L'atlas des vins de France (édition 2018) (préface Erik Orsenna)

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À propos

L'atlas de l'excellence vinicole française.

L'ouvrage, abondamment illustré, présente la totalité des Appellations d'Origine Contrôlées, des Indications Géographiques Protégées (IGP) et des Eaux de vie de France.
Laure Gasparotto et Jean-Pierre de Monza, auteurs, accompagnent le lecteur dans un parcours de connaissance très documenté, à la découverte des innombrables richesses de la production vinicole française.
Chaque appellation ou dénomination fait l'objet d'une présentation détaillée en onze items : Le nom de l'appellation ou de la dénomination, les mentions de l'étiquette, la date d'obtention de l'appellation ou de la dénomination, l'encépagement, le rendement à l'hectare, la durée d'élevage, les volumes produits, la présentation du milieu naturel et humain et des caractéristiques organoleptiques, la durée de conservation, la température de dégustation, les affinités gourmandes.
Des dizaines de cartes, spécialement conçues pour l'ouvrage localisent les 5 500 communes viticoles au sein des aires d'appellations ou de dénominations.

Rayons : Vie pratique & Loisirs > Arts de la table / Gastronomie > Vins et boissons > Vins / Champagnes

  • Auteur(s)

    Laure Gasparotto, Erik Orsenna

  • Éditeur

    Editions De Monza

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    09/11/2017

  • EAN

    9782916231464

  • Disponibilité

    Indisponible

  • Nombre de pages

    358 Pages

  • Longueur

    31 cm

  • Largeur

    24 cm

  • Épaisseur

    3.2 cm

  • Poids

    2 400 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Laure Gasparotto

Diplômée d'histoire, est journaliste et auteur spécialisée dans le monde du vin. Elle travaille sur ce sujet pour
Le Monde et son magazine, le M. Elle a également écrit plusieurs ouvrages. JEAN-PIERRE DE MONZA
initiateur de l'ouvrage et auteur des versions précédentes avec Fernand Woutaz.

Erik Orsenna

Je suis né à Paris, le 22 mars 1947 (de mon vrai nom Erik Arnoult), d'une famille où l'on trouve des banquiers saumurois, des paysans luxembourgeois et une papetière cubaine. Après des études de philosophie et de sciences politiques, je choisis l'économie. De retour d'Angleterre (London School of Economics), je publie mon premier roman en même temps que je deviens docteur d'État. Je prends pour pseudonyme Orsenna, le nom de la vieille ville du Rivage des Syrtes, de Julien Gracq.
Suivent onze années de recherche et d'enseignement dans le domaine de la finance internationale et de l'économie du développement (Université de Paris I, École normale supérieure). En 1981, Jean-Pierre Cot, ministre de la Coopération, m'appelle à son cabinet. Je m'y occuperai des matières premières et des négociations multilatérales. Deux ans plus tard, je rejoins l'Élysée en tant que conseiller culturel (et rédacteur des ébauches de discours subalternes). Dans les années 1990, auprès de Roland Dumas, ministre des Affaires étrangères, je traiterai de la démocratisation en Afrique et des relations entre l'Europe du Sud et le Maghreb. Entre-temps, j'ai quitté l'Université pour entrer, en décembre 1985, au Conseil d'État. Conseiller d'État depuis juillet 2000, je suis actuellement en disponibilité.
J'ai toujours voulu avoir un autre métier que l'écriture, d'abord pour être libre de donner le temps qu'il faut au livre. Le livre doit être le lieu de la liberté. J'écris chaque matin, pendant deux heures. Restent vingt-deux heures, largement de quoi s'occuper. Mes autres métiers me renseignent sur l'univers.
Parallèlement à mes activités administratives, j'ai donc écrit sept romans, dont La Vie comme à Lausanne, prix Roger Nimier 1978, et L'Exposition coloniale, prix Goncourt 1988. J'ai été élu, le 28 mai 1998, à l'Académie française, au fauteuil de Jacques-Yves Cousteau (17e fauteuil).
En plus de l'écriture, les voyages, la mer et la musique tiennent une place essentielle dans ma vie et dans mes livres. Ces passions, je les dois beaucoup à ma famille.
Ma mère m'a donné la passion des histoires et de la langue française.
Mon père, dont la famille avait une maison sur l'île de Bréhat, m'a enseigné la mer, les marées, les bateaux, les voyages au loin. Je préside d'ailleurs le Centre de la Mer (Corderie royale, à Rochefort).
J'entendais, de l'autre côté du mur, mon frère répéter inlassablement ses exercices de guitare. Et mon grand-père, qui me parlait de nos ascendances cubaines, esquissait de temps à autre, en dépit de sa corpulence, des pas de salsa.
Je n'ai fait que prolonger ces héritages.

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