen, Bautzen, Dresde, où il est fait prisonnier. Libéré, il rejoint Rochefort. Pendant les Cent-Jours, il combat les Vendéens. Mis en demi-solde, il végète à Paris jusqu'en 1817 quand il est rappelé et gagne Toulon. Il mène une vie sédentaire sans attrait et, après un dernier embarquement qui lui fait entrevoir la nouvelle mission coloniale de son arme, il est mis à la retraite. Peu après, il devient conservateur de la bibliothèque du port.
Ses mémoires mêlent l'évocation de ses combats, le récit de ses amours multiples et la description des pays et des populations qu'il visite. Ses souvenirs inédits font, pour la première fois, découvrir la vie d'un artilleur de marine du Premier Empire.
Né à Paris en 1938, Jean-Baptiste Ferracci a vécu la fin de la Seconde Guerre mondiale dans la capitale, traversant dans son enfance des événements qui l'ont endurci. Fin 1957, il réussit à entrer dans la presse quotidienne comme reporter-photographe au journal L'Aurore. Il couvre alors, entre faits divers et sujets magazines, les grands événements qui bouleversèrent la vie politique française en 1958 : chute de la IVe République et arrivée au pouvoir du général de Gaulle, avec une obsession : être là pour « faire la une ».
En janvier 1959, il est appelé sous les drapeaux au 1er Choc à Calvi. Arrivé en Algérie en juin, il participe à des opérations dans le Hodna et à la frontière tunisienne. Affecté en septembre comme reporter à l'hebdomadaire des forces armées Bled, il couvre les « événements d'Algérie » sur le terrain comme en ville où, à Alger, il frôle la mort lors de la fusillade des barricades, le 24 janvier 1960. Aux côtés de nos soldats, d'unité en unité ou lors d'opérations dont il nous livre le récit, il parcourt toute l'Algérie, s'attache à ce pays qu'il quitte en catastrophe, libéré de ses obligations militaires lors du putsch des généraux, fin avril 1961.
Il reprend alors son job de reporter dans la grande presse pour, au coeur d'une actualité ordinaire, couvrir notamment les émeutes qui ensanglantent Paris, les actions violentes de l'OAS, les grands procès des généraux et des « militaires perdus ». Après les accords d'Évian en mars 1962, son journal le renvoie en Algérie pour rendre compte des drames inimaginables qui ont suivi le cessez-le-feu : bouclage de Bab-el-Oued, fusillade de la rue d'Isly, exode tragique des Français d'Algérie, curée anti-européenne du 5 juillet à Oran, massacre des harkis.
Cette chronique vivante d'une époque mouvementée, qui prend parfois des allures de roman, offre au lecteur un point de vue unique : celui d'un jeune reporter, civil et militaire, dont on découvre la vie quotidienne au coeur d'événements que les générations qui ne les ont pas vécus découvriront soixante ans après. Ceux qui les ont traversés douloureusement s'y retrouveront.
Première armée moderne, l'armée romaine a jeté les bases du combat interarmes et a donné naissance aux fonctions opérationnelles telles que nous les connaissons encore aujourd'hui : infanterie, cavalerie, génie, artillerie, renseignement ou encore logistique... Elle est déjà dotée d'un armement et d'un équipement standardisés et possède une doctrine bien rodée.
Plus remarquable encore : les généraux romains ont développé une pensée logique, fruit d'une longue expérience et ont mis en oeuvre des schémas stratégiques et tactiques dont la pérennité ne peut que frapper le lecteur contemporain. Les exemples et les principes de ces soldats antiques permettent encore au XXIe siècle de guider les pas d'un jeune officier et d'irriguer sa pensée.
Écrit par le général Richoux, officier et spécialiste de l'Antiquité, cet essai original vous fera découvrir toute la modernité de ce redoutable outil militaire, vieux de deux millénaires.
Découvrez l'art de la guerre au Moyen Age à travers six batailles emblématiques, grâce à un récit très vivant, de nombreux encadrés, des illustrations superbes et des cartes inédites.
Charles Nungesser? Le pilote parti pour traverser l?Atlantique en avion avec son camarade Coli, et qui n?est jamais arrivé? Une aventure extraordinaire qui, en 2021, un siècle plus tard, n?a toujours pas trouvé de solutions. Patrick de Gmeline nous peint un portrait détaillé de cet homme et de ce pilote à la carrière extraordinaire : avec trente citations sur sa Croix de guerre, dont 28 palmes et 2 étoiles de vermeil, il est le militaire le plus décoré de toute l'armée française au XXe siècle.
Ce fils de boucher, as de la Première Guerre mondiale, devient, après la guerre, un des Français les plus populaires au monde. Il fonde une école de pilotage et participe à de nombreuses démonstrations aériennes en Europe et aux États-Unis. Il est même le héros d?un film hollywoodien « Le Vainqueur du ciel » et tente en 1927 d'?être le premier à rallier New York par les airs? Sa disparition tragique le fait définitivement entrer dans la légende de l?aéronautique.
Au-delà d?une biographie, il s?agit d?un album photographique unique en son genre réunissant plus de photographies rares ou inédites. En s?appuyant sur les formidables collections du musée de l?air et de l?espace, Patrick de Gmeline fait découvrir les milles vies de Charles Nungesser, l?un des plus grands héros de l?'aéronautique.
« Ces chroniques trouvent leur origine dans des notes, rédigées à l'attention des candidats à l'École de guerre que je devais préparer à ce difficile concours.
Leur bagage de culture militaire s'était un peu étiolé au cours de leurs engagements en opérations extérieures ou lors de leurs affectations en métropole, où leurs centres d'intérêt étaient beaucoup plus prosaïques.
C'est ainsi que, de fil en aiguille, les sujets se sont multipliés, passant de simples rappels historiques à l'illustration de principes tactiques ou à celle de conceptions stratégiques.
Outre leur but didactique, ces chroniques en visent un autre : contrebattre certaines idées toutes faites, qui prospèrent depuis des lustres, sans avoir jamais été remises en cause... » Claude Franc Initialement destinées aux candidats à l'École de guerre, ainsi qu'aux lecteurs de la Revue Défense Nationale et du Casoar, ces chroniques, très accessibles, passionneront tous ceux qui s'intéressent à l'histoire militaire et aux relations internationales.
Le 6 juin 1944, 132 715 soldats alliés débarquent sur les plages normandes ! Parmi eux, un groupe de 176 bérets verts français menés par un homme : Philippe Kieffer.
Comment ce père de famille sans expérience militaire est-il devenu le fondateur et le chef de cette troupe d'élite, la seule unité française débarquant le 6 juin ? Né à Port-au-Prince, banquier influent durant près de vingt ans, il rentre en France quelques mois avant le début de la guerre. Français libre de la première heure, il fonde à 42 ans les commandos marine français. Mais ce héros du Jour J demeure paradoxalement méconnu, bien que son action ait été portée à l'écran dans la superproduction hollywoodienne Le Jour le plus long. Tiré d'une étude menée durant deux ans à l'université de Caen et basée sur plus de 4 000 documents pour la plupart inédits, ce livre lève le voile sur sa vie. En plus de revenir sur le rôle de Philippe Kieffer durant le conflit, de la formation des commandos en 1942 à leur entraînement en Écosse, du débarquement en Normandie à leurs faits d'armes aux Pays-Bas, cet ouvrage consacre pour la première fois une large place à ses origines, sa jeunesse, sa carrière civile, et son engagement.
Prix littéraires : Médaille de l'Académie de Marine 2014 - Prix « Beau Livre » de Marine & Océans - Mention du jury du prix littéraire du Comité d'action de la Résistance.
« Commando Kieffer ». Deux mots, un mythe, qui évoquent un lieu et une date : Ouistreham, le 6 juin 1944. Pourtant, dans l'?ombre du Jour J se trouve l?autre grand fait d?arme des commandos de Philippe Kieffer, l?autre date, l?autre lieu : Flessingue, le 1er novembre 1944.
Après leur éprouvante campagne de Normandie, les commandos français sont de nouveau déployés sur le front au début du mois d?octobre 1944. Cette fois, ils doivent débarquer à Flessingue sur l?île de Walcheren, l?un des plus formidables points de défense mis en place par les nazis. L?enjeu est crucial pour la poursuite de la guerre : sans le contrôle de l?Escaut, les Alliés ne pourront pas utiliser le port d?Anvers dont ils se sont emparés intact grâce à l?action de la résistance belge. Sans Anvers, c?est tout l?approvisionnement du front et donc la poursuite de la guerre et l?invasion de l?Allemagne qui se trouveront compromis.
Au terme de violents combats, l?opération Infatuate aboutit à ce que le général Eisenhower qualifiera d?« un des faits d?armes les plus courageux et les plus audacieux de toute la guerre ».
Mais la campagne des Pays-Bas est loin d?être terminée pour les commandos français qui poursuivent leurs opérations contre les îles néerlandaises où les Allemands se sont retranchés, jusqu?à la fin du conflit.
C?est sur cette campagne longtemps oubliée et négligée derrière le seul symbole des Français du Jour J que ce livre se propose de revenir.
À quelle occasion les troupes de marine sont-elles créées ? Pourquoi ces soldats sont-ils surnommés les marsouins ? Quel est leur symbole ? Que s'est-il passé à Bazeilles en 1870 ? Qu'est-ce que le serment de Koufra ? Quel marsouin a commencé comme 2e classe et terminé général et secrétaire d'état ? Quelle unité conquiert le nid d'aigle d'Hitler ?
Toutes les réponses et beaucoup d'autres dans ce petit livre qui vous fera découvrir les mythiques troupes de marine.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, l?Allemagne nazie connaît des succès fulgurants grâce à une tactique révolutionnaire : le Blitzkrieg !
L?invention de cette « guerre éclair » désarçonne tous les états-majors et permet à la Wehrmacht d?écraser les armées alliées.
Pourtant, cette tactique est née vingt ans plutôt : elle a été imaginée par des penseurs visionnaires dès la Première Guerre mondiale. Elle va être améliorée durant l?entre-deux-guerres et mise en pratique, à partir de 1939, par d?excellents tacticiens qui vont, grâce à elle, conquérir une grande partie de la planète.
C?est la fascinante genèse de cette guerre mécanisée, et sa redoutable application, qu?analyse Hugues Wenkin dansB litzkrieg ! S?appuyant sur de nombreux documents inédits, il révèle tous les secrets de cette puissante tactique et renouvelle le regard que nous portons sur la « guerre éclair ».
On pourrait croire que les photographies que vous allez découvrir dans cet ouvrage ont été retravaillées récemment afin de vous être présentées en format 3D. Et bien non !
Connaissez-vous la stéréoscopie ? C'est grâce à un cet ingénieux procédé, inventé il y a plus de 100 ans, que sont nées les premières images en 3D. Une technique de mise en perspective qui a été appliquée notamment à la photographie de guerre et qui, un siècle plus tard, nous permet de voir la Première Guerre mondiale sous un angle nouveau ! Amateurs d'histoire et de photographie, plongez au c?ur des tranchées avec les poilus à travers ces clichés aussi rares qu'exceptionnels.