Un ouvrage très illustré de photographies d'époque, sur la tête de pont de l'Orne pendant la bataille de Normandie, qui a connu deux batailles majeures de juin à août 1944 : la prise de Pegasus Bridge et la destruction des canons de la batterie de Merville par les troupes aéroportées britanniques dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, puis le lancement de l'opération Goodwood, le 18 juillet 1944, qui devait percer le front allemand mais qui a échoué avec de lourdes pertes en chars.
L'engagement des parachutistes allemands dans la bataille de Normandie, du débarquement du 6 juin 1944 à la retraite allemande sur la Seine, fin août 1944. Avec de très nombreuses photographies, des profils en couleur de matériel, etc.
L'écrasement brutal de la Pologne en 1939 ouvre un nouveau chapitre de son histoire : celui du combat depuis l'étranger pour le recouvrement de l'indépendance. En ces jours sombres, malgré sa passivité pendant le drame de septembre, la France focalise tous les espoirs : cet allié historique ne dispose-t-il pas de la meilleure armée du monde ? Si les années 1930 ont vu les liens historiques franco-polonais s'étioler devant les incompréhensions mutuelles, l'émergence d'un gouvernement en exil à Paris permet un renouvellement de l'alliance. Il initie la reconstitution d'une armée qui, dans les dix mois qui séparent octobre 1939 de juin 1940, se dote d'une composante terrestre, mais aussi aérienne et navale. Ses effectifs atteignent au bas mot 80 000 hommes, formés dans la précipitation et employés au gré des urgences. Une brigade de montagne est engagée en Norvège pour couper la route du fer à Narvik. Deux divisions combattent en Lorraine sur la ligne Maginot et en Franche-Comté dans
Ce livre très illustré dépeint l'engagement de l'armée américaine en Afrique du Nord, de l'opération Torch en novembre 1942 à la reddition des forces de l'Axe, en mai 1943. De très nombreuses photographies, souvent rares ou inédites, viennent en soutien du texte racontant en détails les premiers combats livrés par l'US Army à l'armée allemande, en l'occurrence, l'Afrikakorps de Rommel.
En avril 1940, l'Allemagne envahit le Danemark et la Norvège. Les Alliés réagissent vite en Norvège et occasionnent de lourdes pertes à la marine allemande, mais ils sont vite chassés de la Norvège méridionale, puis centrale. En revanche, dans le nord du pays, en mai et juin 1940, le corps expéditionnaire de Scandinavie, du général Béthouart, remporte un succès éclatant contre les chasseurs alpins allemands, mais la situation catastrophique en France le force à rembarquer.
La 3e DIM est principalement connue pour son rôle dans la bataille de Stonne, en mai 1940, l'une des rares victoires françaises de la campagne de France. Ce livre dépeint la formation de cette division d'active en 1939, son rôle durant la Drôle de Guerre et enfin, les terribles combats dans lesquels elle est engagée en mai-juin 1940, jusqu'à son anéantissement vers le 18 juin.
La bataille de Normandie évoque pour beaucoup des affrontements de chars dans le bocage ou dans la plaine de Caen, ou encore la percée blindée de Patton, mais la majorité des divisions était composée d'infanterie. C'est l'infanterie qui combat au 6 juin, aussi bien du côté allié que du côté allemand. C'est l'infanterie américaine qui progresse dans le bocage du Cotentin pour préparer une ligne de départ pour la 3rd Army de Patton. C'est aussi l'infanterie allemande qui essaie de faire face aux Alliés quand les Panzer de moins en moins nombreux, ne peuvent plus tenir le front.
Au début du mois de juin 1944, le IIIe Reich étend sa do- mination sur la majeure partie de l'Europe. La stratégie allemande pour l'été 1944: une défense tous azimuts, qui doit permettre d'emporter la décision à l'Ouest avant de repasser à l'offensive à l'Est. À la fin de l'été, la puis- sance de son armée est brisée à la suite d'une série de défaites sans précédents par leur ampleur. Sur tous les fronts, un seul mot d'ordre : « Rückmarsch ! ». La retraite. Si la guerre est perdue pour le IIIe Reich avant ce terrible été 1944, la capacité de résilience de la Wehrmacht et le professionnalisme, ainsi que le talent, de nombre de ses généraux n'ont jamais été autant mis en exergue qu'au cours des manÅ«uvres de repli qui les mènent jusqu'aux frontières du Reich.
L'opération «Barbarossa» et la guerre en Union sovié- tique constituent le front majeur de la Seconde Guerre mondiale, celui où se décide du sort de la guerre. Alors qu'on ne compte plus les récits des batailles de Moscou, de Stalingrad, de Koursk et de Berlin, il manquait un récit des événements survenus dans la partie nord du front, sur la route de Leningrad. L'auteur embrasse l'intégralité de la période, de l'invasion allemande de 1941 à la ré- duction de la poche de Courlande en 1945.
Ce livre présente une collection de dessins top secret d'avions de la Seconde Guerre mondiale, en particulier des « éclatés », ainsi que des manuels d'entraînement et des affiches très colorées.
Ils ont été réalisés à partir d'avions abattus, ou, le plus souvent, d'après les témoignages des pilotes. La plupart de ces dessins étaient classifiés « top secret » et n'avaient encore jamais été publiés. Les éclatés sont nombreux et permettaient aux pilotes de savoir facilement où se trouvaient les organes vitaux des avions ennemis, tels que moteurs, poste de pilotage, réservoirs d'essence, soute à munitions et à bombes, poste de mitrailleur, etc.
Les artistes qui ont réalisé ses superbes dessins sont restés anonymes, mais ce livre permet de connaître leur travail remarquable et leur rend hommage.
Alors que toute la France est libérée à la fin de l'année 1944, à l'exception des poches de l'Atlantique, les Allemands s'accrochent désespérément à l'Alsace, qui a été rattachée au Reich. Certes, la 2e DB a libéré Strasbourg à l'automne 1944, mais les Allemands ont décidé de contre-attaquer : c'est l'opération Nordwind, qui débute le 31 décembre 1944, avec des assauts au nord de l'Alsace, mais aussi au sud de Strasbourg et au départ de la poche de Colmar.
L'alerte est chaude et Eisenhower envisage l'abandon de Strasbourg, avant de se rétracter sous la pression du général de Gaulle. Les attaques allemandes finissent par s'essouffler et les troupes se replient, sauf à Colmar. La 1re armée française les en déloge à partir de la fin janvier 1945. La poche de Colmar est entièrement résorbée le 9 février. Au nord, la région de Wissembourg et Haguenau ne sera libérée qu'à la mi-mars 1945.
Les principales batailles de chars de la 2e Guerre mondiale sont décrites dans ce livre : 1939 : - La 4. Panzerdivison à Varsovie. 1940 : - La bataille d´Arras. 1941 : - Opération Crusader, AFN - La bataille de Brody, URSS. 1942 : - La bataille d´El Alamein. 1943 : - La bataille de Kasserine - La bataille de Koursk. 1944 : - Opération Cobra - Bagration. 1945 : - Lacs Balaton.
Ce livre de 80 pages présente 180 profils de chars, de blindés et de camions de la bataille de Normandie, avec des notices historiques et techniques, ainsi que des résumés sur l´organisation des différentes unités et leur emploi au combat. On y retrouve des profils en couleur des chars et véhicules des armées britannique, française, américaine et allemande.
Il s'agit de l'histoire de la 3e armée américaine du général Patton, du 1er août 1944 au 7 mai 1945 et de son avance à travers l'Europe occupée par les Allemands : combats de Normandie, poche de Falaise, bataille de Metz, bataille des Ardennes, libération du Luxembourg, franchissement du Rhin et bataille d'Allemagne. La 3rd US Army a fini la guerre en Tchécoslovaquie et en Autriche.
Elle a perdu 160 000 hommes pendant les opérations en Europe, tuant 144 000 soldats allemands, en blessant le double et faisant plus d'un million de prisonniers. Elle a libéré plus de 12 000 villes et villages.
La 101e division aéroportée est relevée du front de Normandie le 10 juillet 1944. elle s'y est couverte de gloire, mais y a perdu près de 5000 hommes. Deux mois plus tard, la division est lancée dans une nouvelle mission aéroportée, cette fois aux Pays-bas, dans le cadre de l'opération Market Garden.
Il s'agit d'une tentative osée d'attaque profonde au coeur du territoire ennemi, à un moment où la victoire alliée semble à portée de mains. cependant, les Allemands se révèlent capables de mettre en place une défense ef cace aux Pays-Bas.
La 101e division aéroportée est parachutée en plein milieu du territoire ennemi. Elle capture la majeure partie de ses objectifs, mais les Allemands réussissent à en détruire un, le pont de Son. Les tentatives pour s'emparer d'un autre pont, à Best, n'aboutissent pas, car l'adversaire le rend inutilisable, néanmoins, la 101e tient le secteur du pont pendant trois jours, permettant au génie d'établir un passage et d'ouvrir la route de Nimègue. La semaine suivante, la 101e se bat pour maintenir la route ouverte, résistant à de nombreuses attaques tout au long de la « route de l'enfer », notamment de la part de la 107e brigade de Panzer. Lorsque la 101e est relevée, à la fin du mois de novembre, elle a passé 72 jours en première ligne.
Ce livre raconte le rôle de la 101e division aéroportée dans l'opération Market Garden, avec des photographies d'hier et d'aujourd'hui, dont des vues aériennes réalisées pour cet ouvrage, le tout avec un luxe de détails.
L'offensive allemande des Ardennes, lancée le 16 décembre 1944, est bien connue, de même que l'héroïque défense de Bastogne encerclée. En revanche, en dehors du dégagement de Bastogne par le 3rd US Army de Patton, les événements qui mènent à la reconquête complète du terrain perdu en décembre 1944 ne sont jamais évoqués par les historiens.
Ce livre comble cette lacune et décrit avec précision la reconquête des Ardennes grâce aux efforts conjugués des Américains et des Britanniques, soutenus par une forte aviation.
I) Introduction générale À l'origine des chasseurs de chars II) Panzerjäger et Jagdpanzer Les meilleurs du conflit III) Samokhodnaya Ustanovka Double action à la soviétique IV) Tank Destroyer L'ambiguïté anglo-saxonne V) Les autres pays Pologne, France, Italie, Japon... Expédiants à tous les étages.
La bataille de Normandie de l´été 1944 est une des batailles majeures de la Seconde Guerre mondiale. Cette campagne est le cadre de l´affrontement entre deux des généraux les plus célèbres de la Seconde Guerre mondiale : l´Anglais Bernard Montgomery et l´Allemand Erwin Rommel. Les deux hommes se sont déjà affrontés en Afrique du Nord, à l´avantage du Britannique, sans que l´aura de l´Allemand en soit ternie. En Normandie, les événements révèlent de nouveau les forces et faiblesses des styles de commandement des deux antagonistes, ainsi que celles de leurs armées respectives. Un duel de haut niveau passé à la postérité et qui trouve son épilogue dans la plaine de Caen.
La bataille de Stalingrad s'étend sur environ six mois, dont trois d'offensive allemande, puis trois du siège par les troupes russes. Elle s'achève par la capitulation de la 6e armée allemande du général Paulus, en février 1943.
C'est la première défaite majeure de l'armée allemande, avec un retentissement dans le monde entier. À partir de cette date, le cours de la Seconde Guerre mondiale change complètement, car l'initiative change de côté : plus jamais l'armée allemande ne sera capable de repartir à l'offensive, pas plus à l'Est qu'en Afrique du Nord, puis à l'Ouest.
Ce tome II de la collection « chars et blindés de la bataille de Normandie » est consacré à l'engagement des principaux types de chars allemands sur le front normand : Panzer IV, Panther, Tiger, Sturmgeschütz III et IV et autres Marder.
On trouve dans le livre des détails sur les effectifs des diverses Panzerdivisionen, les pertes, les renforts, la situation à la fin de la bataille. Le tout est illustré avec de très nombreuses photographies d'époque, ainsi que des profils en couleur des chars engagés de juin à août 1944 sur le front Ouest.
« Où est la RAF ? » Cette question est le leitmotiv des troupes encerclées dans la poche de Dunkerque et attendant leur rembarquement, alors qu'elles sont soumises aux raids aériens incessants de la Luftwaffe.
Pourtant, la RAF est bien là et ses pilotes accomplissent de véritables exploits alors qu'ils pratiquent encore des tactiques obsolètes, contre des adversaires ayant déjà l'expérience de campagnes réussies contre les Polonais, les Belges et les Néerlandais. L'engagement sans faille de la Royal Air Force à Dunkerque, pour soutenir aussi bien le rembarquement des troupes britanniques que des troupes françaises, a permis d'éviter une défaite totale.
Ce livre présente 45 profils d'avions et 114 profils de véhicules de l'armée de Terre en mai juin?1940. Des notices historiques et techniques accompagnent les profils. De même que des diagrammes d'organisation des différentes unités blindées et leur emploi au combat.
L´ouvrage couvre l´intégralité de l´histoire de cette unité, depuis la motorisation de la 10e brigade en 1937 jusqu´à la dissolution de la division 10 ans plus tard. L´ouvrage comprend les parties suivantes: la motorisation de la 10e brigade (1937 - 1938) / la campagne de Pologne 1939, et l´évacuation en France / la campagne de France 1940, et l´évacuation en Grande-Bretagne / la création de la 1re DB en Grande-Bretagne (1942) / - la campagne militaire en Europe du Nord-Ouest (1944-1945) : Normandie, poursuite en France du nord, Belgique, Pays-Bas, Allemagne / l´occupation en Allemagne et la dissolution de l´unité (1947). Le livre est complété de nombreuses photos, certaines de sources polonaises et allemandes, de cartes, et de nombreux témoignages de vétérans.
La guerre à l'Est est, sans conteste, le théâtre d'opérations le plus important de la Seconde Guerre mondiale. Un seul chiffre résume cette évidence : sur les 4 743 000 soldats allemands tués durant la guerre, 3 549 000 ont succombé en combattant l'Armée rouge. En y ajoutant les pertes des pays satellites, notamment de la Roumanie et de la Hongrie, sans oublier l'Italie, on arrive au chiffre de 4,3 millions de morts sur le front russe. Du côté russe, l'historien G. F. Krivochev estime les pertes de l'Armée rouge à 7,5 millions d'hommes (y compris les partisans). Si on ajoute les unités polonaises, roumaines, bulgares ou tchèques subordonnées à l'Armée rouge, le total atteint 7,6 millions d'hommes. Le ratio est donc 1 à 1,8 en faveur de l'Axe (et surtout de la Wehrmacht). Même si ce chiffre est en faveur des Allemands, nous sommes loin des légendes faisant croire que le commandement russe envoyait ses hommes à la boucherie en vagues humaines mal armées et mal entraînées.
Cet ouvrage, qui ne peut évidemment résumer le cours de la guerre à l'Est en 80 pages, présente quelques batailles emblématiques, qu'elles soient connues ou non, du siège de Brest-Litovsk à l'opération Bagration, sans oublier Stalingrad ou Koursk. Elles expliquent pourquoi et comment la Russie a gagné la Seconde Guerre mondiale.