Récits de chasse au petit gibier (bécasse, perdreau, lièvre, coq de bruyère, grive, etc.) et au chamois en Dauphiné avant la Première guerre mondiale.
La dernière édition du plus célèbre manuel de piégeage, paru en 1935, largement complétée et augmentée.
Tactique (les engins, le piégeur, les animaux, les leurres, les sens des nuisibles), technique et pratique du piégeage : les différents types de pièges et de boîtes ; où les placer et comment les construire ; les qualités d'un bon piège ; la préparation du terrain de piégeage ; le piégeage au passage ou avec appâts ; les détentes pour pièges ; la visite des pièges et les résultats ; les accidents dus au piégeage ; la détermination de l'animal auteur d'un méfait ; la mise à mort des nuisibles capturés ; le dépouillement des animaux à fourrure ; le calendrier détaillé du piégeage et des travaux du garde ; etc.
Avec plus de 120 croquis de construction et de pose de pièges, détaillés et pratiques.
Une anthologie des meilleurs textes d'autrefois ou plus récents, où se mêlent nostalgie, passion et émotion, réunis pour le plaisir des chasseurs.Chaque jour, une histoire amusante, surprenante, ironique ou insolite, accompagnée de charmantes illustrations anciennes.Tous les grands gibiers de nos régions se retrouvent dans ce recueil (cerf, chevreuil, sanglier, renard, blaireau, ours, chamois et isard, daim, bouquetin, etc.) qui comprend des récits de chasse à tir et à courre, des remarques zoologiques et quelques dissertations gastronomiques, du Moyen Âge à nos jours.Passionné de littérature, de chasse et de cuisine du gibier, auteur de plusieurs ouvrages et de très nombreux articles cynégétiques, Jacques Reder a retrouvé ces textes au fil de ses lectures et a su découvrir quelques raretés oubliées.
Les souvenirs inédits et remarquables d'une passionnée qui suit depuis sa plus tendre enfance (en 1926) les chasses à courre en Ermenonville, Chantilly, Halatte, Compiègne et Villers-Cotterêts : Pique Avant Nivernais, Pic'Ardie Valois puis Rallye Trois Forêts. Dotée d'un sens de la chasse hors du commun, d'une connaissance des chiens et de la forêt qu'elle parcourt par tout temps et en tous sens, Christiane Convert Desprez, dite Taïaut, livre un témoignage précieux pour tous les veneurs et les suiveurs, épris de ce mode de chasse et de ses traditions.
On lit ce livre comme on suit une chasse. Avec attention et passion.
Pierre de Roüalle, président de la Société de vénerie Quel sacré piqueux aurait-elle été !
Claude d'Aillières, ancien maître d'équipage du Rallye Trois Forêts Préface, introduction et postface de Pierre de Roüalle, Claude d'Aillières,Béatrice Verro et François-Xavier Allonneau.
Nombreuses photos en noir et en couleurs, dont certaines de Roger Barbier-Petit.
Un superbe album pour conserver les moments forts de vos chasses : souvenirs, récits, poèmes et chansons, photos, croquis et aquarelles, collages, trouveront ici leur place. Un album pour vos tableaux de chasse : tout au long de la saison inscrivez vos tableaux de chasse, ceux de votre groupe d'amis, de votre société, de votre équipage ou de votre hutte. Un album pour vos dîners de chasse : revivez vos meilleures soirées en inscrivant les menus, les circonstances et les différents invités.
Vous pouvez aussi y coller les étiquettes des meilleurs flacons débouchés entre amis pour fêter vos plus beaux trophées ou tout simplement le bonheur d'une belle journée de chasse. Un album pour vos souvenirs de chasse : racontez vos meilleurs souvenirs de chasse pour en garder la trace, pour vos amis et votre famille. Cet album va recueillir vos meilleures anecdotes, les réussites comme les coups de malchance et tous ces merveilleux moments vécus dans les bois, en plaine, au marais ou sur les pistes du bout du monde.
Un album pour vos croquis et vos aquarelles : au fil de ces feuillets, faites revivre en quelques coups de crayons ou de pinceaux les merveilles de la nature et du gibier qui la peuple. Un album pour vos recettes de gibier : conservez les recettes de vos meilleures préparations de gibier, celles qui ont régalé votre famille et vos amis, avec vos astuces et vos conseils, sans oublier les vins qui les accompagnent le mieux.
Un album pour vos photos : au fil de ces pages, collez vos photos, souvenirs des meilleurs instants de chasse et des animaux que vous avez approchés sans les déranger. Un merveilleux album à feuilleter ensuite au fil des ans.
Reprint d'un livre de référence publié en 1931.
Courally détaille la fabrication des armes de chasse : canon, tir, mécanisme, crosse et finition, armes à usages spéciaux (canardières, etc.), armes de chasse rayées, carabines, fusils à répétition et automatiques, etc. Largement illustré de 320 croquis techniques et de photos en noir et blanc.
Passionné d'armes à feu, Ferdinand Courally reprend la firme créée par Auguste Lebeaud et devient l'un des plus célèbres armuriers liégeois.
"Il était environ 9 h 30 lorsque le comte Clary priait le roi de Portugal ainsi que les invités de le suivre pour les placer à leur jalon respectif.
Celui du roi portait sur un petit poteau la couleur de sa maison royale et ses armoiries délicatement peintes sur une plaquette de bois ; les mêmes honneurs étaient réservés à SAS le prince de Monaco, qui se tenait à la droite du roi. Aussitôt les tireurs placés, le garde-chef, qui était auprès du baron Henri, donnait le coup de corne pour mettre en marche les rabatteurs, et bientôt commençait la fusillade la plus nourrie, régulière, sans bouquet ni vide, d'où tombait une pluie d'oiseaux, devant et derrière cette ligne de fusils qui comptait, à mon avis, les trois meilleurs dans la catégorie des réputés très bons".
Les récits de chasse à travers le monde du grand explorateur anglais (1821-1893) qui fut l'un des premiers découvreurs du lac Victoria et des sources du Nil. Attaché à décrire la faune sauvage, il livre des récits étonnants et cocasses de ses chasses, en compagnie de sa femme et des chasseurs indigènes, en Inde, à Ceylan, dans la corne de l'Afrique, en Amérique du Nord, en Écosse, etc.
Extrait.
"J'avais devant moi la récompense de mon obstination : à 100 m sur ma gauche, la tête et le cou du tigre sortaient de l'eau dans laquelle le corps trempait pour se rafraîchir. Comme je le pensais, il prenait tranquillement son bain tandis que nous nous épuisions à battre la seconde partie de la forêt après qu'il eut pris les grands devants. Bien que vieux praticien, Fazil, le cornac, était tout excité. "Tirez vite" chuchota-t-il. "Trop loin" répondis-je sur le même ton [...] Juste à ce moment le tigre se souleva et s'assit comme un chien. Jamais je n'avais vu pareil spectacle. La tête splendide, les yeux comme des fanaux électriques à lampe verte tandis que le grand corps, longtemps couché sur un fond l'alluvion, ruisselait d'eau boueuse.
"... Je comptais les foulées de l'éléphant longeant la bordure jusqu'à me trouver sûr d'être à bonne distance [...] Je fis soudain arrêter : le tigre était là, face à moi, cette fois à 50 m. "Tiens ta bête tranquille" et, m'appuyant sur le bord du howdah, je pris ma visée. Comme par un fait exprès, une branche de tamaris se balançait à la brise juste devant moi. Fazil se pencha et la baissa doucement : j'avais le champ libre. Les yeux du tigre luisaient toujours comme des feux verts ; Nielmonnée resta comme un roc pendant quelques secondes. Je pressai la détente."
Souvenirs de chasse à courre au sanglier ou de quêtes plus originales menées par Léon Salles, parent de l'auteur, avec son chien Boulo. Le récit évoque l'acquisition du chiot dans le Massif central natal du chasseur, son dressage et leur amitié indéfectible au fil de leurs aventures cynégétiques dans la Touraine rurale de l'après Seconde Guerre mondiale.
Récits de chasse du grand gibier en montagne où l'auteur n'évoque pas d'exploit ni de conquête de trophée mais les émotions variées ressenties par le chasseur passionné de haute montagne. Il témoigne notamment de l'attitude des animaux et des hommes face aux retours du loup et des vautours dans ces grands espaces et observe les effets du changement climatique.
L'auteur chassait en Centrafrique dans les années 1970, guidé par Bob Pujol.
Ses souvenirs comprennent le récit d'une chasse au nord du pays, où il fut chargé violemment par un lion. Un moment inoubliable...
Célèbre roman de vénerie : la vie aventureuse et passionnée d'une amazone polonaise en pays poitevin.
Illustrations de Matthieu Sordot.
Voici l'extraordinaire épopée de Madame Hallali, une des figures féminines mythiques de la chasse à courre. Un texte singulier, chargé d'émotion et de passion romantique, qui entraîne le lecteur des forêts prussiennes au bocage vendéen, à la suite des chiens, des cerfs, des sangliers et des loups...
Contemporain de Balzac et d'Alexandre Dumas, le marquis de Foudras (1800-1872), célèbre gentilhomme chasseur bourguignon, a laissé une comédie humaine de la chasse où il dépeint les caractères et les types de la France des XVIIIe et XIXe siècles.
Ce volume est le deuxième de la collection des Oeuvres cynégétiques complètes illustrées de Théodore de Foudras publiée à l'occasion du deux centième anniversaire de sa naissance. Le texte de Madame Hallali, paru pour la première fois en 1863, est enrichi d'une présentation historique et d'études biographiques.
Ce texte n'avait pas été réédité depuis cinquante ans.
Il est enrichi d'une importante biographie du marquis de Foudras réalisée à partir des connaissances les plus récentes, et une étude originale sur la chasse en France à la fin de l'ancien régime par un conservateur du Musée de la chasse et de la nature (Paris) Une édition entièrement revue et recomposée, accompagnée d'une présentation historique et d'aquarelles originales inédites.
Ce volume est préfacé par Isabelle Reille, alors président de la Société des amis du Musée international de la chasse (Gien)
Avant la guerre de 1914, les plaines du Rhin, de l'Alsace au grand-duché de Bade, étaient un paradis où le gibier foisonnait. Chevreuils, sangliers, bécasses ou perdreaux faisaient le bonheur des chasseurs.
D'une plume chaleureuse, James Jaquet (1856-1936) raconte ses émotions de chasse au coeur d'une nature généreuse.
Nous examinons avec attention les buissons et les touffes de fougères qui sont devant nous. Voici, au loin, une tache rouge dans les herbes. Elle disparaît pour reparaître un peu plus loin. À l'aide de nos jumelles, nous voyons que c'est un chevreuil, une forte bête, mais la tête baissée vers le sol n'est pas distincte. Enfin, cette tête se dresse au-dessus d'un buisson et se détache sur le ciel matinal. C'est bien notre brocard ; ses bois superbes sont parfaitement visibles. Il reste longtemps immobile.
Comme il avance avec précaution ! Il se dirige, ainsi que nous l'avions prévu, vers les hauts bois ; dans peu d'instants, il aura atteint la percée verte qui descend à gauche de nous. Lentement, la carabine a été mise en joue, le coup part et le brocard, après un bond puissant, disparaît dans les hautes herbes. À l'endroit où il se trouvait, nous cherchons avec soin. Voici, sur une feuille de fraisier une goutte de sang et quelques poils coupés.
Illustrateur et peintre de talent, Rien Poortvliet (1932-1995) est un fervent admirateur de la nature. Cet album -qui était introuvable depuis des années- réunit ses meilleurs dessins et aquarelles d'animaux, de chasse et de chasseurs. Une référence.
Poortvliet est passé à la postérité pour ses dessins d'animaux et pour ses célèbres albums sur les gnomes, toujours réédités. Un musée lui est consacré aux Pays-Bas, sur l'île de Tiengemeten.
Préface du prince Bernhard des Pays-Bas.
Il y en a un, dit le Commandant, dont j'aurais bien voulu voir la bobine, c'est le berger quand il nous a entendus tirer les coqs levés par son chien !
- Combien en avons-nous finalement ? demanda l'Ingénieur.
- Quatre pour toi, deux pour le Commandant, deux pour moi, cela fait huit.
Épatant, c'est la première fois que nous réussissons aussi bien !À ce moment un gémissement aigu retentit à nouveau stoppant le jeu de nos fourchettes et celui de nos mâchoires, le Commandant se leva, le fusil au poing, puis, comme plus rien ne se faisait entendre:
- Laisse donc, dis-je la bouche pleine, ne vois-tu pas qu'il rabâche ce cabot?
Au même instant la voix du roquet s'éleva encore et deux coqs fondirent sur nous fournissant au Commandant l'occasion d'un superbe doublé.
Dix! annonça-t-il triomphant!
- À toi! lui criai-je en voyant un nouvel oiseau apparaître au-dessus des arcosses. » Dans la première moitié du XXe siècle, Louis George, chasseur, conteur, écrivain et homme d'action, pratique toutes les chasses mais c'est celle du coq en Maurienne et en Tarentaise qui lui procure les plus grandesjoies.
"Laissant les Lepchas derrière moi, je continue l'ascension mon fusil à une main. De l'autre, je m'accroche aux rocs branlants. A 200 m, je me jette à plat ventre et cale mon arme sur une pierre. Et maintenant le coup au but?!
"La première balle touche le schapi à la poitrine. L'animal bondit, retombe sur ses pattes, rue, se lance en pleine pente de la même manière que son compagnon de la veille. Pour échapper, le bouc traverse un étroit passage au bas d'une ravine. Une balle le foudroie. Sans un cri, le schapi s'affaisse, trébuche et s'écroule. Entraîné par la pente, le corps culbute et tombe dans le vide avant de venir, 300m plus bas, rebondir sur le rebord d'une faille où il disparaît dans une coulée de neige." Illustré de photos en noir et blanc.