Révision intégrale du parcours de Saint-Jean-Pied-de-Port à Compostelle. Cet itinéraire est depuis longtemps "stabilisé", mais de menues corrections sont régulièrement à apporter, essentiellement dues à des travaux routiers. Voilà qui est fait - par Jean-Pierre Siréjol - suite au décès de Jean-Yves Grégoire au début de l'été 2013. Les informations pratiques concernant les hébergements ont également été entièrement revues et mises à jour.
Rappelons que ce chemin est emprunté par plusieurs dizaines de milliers de pèlerins chaque année et tout au fil des 12 mois.
Découvrez Les sentiers d'Emilie en pays Cathare - 25 promenades pour tous, le livre de Jean-Pierre Siréjol. Les Sentiers d'Émilie, ce sont 25 itinéraires de promenades pédestres faciles, accessibles à toutes et à tous, se parcourant avec aisance en famille, entre amis... ou en rêveur solitaire. Entre Corbières et Montagne Noire, haute vallée de l'Aude et Méditerranée, entre vignobles et canal du Midi, Émilie ouvre aux marcheurs tranquilles un accès privilégié à la rumeur du monde dans ce qu'elle a de plus apaisant. Le plus court de ces parcours ne dépasse pas 1h00 de marche (la chapelle des Auzils) quand les plus longs atteignent 2h30, arrêts bien évidemment non déduits (l'île Sainte-Lucie ; le pech des Trois Seigneurs ; Laviale et le sentier des ruisseaux ; entre Brézilhac et Lasserre-de-Prouille).
"Le Vercors est une citadelle, un bastion, un paquebot en mer. Les hautes murailles calcaires qui cernent ses contours, sillonnent ses gorges et ses vallons, jouent avec les lumières, dissimulent des cheminements improbables que l'on parcourt entre ciel et terre le vertige à portée de main. Comme pour compenser ses raideurs, le Vercors sait se faire doux, s'allonger en longues prairies vallonnées, en plateaux suspendus zébrés de lapiaz. Calcaire, venu des mers, le massif est autant aérien que souterrain." Avec autant de précision que de poésie, Alain Doucé décline cet espace singulier en 52 destinations, du bec de l'Orient au cirque d'Archiane, du Cornafion aux gorges d'Omblèze, du Signal de Nave à la Tête Chevallière en passant par une traversée en deux jours de la Réserve naturelle, avec des dénivelés oscillant entre 70 mètres pour la grotte de Choranche et 1 530 mètres pour le Glandasse...
"Il ne manquerait plus au décor qu'une licorne sortie d'un conte..."
À l'heure où -enfin- une conscience de plus en plus claire se fait jour quant aux problèmes liés à la protection de l'environnement, que sait le randonneur des espaces où il circule (où il se perd, parfois), tant du point de vue de ses droits que celui de ses devoirs ? Quelles idées a-t-il (se fait-il) des espaces réglementés ?
L'auteur, après avoir posé quelques contours philosophiques à l'acte de marcher, répond en différenciant et explicitant ces nombreuses classifications : Parc national, Parc naturel régional, Réserve naturelle, Site classé, Conservatoire du littoral, Natura 2000, Réserve de biosphère, Réserve de chasse, Corridor biologique...
Comment mesure-t-on son implication dans la nature ? Sait-on interpréter la notion d'écosystème, mesure-t-on l'influence humaine sur la modification des paysages, sait-on comment ne pas perturber un habitat ? En deux questions plus simples : la nature, c'est quoi ? Y marcher, comment ?
Cet ouvrage, à glisser dans chaque sac à dos, permet également de choisir un équipement ou un hébergement « éco-responsable », d'acquérir les rudiments de l'observation naturaliste, sans oublier de prévenir les dangers. Ponctué de témoignages de naturalistes, il permettra de randonner sans être déboussolé, d'être réceptif au lieu et au milieu, y compris à l'invisible...
Des hauteurs du Vallespir (Roc de Frausa) aux sommets majeurs des hauts plateaux de la Cerdagne et du Capcir (Tossa Plana de Lles, Carlit, Péric) en passant par le mythique Canigou (trois accès proposés), par les flancs abrupts du Costabonne au fond du Vallespir, par l'impressionnante Pedraforca, par les spectaculaires gorges de la Carança conduisant au pic de l'Enfer, ou par l'immense lac du Lanoux, ce guide vous propose de découvrir à pied les Pyrénées de l'est et du soleil en près de cinquante destinations.
Vous irez ainsi des massifs de rhododendrons enserrant une myriade de lacs dans la région des Bouillouses aux tourbières du Madres, vous pourrez en une boucle de deux jours aller visiter le sanctuaire de Nuria, vous aventurer sereinement au coeur des estives du Parc naturel Cadi-Moixero, ou bien vous porter à un pas de l'Ariège aux pics de Mortiers et de Terrers. Ambiances aériennes, flore riche, miroitement des eaux : vous goûterez avec bienfait aux montagnes catalanes.
La marche à pied est le plus sûr moyen d'accéder au réel.
De soi, de l'autre, des pays. Les 30 itinéraires proposés et décrits dans cet ouvrage sont tous colorés par l'amour d'un auteur pour un espace désigné comme un vrai paradis de la randonnée. Ces parcours ne sont pas affaire de spécialiste : c'est pour chacun ici et maintenant, dans l'évidence du pas suivi d'un autre pas, dans la découverte intime d'un territoire - bien plus qu'un décor -, dans le bonheur si simple d'être là.
Un voile levé sur le visible, un temps qui, certes, se mesure, mais qui se dilate aussi dans la satisfaction d'un accomplissement à hauteur d'homme ou de femme. Navigant entre Méditerranée, Rhône, Durance et Camargue ; bourlinguant entre Alpilles, Calanques, Sainte-Baume et Sainte-Victoire, Patrick Mérienne a concocté pour tous les amoureux de l'art de marcher 30 itinéraires comme autant d'initiations aux lumières, aux senteurs, aux douceurs, aux splendeurs de ce sublime fragment de Provence.
Du sémaphore de l'Aigle aux Saintes-Maries-de-la-Mer, des calanques de Morgiou ou d'En Vau à la Montagnette, des îles du Frioul aux Baux-de-Provence, du cap Couronne à l'abbaye de Silvacane, de l'aqueduc de Roquefavour au lac Bimont, du Garlaban au pic de Bertagne, à chacune et à chacun d'élire son chemin. Les plus courts de ces parcours ne dépassent guère 2h30 de marche (Istres et la colline Saint-Etienne ; le lac Zola et l'aqueduc du Doudon) quand les plus longs atteignent ou dépassent légèrement les 6 heures (Salin-de-Giraud ; le Pilon du Roi dans le massif de l'Etoile).
Les meilleures façons de marcher, entre mythe et étonnement...
La Via Domitia a été élaborée à partir de 120 av J-C par le consul Cneus Domitius Ahenobarbus au moment de la conquête du Sud de la Gaule. Cet axe routier reliant l'Italie aux provinces d'Espagne existait certainement déjà à la préhistoire. Depuis Turin, cette route partiellement empierrée franchissait les Alpes au col du Montgenèvre, gagnait le delta du Rhône par les vallées de la Durance, du Calavon et du Coulon, traversait les plaines du Languedoc et du Roussillon pour aboutir en Espagne par le col de Panissars, près du Perthus. Durant le Moyen Age, les commerçants l'empruntaient toujours, mais également les pèlerins, parmi lesquels on pouvait mentionner les jacquets italiens se rendant à Compostelle, mais aussi les roumieux français désirant rallier la Via Francigena pour rejoindre Rome. Dans ce guide pratique, destine tant aux uns qu'aux autres, nous nous inspirons du GR 653D. Mais, parfois, nous nous en écartons afin d'aller au plus court dans un esprit correspondant plus certainement aux conceptions des marcheurs contemporains au long cours se rendant à Compostelle ou à Rome. En vingt étapes, dans un sens comme dans l'autre, cet itinéraire visite Briançon, Embrun, Gap, Sisteron, le prieuré de Ganagobie, Forcalquier, Apt, Cavaillon et Saint-Rémy-de-Provence. Dans le sens nord-sud, son terminus (provisoire) sera Arles, clans l'autre, le Montgenèvre.
Complexité et beauté des formes ; camaïeu de bleus et reliefs entaillés, escarpés ; masses rocheuses d'un blanc éclatant. Odeurs de pinède, de ciste, de romarin ; mistral nettoyant le ciel, marin le brouillant. Garrigue et pins d'Alep ; aiguilles, éboulis, lapiaz, criques; calcaire fracturé il y a cinq millions d'années.
Autant dire que randonner dans les Calanques, c'est s'aventurer sous le feu du soleil, tendre vers la turquoise ou l'outremer des eaux, éprouver ça et là le vertige, et aux mêmes lieux vérifier ce qu'aridité et isolement signifient. Entre mer et ciel, au royaume du minéral, marcher de la calanque de Port-Miou au sommet de Marseilleveyre, de la calanque de Sugiton au vallon du Piadon, du chemin du Centaure au col de la Selle ou au cirque des Walkyries, et même aux îles du Frioul, c'est épouser pour quelques heures la magnificence provençale, c'est recevoir - en cette lumière - suffisamment d'éclats de splendeur. C'est pénétrer l'harmonie du chaos...
Patrick Mérienne a concocté le plus séduisant des passeports pour devenir un intime des Calanques : vingt-deux itinéraires s'étageant pour la plupart entre 2h30 et 3h00 de marche, entre 300 et 400 mètres de dénivelé.
Tracés depuis plus de mille ans à partir de tous les pays d'Europe et au-delà, les chemins de Saint-Jacques conduisent ceux qui les empruntent à s'identifier à leur propre histoire, à questionner leur âme et leur conscience.
Mais au fait :
Comment part-on vers Compostelle ? Favoriser le départ de ceux qui en rêvent est l'objectif de ce manuel. Pour y parvenir, l'auteur informe sur les sujets qui peuvent être cause de préoccupation et donne les moyens d'une bonne préparation technique au voyage par des informations et des conseils pratiques. Il répond aux questions sur les divers itinéraires, le choix du matériel, le poids du paquetage, les soins en route, le budget, l'orientation, le gîte et le couvert, le repos, les spécificités du voyage à vélo ou avec un âne, etc.
Vous trouverez aussi dans ces pages ce qu'il faut savoir sur l'histoire jacquaire et son jargon. Les conseils que vous trouverez ne représentent pas une norme, car il existe autant de méthodes que de personnalités. Ils fournissent néanmoins la matière qui vous permettra de décider en connaissance de cause. Les textes sont conçus dans l'optique d'un voyage de longue durée, mais sont, bien entendu, applicables pour celle ou celui qui ne souhaite effectuer qu'une portion de chemin.
Ils sont basés sur l'expérience d'une pérégrination de 2000 km, en continu.
L'expérience du "aller à Compostelle" est unique et mérite son document préparatoire, son vade-mecum... Laurent Denis en est l'arrangeur.
22 itinéraires pour aller à la découverte à VTT et/ou à VTC du nord et de l'est du département de la Gironde, découpé pour la circonstance en trois secteurs : Blayais, Bourgeais, Libournais ; Entre-deux-Mers ; Graves et Haute-Lande. De citadelle en bastide, de pavillon de chasse en abbaye, de vignoble en forêt, ces parcours faciles, praticables par toutes et tous, vous permettront d'apprécier Cadillac, Saint-Emilion, Blasimon, Sauveterre ou Bazas. Les plus courts frôlent 11 km (Autour de Bourg ; la piste Lapébie à Créon) quand les plus longs oscillent autour de 25 km (la piste des grands crus à Saint-Emilion ; Autour de Saint-Sulpice-des-Faleyrens).
Outre des cartes spécialement dessinées pour cette collection, des cases de road-book illustrent de manière singulière et unique chaque changement de direction. Ce volume de la collection Les Echappées Vertes constitue une invitation fouillée et très précise à rouler en toute sérénité.
Du milieu des années 1980 à aujourd'hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! Si la plupart d'entre eux s'y rendent à pied, on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc. Certains accomplissent le périple d'une traite, d'autres le morcèlent en raison de contingences personnelles. sachant qu'à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l'intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n'est jamais anodin et laisse des traces !
Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd'hui, les pèlerins vont à Rome ou à Jérusalem en utilisant tous les moyens de locomotion. Alors, pourquoi pas à Saint-Jacques ? Pour cette raison, Les routes de Compostelle en Espagne sont destinées à des pèlerins ou de simples visiteurs, mais motorisés.
De Saint-Jean-Pied-de-Port, la pyrénéenne, à Saint-Jacques-de-Compostelle, la galicienne, se déroule l'un des plus célèbres chemins de pèlerinage d'Europe, façonné par les hommes et leur histoire.
Prendre ce chemin, aujourd'hui balisé, c'est s'engager dans une aventure de notre temps inscrite dans un espace très imprégné d'hier et toujours en devenir ; aller à Compostelle défiant toute tentative de résumé.. C'est aussi visiter Roncevaux, Pampelune, Burgos, Léon, Astorga, Ponferrada.
Fureteurs de grands espaces et curieux d'histoires, de sites, d'oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage pratique (routes à suivre, hébergements) matière à suivre l'intégralité du Chemin Côtier (Camino del Norte) et du Camino Francés.
Tout au long de ce périple de 270 à 300 km, un chemin qui traverse 2 régions (Limousin et Midi-Pyrénées), 4 départements (Creuse, Haute-Vienne, Corrèze, Lot) et 2 Parcs Naturels Régionaux.
Les Sentiers d'Emilie sont des itinéraires de promenades pédestres faciles, accessibles à toutes et à tous, sans expérience requise de la marche régulière. D'une durée généralement inférieure à 2h30, les plus courts, en Bretagne, vous conduiront en 45 minutes au Mont-Dol (Ille-et-Vilaine) ou 1h00 au cap de la Chèvre (Finistère Nord). Pour les plus longs, vous compterez 3h15 pour le tour du Menez Hom ou la pointe Saint-Mathieu (Finistère Sud) ou encore l'île d'Arz (Morbihan).
Les cinq départements bretons sont concernés. Ces destinations, la plupart du temps en boucle, sont presque autant de théâtres de pleine nature - à moins qu'ils ne suivent des rues moyenâgeuses - où enfants, parents et grands-parents ont rendez-vous avec l'apaisement ici, l'étonnement là. On peut bien entendu y glisser ses rêveries de promeneur solitaire.
Littoraux et intérieur des terres sont visités: la pointe du Van comme les chemins creux de la Paquelais, l'île Callot comme les rochers de Ruminy, le cap d'Erquy comme la grotte d'Artus à Huelgoat, le chemin côtier de Pospico à Port-Manech comme les landes de Locarn, le bocage de Mellé comme la Brière à Bréca.
C'est en fait le GR 65, en 29 étapes dont Conques, Cahors, Moissac: le "chemin des étoiles" par ce qui fut la via Podiensis. A la précision de parcours répond un texte contant l'Histoire et les histoires du chemin.
Nouvelle édition avec mise à jour des hébergements et adjonction de la varainte dite de Rocamadour (en 11 étapes). Autre variante en 5 étapes par Villefranche-de-Rouergue.
Trente randonnées dans les vignes de l'Île-de-France ? Ce n'est pas l'effet d'un laisser-aller dans un bar à vin... Plusieurs milliers de pieds de vigne sont cultivés à Paris et surtout autour de la capitale, redessinant le paysage, permettant - évidemment - des moments festifs. Ce guide propose des itinéraires en boucle, de moins de deux heures (Bercy, 1h40) à la journée (Pays de la Mauldre, 5h40), au départ de gares, longeant la ou les vigne(s) locale(s), au carrefour du patrimonial et du culturel.
Depuis l'époque carolingienne, des vignes existent sur les coteaux de Charonne,k Belleville, Montmartre, à Suresnes, Issy, Vanves, Pierrefitte... L'époque médiévale constitua même un âge d'or pour le vignoble francilien. Les vins blancs firent l'objet d'éloges. A la fin du XVIIIe siècle, Argenteuil est la première commune viticole française (1 000 ha). Puis les céréales et les cultures maraîchères remplacent les vignes. Après la Première Guerre mondiale, ce qui subsiste est très marginal (moins de 250 ha, principalement en Seine-et-Marne). Pourtant, à partir des années 1970, sous l'impulsion de quelques particuliers, de nouveau des pieds de vigne sont plantés. Et le vignoble redémarre.En 2007, 152 parcelles sont cultivées et produisent (14 rien qu'à Paris, 28 dans les Yvelines), de quelques dizaines de pieds à plusieurs centaines. Le chardonnay domine, devant le pinot noir, dans une démarche de qualité. Vous disposez de près de 350 km pour vous en convaincre et pour découvrir un territoire changeant.
"Les Bardenas ? L'Arizona et le désert saharien à la fois, à cheval sur la Navarre et l'Aragon, à une soixantaine de kilomètres au sud de Pampelune et à une centaine seulement, mais à vol... de gypaète, des sommets basques de la chaîne pyrénéenne. Le vent et la pluie, sévissant sur ce monde d'argile, de marne et de grès, ont façonné des collines arides striées par mille ravines, sculpté des cheminées de fées géantes, creusé des barrancos brûlés par le soleil (Jacques Jolfre)." Si ce paysage est rude, il est aussi d'une beauté saisissante que ce guide, en quinze itinéraires praticables à pied et/ou à VTT, vous invite à explorer, sous le vol des vautours, de la Piskerra au Castillo de Penaflor, du Rallon à la Virgen del Yugo, à traverser même en 50km, du Monumento al Pastor à la ermita de Sancho Abarca.
Randonner aux Bardenas, où paissent quelques moutons, où se dressent quelques épis de céréales, c'est se situer hors du temps, dans un espace aux dimensions insolites.
C'est randonner hors les normes.
Les Sentiers d'Emilie, ce sont 25 promenades pédestres faciles, accessibles à toutes et à tous, sans expérience requise de la marche régulière. Du bocage bressan aux mille et un étangs de la Dombes, du lac Genin aux falaises du Bugey, des rives de l'Ain à celles de la Saône ou du Rhône, ces parcours de promenades vous donnent rendez-vous avec l'émerveillement et l'apaisement. Les plus courts ne dépassent guère l'heure de marche (Fenille, basilique d'Ars, lacs de Chavoley et de Morgneux) quand les plus longs atteignent, voire dépassent, trois heures (Saint-Trivier-de-Courtes, mont Verjon, Arnans et la chartreuse de la Petite Montagne).
" les sentiers d'émilie ", ce sont 25 itinéraires de promenades pédestres accessibles à toutes et à tous, permettant de découvrir un territoire au meilleur rythme qui soit : celui de vos pas.
Les plus courts de ces parcours durent environ une heure (cascades de muret ; mont bessou), quand les plus longs atteignent trois heures (chemin de fa noix à collongesla-rouge ; hauteurs d'altillac ; les monédières). émilie convie petits et grands à emprunter les sentiers, pistes et chemins d'un département drainé par l'auv ézère, la vézère, la corrèze et la dordogne, culminant à près de 1000 m. vous y passerez du causse avec fa montagne pelée aux ruines du château de ventador, des ardoisières de travassac aux tourbières de longeyroux, des gorges du saillant aux orgues de bort (avec un dénivelé de 480 m).
Et vous pourrez même enchaîner deux boucles à partir d'un même point de départ pour flâner entre aven et saint-robert.
Les Sentiers d'Emilie, ce sont 25 itinéraires de promenades pédestres accessibles à toutes et à tous : parents accompagnés de jeunes enfants, amoureux à la semelle légère, marcheurs du dimanche, sportifs nonchalants, retraités énergiques...
Emilie vous conduit en Charente à la découverte des dolmens de Villesoubis, des thermes de Chassenon ou bien du moulin de Villefagnan. Le plus court des parcours ne dépasse pas 1h20 de marche (Confolens au coeur) quand le plus long totalise 3h30 (Montrollet et sa montagne : le point culminant du département, à 368 m).
Les Sentiers d'Emilie sont des itinéraires de promenades pédestres accessibles à toutes et à tous, sans condition d'entraînement préalable mais composés de sites attachants, de panoramas remarquables, organisant au mieux l'enchaînement des points de vue sur la nature.
Dans la moitié nord du département de l'Ardèche, vous découvrirez les lacs du Ternay et du Devesset, les grottes de la Jaubernie et l'île de Printegarde, la vallée du Thorrenson et les rochers du Duestre et de Brion. Vous partirez à l'assaut de la Croix du Suc ou bien du Mézenc, saisirez l'importance du moulinage, du tissage et tannage dans l'Ardèche d'hier, vous vous interrogerez au sein du champ de pierres philosophiques du côté de Borée...
Le plus court de ces 18 parcours ne dépasse pas un eheure de marche (lac d'Issarlès) quand les plus longs atteignent 3h30 (Chalencon et le sentier du vigneron ; le château de Pierregourde).
Marcher avec Emilie c'est aller d'émerveillement en apaisement, des Boutières (Privas) au Haut-Vivarais (Annonay)...
Alpages de Chalufy, au nord par le cours inférieur de l'Ubaye et au sud, près de Digne, par la vallée de l'Asse. Les cinquante-trois destinations décrites ici avec précision s'étirent également au-dessus des vallées de rissole, de la Chasse, de la Bléone, de la Blanche, du Bes et des Duyes.
Vous vous y déplacerez des calcaires du Cheval Blanc aux éboulis de la Résinière. Vous gravirez le Blayeul soit depuis Le Villard, soit depuis Verdaches ; vous aborderez les Cloches de Barles aussi bien que le Vélodrome ou le pic des Têtes. Vous observerez les mouflons du ravin du Vabret et les chamois du Caduc ; vous n'hésiterez pas à affronter la Grande Séolane aussi bien que la Tête de Chabrières.
Vous êtes dans les Alpes-de-Haute-Provence pour des échappées en plein ciel, avec des dénivelés compris entre 250 et 1800 m...
Les Sentiers d'Émilie dans le sud des Landes : 18 itinéraires pour des promenades pédestres faciles et de qualité. Du bassin de l'Adour au rivage de l'Atlantique les plus courts de ces parcours ne dépassent pas 1h30 de marche (Entre Peyrehorade et Aspremont ; Vers les hauteurs de Sorde-l'Abbaye) quand le plus long totalise 3h00 (Les étangs de Moliets). Entre pins maritimes, osmondes, roseaux, bruyères callunes et fougères, Émilie guide vos pas sur les rives de l'étang d'Hardy et celles de l'étang de Léon aussi bien qu'au sein de la tourbière de Mées ou bien le long du canal du Boudigau à Capbreton. Vieux-Boucau, Soustons, Hossegor, Seignosse : des noms qui sentent les embruns autant que la résine...
C'est le guide de découverte d'un territoire à la manière douce.
Une somme sans retenue de découvertes et de promenades.
La marche à pied est le plus sûr moyen d'accéder au réel. De soi, de l'autre, des pays. Les 30 itinéraires proposés et décrits dans cet ouvrage sont tous colorés par l'amour d'un auteur pour un espace désigné comme un vrai paradis de la randonnée. Ces parcours ne sont pas affaire de spécialiste : c'est pour chacun ici et maintenant, dans l'évidence du pas suivi d'un autre pas, dans la découverte intime d'un territoire - bien plus qu'un décor -, dans le bonheur si simple d'être là. un voile levé sur le visible, un temps qui, certes, se mesure, mais qui se dilate aussi dans la satisfaction d'un accomplissement à hauteur d'homme ou de femme.
Ce volume a pour cadre le département du Gard qui s'étend de la Petite Camargue au mont Aigoual (1565 m) - vigie du Parc national des Cévennes, pays du schiste, du granite et des châtaigniers - en passant par les Costières de Nîmes (entre manades et cultures fruitières) et les garrigues, de Sommières à Pont-saint-Esprit (où les sangliers fouissent et grommellent entre chênes verts et vignobles, capitelles et dolmens).
Le plus court de ces parcours ne dépasse pas 4h00 de marche (les gorges du Gardon à Collias) quand le plus long atteint 6h30 (Gourdouse et les rochers de Trenze). C'est d'ailleurs cet itinéraire qui cumule le plus de dénivelé avec 1100 m, alors qu'il vous faudra compter moins de 50 m le long des près du Cailar. Du Saint-Guiral au mont Bouquet, des gorges de l'Ardèche à celles de la Vis, de la draille de Bonperrier aux cascades d'Orgon, du pic d'Anjeau au Pont du Gard, vous vous glisserez dans l'intimité d'un territoire aux contrastes forts. Passant, par exemple, du chemin des Morts (à Camprieu) à la vallée du Bonheur (depuis l'Espérou)...