Le D-Day reste gravé dans nos mémoires comme le premier jour de la libération de la France du joug du nazisme. Comment et pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Quelles ont été les grandes étapes du Débarquement, que ce soit sur les plages, le 6 juin, ou dans les terres, lors de la bataille de Normandie ? Cet ouvrage vous permettra de suivre le récit clair et vivant d'une bataille finalement complexe, jusqu'à la libération du Havre le 12 septembre 1944.
Lorsque l'Allemagne envahit la Pologne en 1939, la guerre éclate en Europe. Elle va embraser la totalité de la planète et durer six longues années.
Ce livre explique aux enfants, de manière claire et factuelle, ce conflit mondial à travers 50 faits historiques. Pour chaque année, une carte montre les pays engagés et les lieux des combats ; une frise chronologique présente les faits marquants.
Avec des informations clés, des cartes et des photographies d'époque, c'est un livre très complet, avec un point de vue international, pour comprendre la dimension géographique et les enjeux mondiaux de la Seconde Guerre mondiale.
Marc Laurenceau s'intéresse à la seconde guerre mondiale, et plus précisément à la bataille de Normandie. Après avoir parcouru ces lieux chargés d'histoire que sont les plages de Débarquement et le bocage normand, il leur dédie depuis 2003 un site internet reconnu, qui le fait participer à des émissions radio et télé, ainsi qu'à des publications. Il est également à l'origine de l'association « D-Day Overlord : mémoire de la bataille de Normandie ».
Normandie 1944 Traces de guerre, Normandie 1944 n'est pas un ouvrage comme les autres. 75 ans après la fin de la bataille de Normandie, Christophe Prime a choisi de vous replonger au coeur de cette tragique épopée à travers des témoignages sans fard de combattants, des documents et des objets originaux de première main pour certains surprenants, pour d'autres bouleversants (casques, ocarina, talkie-walkie,?). L'auteur nous fait pénétrer dans les arcanes du monde de la collection. En spécialiste averti, il passe les vestiges du passé au révélateur afin qu'ils nous livrent leurs secrets et apportent un supplément d'âme à la grande histoire.
Parmi les 155 000 soldats alliés déployés en Normandie le 6 juin 1944, figure une poignée de Français formant un bataillon communément appelé le Commando Kieffer. L'action de cette troupe d'élite a été décisive dans la première phase de l'opération Overlord. Ses exploits ne doivent pas pour autant faire oublier les autres forces françaises impliquées dans le D-Day dans des rôles tout aussi décisifs : les forces aériennes françaises libres intégrées aux groupes de chasse et de bombardement de la Royal Air Force, les navires des forces navales françaises libres positionnés devant les plages du Débarquement, les parachutistes du 4e SAS? Enfin que dire de l'action déterminante du général Leclerc et des 16 000 hommes de sa division blindée débarquée à Utah Beach et qui dans sa marche vers Paris devait essuyer de violents combats et subir de lourdes pertes pour la libération de la Normandie. Ce livre revient pour la première fois sur tous ces Français, combattants volontaires, résistants, FFI, héros anonymes, qui participèrent ainsi, aux côtés des Alliés, aux combats de l'été 1944 pour la libération de la France.
Ce livre évoque l'occupation militaire de la Normandie de 1940 à 1944 à travers le regard de l'occupant et de son quotidien. Cette période fut une dure épreuve pour la population normande mais pas pour les soldats allemands qui y séjournaient. Les photos réunies ici en témoignent. Elles étaient destinées à leur famille, à leurs amis. De ce fait, elles donnent plutôt une vision « constructive » et « positive » des événements? Tous ces clichés sont donc extraits de leurs albums personnels et constituent un ensemble exceptionnel. Ce livre débute par l'invasion allemande dans le nord et l'est de la France, prélude à celle de la Normandie. Il se poursuit par le quotidien du soldat allemand dans le Calvados, la Manche, l'Orne, l'Eure et la Seine-Maritime jusqu'en juin 1944. Des clichés pris après les combats de l'été 1944 complètent cet ensemble.
Parmi les nombreux objectifs à atteindre par les troupes alliées lors du Débarquement du 6 juin 1944, la station radar bâtie en 1942 par l'Organisation Todt s'étend sur plus de 35 hectares. Une trentaine de constructions et des installations de surveillance et de détection, à l'image de l'emblématique Würzburg-Riese et sa parabole de 7,5 m de diamètre. Après plusieurs assauts, le site tombe le 17 juin 1944, soit plus de onze jours après Overlord... Aujourd'hui, le site regroupe sur 3 hectares une documentation et des informations essentielles et captivantes sur l'utilisation du radar. Une exposition permanente qui a pris vie grâce à l'association des Amis du musée Radar, et qui nous éclaire sur un aspect bien souvent ignoré de la bataille de Normandie. Cet ouvrage vous invite à découvrir ce site unique.
En 1942, âgée de 19 ans, Clémence Jayet devient Annick, agent de liaison du mouvement Libération-Sud à Lyon. L'infiltration de son réseau la conduit le 3 août à la prison de Montluc d'où elle est libérée le 24 août. Entretemps, Annick résiste à la torture des sbires de la Gestapo, dirigée par Klaus Barbie. En 1949, elle épouse Robert et devient Annick Burgard. Dans les années 1960, elle devient une militante de la transmission de la mémoire, travaillant à la réalisation du mémorial de Verdun et à la reconstruction du musée du Struthof. Documentaliste au ministère des Anciens Combattants, Annick réalise de nombreuses expositions. Membre de nombreuses associations, honorée par la République française, elle demeure pour l'éternité une voix très active de la Résistance.
Quand il débarque en Normandie le 7 juin 1944, Ernie Pyle est le meilleur (prix Pulitzer) et le plus populaire des correspondants de guerre américains. Pyle doit cette popularité au fait qu'il raconte simplement et avec beaucoup d'empathie, les histoires des simples soldats. Pendant l'été 1944, il va suivre les troupes américaines d'Omaha Beach à la libération de Paris, assistant à la libération de Cherbourg, la guerre des haies, les bombardements de l'opération Cobra, mais aussi découvrir la Normandie avec surprise...
Autant d'épisodes qu'il raconte dans 70 articles publiés ensuite dans la presse quotidienne américaine. Ces 70 articles n'avaient jamais été traduits en français dans leur intégralité.
Georges S. Patton est un chef de guerre haut en couleur comme on en rencontre peu. Adulé par certains, haï par d'autres, celui qui va mener la 3rd US Army de la Tunisie jusqu'au coeur de la Tchécoslovaquie est un personnage éminemment complexe. "Georgie" , ce petit gars de Californie, va se tailler une réputation de meneur d'hommes et de fonceur. Il va devenir un des officiers généraux les plus doués et les plus craints de la Seconde Guerre mondiale, ne vivant que par et pour la guerre.
Son tempérament de feu et ses coups de gueule légendaires vont lui valoir nombre de tracas, mais ses archives personnelles ont également montré que, sous sa carapace de dur à cuir, celui que ses soldats surnommaient Old Blood and Guts était un homme cultivé, sensible et doutant profondément de lui. Sa mort accidentelle le 21 décembre 1945 va contribuer à le faire entrer dans la légende.
C'est un recueil iconographique précieux sur cette période, un témoignage visuel qui ne peut laisser indifférent. Ces photos inédites et réunies dans cet ouvrage sont celles de soldats allemands de 1940. Leur présence dans notre pays fut une dure épreuve pour la population durant quatre ans, et les images, souvent insouciantes, ne peuvent masquer la réalité de la situation des civils de l'époque.
Les aumôniers alliés des armées américaine, britannique et canadienne présents lors de la bataille de Normandie sont souvent négligés en raison de leur petit nombre par rapport aux milliers d'autres hommes dont étaient constituées ces armées. Selon les règles de la guerre, ces hommes, incroyablement courageux, ne pouvaient pas porter toutes les armes au combat. Cependant, ils étaient très appréciés et respectés par les différentes unités qu'ils servaient. Les aumôniers alliés ont subi le deuxième taux de pertes le plus élevé de tous les groupes de la Seconde Guerre mondiale (juste après le Bomber Command de la RAF) et étaient pratiquement irremplaçables en raison des exigences académiques et religieuses qui prenaient souvent des années à compléter.
Ce livre se penche sur les aumôniers alliés dans la bataille de Normandie, y compris sur ce que l'on sait de leurs vies avant le service militaire, leurs morts ou les détails concernant leur héroïsme. Leurs dépouilles reposent soit dans les cimetières de Normandie, soit, pour certains aumôniers américains, aux États-Unis.
6 juin 1944 dans le Cotentin. Des milliers de corolles s'ouvrent dans la nuit. Treize mille parachutistes américains sont largués dans ce secteur à l'ouest de la zone du débarquement en Normandie. Mais beaucoup ne sont pas tombés au bon endroit. Il faut parfois de nombreuses heures pour enfin retrouver un camarade ou un groupe, tout autant perdus. Néanmoins, toutes les missions assignées aux parachutistes sont remplies avec succès. La 101st Airborne parvient à couvrir les arrières de la plage d'Utah Beach pendant que la 82nd Airborne contrôle Sainte-Mère-Église et ses abords. Malgré tout, les positions des Américains restent très précaires notamment au pont de la Fière.
Les renforts qui débarquent à partir de 6 h 30 sur Utah vont être les bienvenus.
Débute alors pour les paras américains un mois et demi de combats meurtriers au milieu des marais et du bocage normand.
6 juin 1944 quelques minutes après minuit, des silhouettes silencieuses volent à travers les nuages et virent au-dessus de l´Orne, au nord de Caen. À plus de 150 km/h, elles touchent le sol et finissent leur course à quelques mètres du pont de Bénouville, qui entrera dans la postérité sous le nom de Pegasus Bridge. Quatre-vingt-dix hommes émergent péniblement de ces planeurs et s'emparent en quelques minutes de l´ouvrage par un « coup de main » spectaculaire. Il s´agit de l´avant-garde de la 6th Airborne Division qui va sauter quelques minutes plus tard entre Orne et Dives, pour couvrir le flanc est du débarquement en Normandie. Les missions qui lui sont assignées vont toutes être remplies avec succès malgré des largages très dispersés. Mais ce n´est que le début de trois longs mois de combats pour les parachutistes britanniques.
Caen 6 juin 1944. La cité normande millénaire va entrer dans l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. La vie de ses 62 000 habitants va en être profondément bouleversée. La bataille qui ne devait durer qu'une journée va se prolonger pendant un mois et demi. Pour les deux camps, Alliés et Allemands, la ville devient un enjeu stratégique majeur pour la libération de la Normandie et pour toute la campagne de France qui s'engage. Plusieurs ouvrages ont explicité les différentes opérations militaires qui ont permis la libération de la ville. D'un autre côté, de nombreux témoignages nous sont également parvenus pour décrire le martyr de la population prise au milieu des combats. Cet ouvrage illustré de plus de 200 photographies et de cartes inédites vise à réunir les deux aspects de cette bataille de Caen. Et ainsi de répondre à un certain nombre de questions : pourquoi Caen revêtait-elle un rôle stratégique aussi important ? Pouvait-elle être libérée dès le 6 juin comme les Alliés l'avaient envisagé ? Les Caennais pouvaient-ils être épargnés de toutes les souffrances qu'ils ont subies ?
Nuit du 5 au 6 juin 1944. La plus grande opération combinée de la guerre vient de débuter. Pour sécuriser les arrières d'Utah Beach au sud du Cotentin, 13 000 parachutistes des 82e et 101e divisions aéroportées américaines sont largués entre Sainte-Mère-Église et Saint-Côme-du-Mont. La dispersion est immense et il faut plusieurs heures aux officiers pour réunir un groupe de combat suffisamment puissant. Néanmoins, toutes les missions sont remplies au soir du Jour J. La 101e reçoit alors l'ordre de s'emparer du carrefour stratégique de Carentan, permettant la liaison avec les troupes américaines débarquées à Omaha Beach. Pendant une semaine, les hommes du général Taylor vont affronter une autre unité d'élite, le Fallschirmjäger-Regiment 6 du major von der Heydte, enclenchant l'unique choc entre parachutistes de la bataille de Normandie.