Oasis du fin fond de la Lybie dont Rommel, chef de l'Afrika Korps, veut s'emparer. Cet oasis est occupé par trois mille hommes, soldats et officiers venant de toutes armes. (légionnaires, fusillers marins, 1re DFL etc.) Il faut tenir au moins quinze jours pour que l'armée anglaise puisse se placer et ils tiendront dix-huit jours évacuant la place de nuit. Très intéressant récit d'un témoin. Les combats furent très durs jusqu'au corps à corps, avec des ravitaillements en munitions irréguliers, mais surtout le manque d'eau...
Après Pilote de Marauder et le Groupe Bretagne, l'auteur propose une synthèse de ce que l'on a appelé : « Les FORCES AÉRIENNES FRANÇAISES LIBRES ».
Il s'agit de faire connaître aux « Français d'aujourd'hui », qui ne sont pas des spécialistes de l'aviation, l'histoire extraordinaire de ces « Français d'hier » qui risquèrent (et souvent perdirent) leur vie pour libérer la France. Il revient à l'Amiral Muselier d'avoir créé en juillet 1940, les premières escadrilles françaises à partir du personnel français.
Fin 1940 les F.A.F.L. ne comptaient que 500 aviateurs.
Nos alliés anglais participèrent à la mise en oeuvre de cette « Armée de l'Air Française Libre » en formant ces « Volontaires Français » et en fournissant des avions.
Les F.A.F.L. s'illustreront sur tous les fronts : France, Angleterre, Italie, Moyen Orient, Russie et seront dissoutes en juillet 1943 pour être remplacées par les Forces Aériennes de Libération.
Basé sur l'ensemble de ces témoignages autant que sur les archives, écrit sans complaisance, cet ouvrage relate la libération de la Provence telle qu'elle s'est réellement passée, avec une force et une vérité qui ne manqueront pas de passionner le lecteur.
Marcel Rochaix, né en 1911, est issu d'une famille lyonnaise.
En 1928, il profite des bourses que le gouvernement accorde, en vue de la constitution d'une armée de l'air, et passe son brevet de pilote militaire en 1930. D'abord affecté dans le Nord de la France, il réussit en 1936 à se faire muter à la 35e Escadre d'observation basée à Lyon Bron.
En 1939, à la déclaration de guerre, son unité se déplace sur Pontarlier (Jura). Marcel Rochaix effectuera ses premières missions de guerre en territoire ennemi. En 1940, peu avant l'armistice, son unité est envoyée en Afrique du Nord à Marrakech.
Au retour d'une permission le paquebot sur lequel il se trouve, est pris au milieu du débarquement américain à Oran, et doit faire demi-tour. Il est alors séparé de son unité qui a changé de camp.
Début 1943, il décide de partir en Afrique du Nord pour rejoindre les Forces Françaises libres. Avec quelques compagnons, il traverse les Pyrénées. Fait prisonnier par la Guardia Civile mais passant pour canadien, il sera libéré par le Consulat britannique.
De là, il rejoindra la France Libre au Maroc, sera affecté au Groupe BRETAGNE (bombardement), participera à la campagne d'Italie, au débarquement en Provence, à la Campagne de France et aux bombardements en Allemagne.
La guerre terminée, il sera affecté au GLAM de Villacoublay.
De 1950 à 1952, il sera à Dakar, effectuant du transport militaire dans toute l'AOF. Il décédera en août 1955.
Marcel Rochaix reçut de nombreuses décorations et cotations :
Officier de la Légion d'Honneur ; Croix de Guerre 39/45 ; Étoile Noire (Officier) ; Ouissam Alaouite (Officier) ; Air Medal (USA) Distinguished Unit Citations (USA).
L'auteur, Maurice ROCHAIX, est le fils de Marcel ROCHAIX (pilote du BRETAGNE). Orphelin à l'âge de 13 ans, il fera ses études à l'École des Pupilles de l'Air à Grenoble et sera diplômé de l'École Supérieure de Commerce de Lyon. Après un début de carrière dans une grande entreprise Américaine, il terminera à la tête d'une agence de communication événementielle qu'il a créée. Maurice Rochaix a voulu connaître ce père, perdu très jeune, ses frères d'armes et ce fameux GROUPE BRETAGNE auquel celui-ci avait appartenu de 1943 à 1946, puis de 1950 à 1952.
Les exploits exceptionnels du GROUPE BRETAGNE ont largement contribué au rayonnement des Forces Aériennes de la France Libre.
Tout a commencé à Fort Lamy et le raid sur KOUFRA avec le D.P.A.F.T. et le serment du général Leclerc. S'en sont suivis : les campagnes du FEZZAN et d'ITALIE, le débarquement en PROVENCE, les campagnes de FRANCE et d'ALLEMAGNE. Après l'Armistice ce sera la reconversion dans le transport.
Par décision du Ministre de l'Air, Charles Tillon, en date du 10 Juillet 1945, il a été décidé que le Groupe de Bombardement Moyen 2/20 BRETAGNE, titulaire de 6 citations, aura droit, désormais, au port de la fourragère aux couleurs de la Légion d'Honneur.
Ce livre est une synthèse et un hommage, qui a pour objet de mettre en évidence et de souligner l'épopée d'HOMMES :
« à QUI SERT SON PAYS, IL N'EST RIEN D'IMPOSSIBLE. »
Ce livre est consacré à un épisode du débarquement de Normandie de juin 1944, et orienté sur l'histoire d'un bâtiment de guerre, d'un cuirassé du nom d'un prestigieux amiral : le Vice-amiral Courbet.
Le cuirassé « Courbet » réfugié en Angleterre en juin 1940 y resta toute la guerre, sans combattre, faute d'effectif suffisant pour le réarmer, jusqu'en 1944.
Cette année 1944 est l'année décisive pour les forces alliées. L'Angleterre est devenue un vaste camp retranché, avec l'effervescence d'une ruche. Deux millions d'hommes attendant le jour où ils devront s'élancer à l'assaut de la forteresse Europe. Mais pour lancer un tel débarquement sur les côtes défendues par l'ennemi, il faut des ports pour ravitailler ces millions d'hommes, ces milliers de canons, de chars, de camions, de jeeps. Ne pouvant prendre un port de front, les alliés ont décidé d'en apporter dans leurs bagages. Ils seront au nombre de deux appelés du nom de code Mulberry et de trois autres petits ports formés de vieux bâtiments de guerre et de commerce appelé Gooseberry.
C'est dans cette dernière opération que nous allons trouver le cuirassé « Courbet » qui recevra le nom de code de Corncob.
Oasis du fin fond de la Lybie dont Rommel, chef de l'Afrika Korps, veut s'emparer. Cet oasis est occupé par trois mille hommes, soldats et officiers venant de toutes armes. (légionnaires, fusillers marins, 1re DFL etc.) Il faut tenir au moins quinze jours pour que l'armée anglaise puisse se placer et ils tiendront dix-huit jours évacuant la place de nuit. Très intéressant récit d'un témoin. Les combats furent très durs jusqu'au corps à corps, avec des ravitaillements en munitions irréguliers, mais surtout le manque d'eau...
Mein Kampf (en français Mon Combat) est la seule traduction originale publiée par les Nouvelles Editions Latines du livre rédigé par Adolf Hitler entre 1923 et 1924 pendant sa détention à la prison de Landsberg.
La Cour d'appel de Paris a décidé, dans un arrêt du 11 juillet 1979, d'autoriser la vente du livre (édition intégrale en français), compte tenu de son intérêt historique et documentaire, mais assortissant cette autorisation de l'insertion en tête d'ouvrage, juste après la couverture et avant les pages de garde, d'un texte de huit pages mettant en garde le lecteur.
La parcours de René Goujon est celui d'un jeune homme de 1940, à peine sorti de l'adolescence, qui après avoir été déporté en Allemagne s'évade avec un groupe de camarades, traverse la France, les Pyrénées, atteint l'Espagne où il est arrêté et fait prisonnier au camp de Miranda.
Plus tard il réussit à gagner Gibraltar et enfin l'Angleterre. Là il intègre les Fusillers Marins au sein du Commando n°4 sous les ordres de Keiffer et Lord Lovat. Il fera partie des 177 Français qui ont débarqué le 6 juin 44 en Normandie...