L'air du temps façon François Morel, c'est une centaine de chroniques mordantes, salutaires, souvent assassines, toujours réjouissantes.
Un ministère du Rire en France ?
Des conseils pour lutter contre la gueule de bois ?
Et pourquoi pas un hymne au camembert ?
Chaque vendredi matin sur France Inter, François Morel récidive. Quelques minutes pour croquer l'époque dans ce qu'elle a de pire, et parfois de meilleur. Quelques minutes pour rire de tout, sans limites, et se consoler de la bêtise.
Chroniques inédites de François Morel ;
Illustrations de François Boucq ;
Plus attentifs au respect de leur progéniture qu'à celui de l'usage du participe passé, les parents d'élèves n'hésitent pas à dégainer le stylo pour affronter l'ennemi : monsieur le professeur et madame la maîtresse. Et en vingt ans de métier, Patrice Romain en a vu passer, des vertes, des pas mûres, des qui font voir rouge et d'autres rire jaune. Incroyables parfois, mais toujours vrais, ces morceaux choisis sont authentiques, et qu'importe l'orthographe.
« Aprè tout, fôte avoué »...
« Au-delà du sourire, ces petits mots sont également le reflet d'une société au quotidien, de sa culture et des éternels quiproquos entre familles et enseignants. » lepoint.fr
Béni soit le vendredi ! Chaque semaine, c'est la même chose : le peuple de France égrène les minutes, compte les heures - moment sublime, les ondes frissonnent - Monsieur Morel va causer dans le poste. Retour sur deux ans de chroniques du bocage, l'homme étant à l'humour Normand ce que Vialatte fut à la tomme d'Auvergne. Inventaire d'actualités intemporelles, éloge du sabotage, ivresse du pont-l'évêque, bilan cardiaque d'Alain Finkielkraut... Le temps passe, les pommes donnent, et c'est ainsi que Morel est grand !
Préface de Guillaume Meurice.
« Le vendredi, c'est le jour où je branche mon réveil pour ne pas louper les chroniques de François Morel sur France Inter... Pendant quelques minutes, François nous réconcilie avec la réalité qui nous entoure, il met du baume sur notre mal au monde ».
C'est Yolande Moreau, l'amie de toujours, qui parle ainsi, et ils sont nombreux ceux qui, comme elle, attendent leur indispensable bouffée d'air frais, leur dialyse, leur dose d'antidote à la morosité ambiante.
Ce recueil regroupe les chroniques diffusées entre septembre 2013 et juin 2015, avec quelques bonus. On y retrouve la lettre à Patrick Pelloux, l'évocation du pont des Arts, l'ode à Luchini, la fête du slip, quelques nouvelles du Bon Dieu et le fameux merci au pigeon qui, lors de la grande manifestation du 11 janvier 2015, avait heureusement réenclenché la machine à rire.
« Auditeur assidu, attentif écouteur, ponctuel allocutaire, je t'imagine. Dans ta voiture ou ta salle de bains, dans ton lit ou ta cuisine, je te suppose. Tu prêtes l'oreille et tu t'interroges : "De quoi va-t-il nous parler cette semaine ?".
Oui, car c'est la question que se pose chaque vendredi matin la France branchée sur France Inter. "Comment va-t-il nous faire réfléchir en nous amusant ? Comment va-t-il nous émouvoir en nous bousculant ?".
Voici résumées les interrogations de la France la plus sagace, la plus éveillée, la plus dégourdie ».
Caustique, cinglant, émouvant, François Morel nous offre ici une compilation de chroniques, véritable antidote à la morosité ambiante.
Toujours aussi drôles, émouvants, vachards, pleins de bon sens et de mauvaise foi, ces Mots d'excuse 2 lèvent le voile sur le monde fabuleux et impitoyable de l'école. Tous authentiques, hauts en couleur avec leurs formules lapidaires, leurs maladresses et leur rouerie, leur orthographe discutable, ils dépeignent avec humour les rapports qui unissent parents d'élèves et enseignants, véritables révélateurs de notre société.
Après l'immense succès de Mots d'excuse, ce second volume nous replonge dans l'univers insoupçonné de nos chères têtes blondes. Un régal !
Panique à Saint-Germain-des-Prés. Si les poids lourds de la littérature française continuent de disparaître sans laisser de traces, comme la police le craint, la rentrée littéraire se fera sans ses têtes de gondole habituelles. Déjà Christine Anxiot manque à l'appel. Denis-Henri Lévy, parti barouder en zone de guerre (Barbès, rien que ça), n'en est jamais revenu. Mélanie Notlong, Bernard Werbeux, Frédéric Beisbéger, Anna Galvauda, Jean d'Ormissemon et les autres racontent, dans leur style inimitable, leur propre enlèvement.
On ne les lira plus jamais comme avant.
Cette quatrième édition inclut un pastiche inédit de l'auteur « Le contenu est vraiment réussi et franchement vache. » Pierre Vavasseur - Le Parisien / Aujourd'hui en France « Il faudrait distribuer Et si c'était niais ? à tous les Français. Cela leur donnerait un moral de béton. » Les Échos
Légèreté : se dit d'une chose peu importante, peu sérieuse.
Depuis plus de trois ans, François Morel présente ses billets dans la matinale de France Inter. En toute liberté, il y traite de ce qui lui passe par la tête : l'importance du courage en politique, la bêtise des consignes affichées dans le métro, le pouvoir, sa maman, l'évolution du monde, la galette des rois. Des petites choses et grandes choses qui, traitées avec humour et ironie font, l'air de rien, l'air du temps.
Pourquoi les hommes sont-ils incapables d'emballer correctement leurs cadeaux de Noël ?
Pourquoi les femmes ne peuvent pas faire en sorte que le sapin tienne droit ?
Les hommes et les femmes n'ont pas la même perception du mot « fête » et du mot « Noël ».
Les unes sont obsédées par les listes de courses.
Les autres le vivent comme une véritable épreuve.
Un guide de survie indispensable à destination des couples pendant la période des fêtes... et bien au-delà !
Pourquoi représente-t-on les saints avec une auréole au-dessus de la tête ?
Pourquoi les panneaux de stop sont-ils octogonaux ?
Pourquoi croit-on que passer sous une échelle porte malheur ?
Pourquoi les hirondelles volent-elles bas quand il va pleuvoir ?
Pourquoi les écureuils ont-ils une grosse queue ?
Pourquoi le noir amincit-il la silhouette ?
Pourquoi y-a-t-il 60 minutes dans une heure ?
Tout le monde l'a remarqué. Personne ne sait pourquoi. Les pourquoi sont en images, illustrés par Cathy Karsenty. Les pourquoi se lisent un par un. Mais c'est très bon aussi de ne pas s'arrêter. Les pourquoi sont sérieux ; sinon quel intérêt ? Les pourquoi sont drôles ; sinon quelle horreur !
Chef dans un restaurant, Becky est très amoureuse de son mari, et ravie d'être enceinte. Tout irait bien si les médecins la lâchaient un peu avec ses problèmes de poids. Et si son infernale belle-mère la lâchait tout court.
Kelly est overbookée, hyper-ordonnée et archi-ambitieuse. Elle s'investit dans sa grossesse comme dans tout, c'est-à-dire à fond. Seul point noir dans cette organisation parfaite : son mari, qui passe ses journées vautré sur le canapé... Ça fait désordre.
Ayinde est canon. Et intelligente. Et gentille, en plus. Et aussi mariée à un champion de basket dont elle attend un enfant. Bref, le genre de fille qu'on adorerait détester.
Quand ces futures mamans font connaissance lors d'un cours de yoga prénatal, elles se disent qu'elles n'ont rien en commun. Mais la maternité leur promet bien des surprises...
L'enterrement est un moment fort, solennel, unique. Mais le dernier hommage à un proche peut parfois devenir culte ! Les cérémonies sont souvent le théâtre d'événements étonnants, drôles, extravagants, tragiques, toujours originaux. Entre rires et larmes, l'auteur nous ouvre les portes de sa longue expérience de croque-mort et nous fait partager les petits et grands dérapages croisés dans sa carrière. Un ouvrage garanti « 100 % vécu » : bourdes familiales, lapsus macabres, incidents techniques et gaffes en tout genre. Tout est vrai, c'est la vie !
« Des histoires à pleurer ou à rire, racontées avec bienveillance. » Le Parisien « Un petit bijou. » France Inter « À mourir de rire ! » RTL
« Bonjour la France ! » C'est le cri du soldat belge qui, chaque matin au son du clairon, réveille le citoyen en pyjama. Et parfois sa conscience politique. Qu'elle arrache ses habits au roi « normal » ou rétame les casseroles des vieilles cuisines partisanes, qu'elle prenne d'assaut les Rafale ou canarde les conflits d'intérêts, la « Belge la plus française du royaume » sait cumuler les mandales bien senties... Florilège-majesté.
Je m'appelle Lindsay et j'ai 24 ans.
On me dit que pour trouver le Prince Charmant, il faudrait déjà que je me comporte comme une Princesse.
Easy : je vais m'inspirer de toutes ces filles qui semblent parfaites. Vous savez, ces filles, là, sur les réseaux sociaux, qui nous en mettent plein la vue avec leurs fringues (quand elles en portent) et leurs copines trop belles (quand elles en ont).
Je vais faire tout pareil (enfin, je vais faire ce que je peux, quoi) !
Un jour mon Prince viendra... Ou pas !
Avec :
- des montages Photoshop de qualité (ou pas).
- des tests indispensables (comment savoir si votre mec est un connard).
- de vrais morceaux de Ryan Gosling.
... Et plein d'autres infos essentielles !
Dans la vie, tout le monde se pose des questions. Il y a celles qui sont intelligentes, qui font réfléchir : c'est quoi un atome ? Comment sortir de la crise ?
Et puis il y a les autres, celles qu'on se pose tout bas sans parfois même se l'avouer :
Pourquoi ne voit-on jamais de bébés pigeons ?
Combien y a-t-il de grains dans un paquet de riz ?
Les poissons dorment-ils ?
Si, pour flatter leur ego, certains ne veulent répondre qu'aux questions intelligentes, qui va répondre aux questions cons ? Moi, bien sûr ! J'en ai même fait mon métier !
Découvrez mes expériences - parfois farfelues - et surtout cultivez-vous au travers de mes réponses... pas toujours si cons que ça !
Hugo
La Brève de Comptoir obéit aux saisons, aussi sûrement que les enfants naissent en hiver parce qu'ils sont conçus au printemps, qu'on trépasse en automne parce que les morts y ont leur jour, qu'on réveillonne en hiver, vote au printemps, villégiature en été...
L'Hiver, saison multicolore : les buveurs ont le nez rouge, ils sont autant de Pères Noël éperdus. Boules émeraude ou rubis, les guirlandes d'or, d'argent ou guimauve s'enlacent au vert sapin domestique. L'hiver ramène en fête la famille, ranime les souvenirs d'enfance : il neige, voyez ! Vivement le Printemps !
La brève de comptoir obéit aux saisons, aussi sûrement que les enfants naissent en hiver parce qu'ils sont conçus au printemps, qu'on trépasse en automne parce que les morts y ont leur jour, qu'on réveillonne en hiver, vote au printemps, villégiature en été...
Voilà le printemps ! Les hommes politiques mentent plus qu'à l'ordinaire, les jupes raccourcissent et le badaud s'épanouit au rythme de la nature qui reverdit. C'est la saison des femmes, celle où elles s'aventurent au zinc faire assaut d'esprit avec les mâles accoudés. Les glaçons refont leur apparition dans le pastis, un sang plus chaud circule pour ragaillardir la verve des héros primesautiers. La vie reprend ou continue, l'été s'annonce déjà, le printemps est là !
Plus de vingt ans qu'il est mort et il n'a jamais été aussi présent. Pas un jour sans qu'on ne trouve son nom dans le journal ou que l'un des amuseurs du moment ne lui déclare son incommensurable admiration. Les paroles des comiques s'envolent, leurs écrits passent parfois mieux le temps. Et Desproges est aujourd'hui unanimement considéré comme un écrivain. Léger, profond, original, inquiet. Une quinzaine de livres à son actif, dont la moitié publiés après sa mort, ont fait de lui l'un des auteurs les plus lus de la jeunesse de France. L'humoriste exigeant, qui ne pouffait pas à tous les râteliers et refusait de se compromettre, traîne des hordes de fans derrière lui. Chacun trouve dans ses oeuvres complètes un style, un rire, une colère, un regard sur la vie, la mort, le temps, ou simplement quelques énormités salaces dont on n'avait pas honte de rire avec lui. Mais qui était vraiment Desproges ? Journaliste, comique, misanthrope, moraliste, provocateur, pourfendeur de l'hypocrisie et de la médiocrité de son temps. On trouvera dans cette version revisitée de sa biographie le petit Parisien en vacances dans le Limousin, l'hurluberlu de L'Aurore, l'atrabilaire des « Flagrants Délires » et la bête de scène dans sa bonbonnière du Théâtre Grévin. On y retrouvera aussi un Pierre Desproges en pleine forme et, pour finir, de moins en moins mort.
D' « impossible n'est pas français » à « la gastronomie française est la meilleure du monde », de l'angoisse du « déclin » à la fierté de se considérer comme « terre d'accueil », des « Champs-élysées, plus belle avenue du monde » aux « Français qui ne travaillent pas assez », en passant par la fameuse « galanterie à la française », l'Hexagone est le bouillon de culture d'une série d'idées reçues, exprimant à la fois l'orgueil de sa population et une certaine propension à l'auto flagellation.Seul un regard étranger et en même temps bien intégré à la société pouvait, en ce début du XXIe siècle, analyser les principales idées que les Français se font d'eux-mêmes : Alberto Toscano, journaliste et écrivain italien vivant à Paris depuis 1986, se fait un plaisir d'épingler nos petites manies et nos grandes fiertés avec un oeil acéré. Alors, les Français savent-ils rire d'eux-mêmes ?
Le marché immobilier n'est plus ce qu'il était : leur ancienne maison n'a pas encore trouvé preneur et, déjà, les Chambers sont couverts de dettes. Quelle idée, aussi, de faire l'acquisition d'une école privée ! Professeurs sourds au dialogue, bilan comptable écarlate... Penché sur ses comptes, Jonathan voit son rêve s'écrouler, quand Liz, elle, s'envole vers d'autres bras...Ceux de Marcus, séduisant directeur d'une agence immobilière ! Non content d'être un amant parfait, le gentleman trouvera des locataires pour la maison vacante. Et quels locataires ! Un couple délicieux. Elle est attachée de presse, il est acteur pour la télé. Rien de tel pour retenir l'attention d'Alice, la fille ado des Chambers, midinette que le déménagement n'enthousiasme guère... Bail à céder et coeurs à prendre !