Le fin mot de l'histoire : 201 expressions pour épater la galerie

,

À propos

Tiens, voilà du boudin ! Découvrir le pot aux roses. J'y suis, j'y reste. Travailler pour le roi de Prusse. Être pété de thunes. Se prendre pour le premier moutardier du pape. Qui m'aime me suive ! Faire danser la carmagnole... D'où viennent ces 201 expressions de la langue française ? Que racontent-elles de notre histoire ? Comment continuent-elles de faire écho à l'actualité ? Ce plongeon dans l'histoire de France nous fait découvrir les origines de ces bons mots avec lesquels nous jonglons tous les jours sans plus y penser. Un livre à l'esprit frondeur pour épater la galerie sans coup férir !


Rayons : Littérature > Humour


  • Auteur(s)

    Nathalie Gendrot, Guillaume Meurice

  • Éditeur

    Flammarion

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    01/03/2023

  • Collection

    Documents

  • EAN

    9782080422040

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    180 Pages

  • Longueur

    13.5 cm

  • Largeur

    22 cm

  • Épaisseur

    2.1 cm

  • Poids

    356 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Nathalie Gendrot

  • Naissance : 1-1-1981
  • Age : 43 ans
  • Pays : France
  • Langue : Francais

Nathalie Gendrot n'a pas sa plume dans sa poche. Romancière et dramaturge, elle a collaboré avec Alain Rey à plusieurs ouvrages sur la langue parus au Robert

Guillaume Meurice

  • Naissance : 14-6-1981
  • Age : 43 ans
  • Pays : France
  • Langue : Francais

Guillaume Meurice est humoriste sur scène et à la radio, sur France Inter. Il est l'auteur de plusieurs romans dont Le roi n'avait pas ri (Lattès, 2021), dans lequel il narre l'histoire de Triboulet, bouffon à la cour du roi François Ier. Guillaume Meurice est également médiocre, mais il le vit plutôt bien.
Le livre : Médiocre : de qualité moyenne, qui tient le milieu entre le grand et le petit. La normalité, version péjorative, avec un arrière-goût de nullité.
Chez Guillaume Meurice, la médiocrité, ça remonte à loin. Dès l'école, il considère 10/20 comme la note parfaite, le « juste ce qu'il faut » qui a la poésie et la fragilité d'une barre effleurée par un sauteur en hauteur.
Depuis, il s'est rendu compte qu'il n'y a rien de plus émancipateur que la médiocrité : elle permet de faire ce qui vous plaît, pour le simple plaisir de le faire, pour la beauté du geste. Elle est un refus de la hiérarchie et un pied-de-nez à la quête de la performance. Avec ce Petit éloge de la médiocrité, Guillaume Meurice n'a jamais si bien maîtrisé son
sujet.

empty